Elisapee Inukpuk, exposition du 16 juillet au 17 août à la Galerie FOFA
Elisapee Inukpuk sest mise à faire des poupées dans sa tendre enfance, apprenant cet art de sa mère, qui lui en a cousu toute une famille avec du tissu et de la ficelle. Elle a continué à en créer toute sa vie, allant dans de nombreuses communautés du Nunavik pour enseigner aux autres comment les confectionner, et a fini par en amasser des centaines.
Triennale Banlieue, vernissage le dimanche 29 juillet à 13h30 à la Salle Alfred-Pellan de la Maison des arts de Laval
La Triennale d’art actuel sintéresse à lurbanité dans une optique daffirmation, de réflexion, de démystification et de valorisation du statut de banlieusard par les arts visuels sous le commissariat de Julie Alary Lavallée, Jasmine Colizza et Nicole Thibault.
Regards critiques et nouvelle photographie, exposition du 30 mai au 26 août à la maison de la culture Claude-Léveillée
Sites altérés par le développement industriel, paysages en complète transformation, lieux abandonnés puis oubliés : cinq photographes questionnent et interrogent les pratiques qui fragilisent les écosystèmes et engendrent la dégradation de lenvironnement naturel et social.
Cest Quoi le Fond De la Question ? de Soufïa Ben Saïd et Mathieu Patoine, exposition jusqu’au 9 septembre à l’Atelier de l’île
« Cette uvre vient achever un processus de recherche et création en résidences dartiste amorcé en 2014 » dit lartiste interdisciplinaire Soufïa Bensaïd, « Inspirée dun journal intime écrit entre 10 et 19 ans, que jai relu adulte, je réalise quadolescent, enfant, nous nous posons des questions lucides sur la vie, les gens, le monde, la réalité. Est-ce que lautre pense comme moi ? Est-ce que les extra-terrestres existent ? Est-ce que cette vie est un rêve ? Peut-on être heureux sans argent ? Nous trouvons parfois des réponses possibles au hasard de nos rencontres. Résonnent-elles en nous comme des réponses justes ou comblent-elles seulement un vide ? Beaucoup de questions restent en suspend. Elles peuvent nous paraître sans intérêt avec le temps. Injustement jugées, oubliées, ce sont néanmoins des questions importantes, des questions guides. Ces mêmes questions sont abordées dans des textes philosophiques aussi bien anciens que contemporains. Est-ce que nous nous interrogeons de la même manière ? Sommes-nous semblables ou différents dans nos interrogations sur la vie ? ».
Reconcile With a Smile, vitrine dété, finissage le mercredi 8 août à 17h à articule
En Amérique du Nord, d’avoir des dents blanches parfaites n’est pas juste une question de santé; c’est souvent un indicateur du statut social et des antécédents d’un individu. Dans les années 1800, les pauvres vendaient leurs dents aux riches, celles-ci ayant pourri par la consommation de bonbons que les pauvres ne pouvaient pas se permettre. Maintenant, le « sourire hollywoodien » est devenu un symbole de privilège. Une mauvaise santé dentaire n’est pas seulement un risque physique, elle menace l’éducation et les opportunités d’emploi, et donc la mobilité sociale.
Statuer, vernissage le dimanche 8 juillet à 14h à la Galerie dart Stewart Hall
Si lhistoire de lart nous enseigne que le socle a été érigé pour mettre en valeur et légitimer des hommes et des objets, la modernité la quelque peu chambranlé. La Galerie dart Stewart Hall est heureuse de présenter STATUER. Les figures du socle, troisième partie dun cycle dexpositions initié par Emmanuel Galland portant sur le même thème : la persistance manifeste de lobjet-piédestal et de ses moult détournements au sein des pratiques actuelles en art. Le socle serait comme le poil à gratter dont on ne peut se défaire.
Karine Dezainde en résidence du 2 juillet au 3 août à Engramme
Dans le cadre dune initiative destinée à encourager la recherche artistique de ses artistes membres, Engramme présente la sixième édition du programme de recherche et création en art imprimé, le laboratoire d’exploration. Cette année, l’espace de diffusion d’Engramme ainsi que ses différents ateliers de production se transformeront en studio d’essai pour Karine Dezainde.
Je nai du reste rien de spécial à vous dire, finissage et Performance de Michelle Lacombe, le vendredi 29 juin à 18h à Vu
Avant de quitter pour l’été, nous vous invitons pour une dernière fois dans nos galeries pour venir venir souligner la fin de notre programmation 2017-2018 sur l’idée d’Inventer le risque, dans le cadre du finissage de l’exposition Je n’ai du reste rien de spécial à vous dire le vendredi 29 juin prochain dès 18h.
Exposition des finissants de la maîtrise en création numérique de lUniversité du Québec en Abitibi-Témiscamingue, les 29 et 30 juin à Perte de Signal
Les premiers diplômés de la maîtrise en création numérique de lUQAT, les équipes Parsi Parla, Pulsarium ainsi que les étudiants de première année de léquipe La Cave réaliseront un laboratoire de création à Perte de Signal. Ces artistes de la relève en profiteront pour peaufiner leur présentation de projet afin de les présenter au public le 29 juin lors du vernissage et au MIAN Marché international des arts numérique, le 30 juin.
Rotation ! Rotation ! Vente de garage annuelle le samedi 30 juin à articule
Nos voisin.e.s et ami.e.s ont déterré des trésors oubliés pour que vous puissiez vous les mettre sous la main en échange dune contribution modeste. Les fonds collectés contribueront à la programmation darticule.
En lien avec le festival communautaire Le Mile End S’articule, Rotation! Rotation! sera accompagnée deux autres activités qui répondent aux thèmes de cette année: le jeu et le sport!
SKOOL 2018, résidence de recherche dété jusqu’au 27 juillet à Skol
LE RENDEZ-VOUS: CHANTIER DE RECHERCHE DIALOGIQUE Avec / With : Joséphine Rivard & Anne-Célia Waddell 19 juin — 27 juillet 2018 Découlant de réflexions théoriques entamées…
Panache art actuel, présente : La Poursuite du sens de Viviane Bertrand, vernissage le jeudi 5 juillet à 17h à l’Auberge du Nord-Côtier
Les images de Viviane Bertrand souvrent devant un espace-temps vital à reconquérir ; plus que de possibles chemins à travers les montagnes et les rivières, plus que des points de fuite sur le fleuve, ce sont les rythmes et mouvements de lêtre en liberté. Au fil dune longue expérience on arrive à la certitude quune économie basée sur la simplicité volontaire et misant sur lessentiel est la condition la plus favorable à la liberté de création.
Exposition des membres, vernissage le vendredi 29 juin à 19h au Centre darts visuels de lAlberta
Barbara Kowalewski est née a Bruxelles, Belgique dun père polonais et a dune mère belge. Peux après, a famille est émigré au Canada, enfin a Edmonton ou elle a été élevé. Ses deux parents étant artistes, ont établit une base créative chez leur fille. Ce nest pas surprenant quelle a choisi une éducation secondaire dans les arts visuels. Son portfolio accepté, elle est partie pour Calgary a lAlberta Collège of Art and Design (ACAD) en 1970. Elle est alors graduée en 1974 avec un diplôme des Arts AppliquÉs. Après un long hiatus de trente ans ou elle a élevé une famille elle a retrouvé son identité dartiste pendant une réunion des gradués du Collège (1974 – 2004). Après plusieurs années dessais – sculpture et peinture – elle commence a trouver sa voix. Maintenant elle a découvert une synthèse de relief et de peinture. Elle crée une épaisse texture sur toile et puis peint avec des encres transparentes. Ces surfaces suggèrent toutes sortes de scènes imaginaires.
Performance de Jean-Philippe Luckhurst-Cartier et Kévin Pinvidic, le jeudi 28 juin à 18h30 à la Fonderie Darling
Cette première soirée de performances du cycle Fermons les yeux pour voir. Always mind your surroundings dresse un portrait du quartier de la Fonderie Darling et de son histoire en mobilisant des lieux et des objets mal-aimés : Jean-Philippe Luckhurst-Cartier, par une enquête de terrain sur les bâtiments vacants..
Groupe Intervention Vidéo présente : Vidéos de femmes dans le parc, le mardi 10 juillet à 21h au Théâtre de Verdure
Depuis 1991 a lieu un rendez-vous unique à lenseigne de la découverte vidéographique. Pour la 27e année consécutive, Vidéos de femmes dans le parc convie le public à une manifestation artistique incontournable et surprenante où lesprit audacieux de la vidéo dart se marie à lambiance estivale des ciné-parcs. VFP, cest le résultat dun appel de soumissions récoltant, à chaque année, un nombre important duvres permettant détablir une programmation où se reflète les tendances actuelles ayant cours dans le milieu des arts médiatiques.
Dans nos villes, ouverture le samedi 23 juin à 18h30 à Clark
Du 23 au 27 juin 2018, Khoa Lê a réuni vingt artistes autour du projet. Un auteur a tissé un conte en sinspirant des légendes du Vietnam ; une comédienne en fait la lecture live ; sept artistes lont mis en image dans des segments vidéo et enfin, sept artistes musicaux se relaient jour après jour pour créer le paysage sonore de luvre.
Biosignatures et autres absences révélatrices de Pierre-Étienne Massé, exposition du 9 juin au 2 septembre à la maison de la culture de Pointe-aux-Trembles
Avec cette exposition, l’artiste ouvre sa démarche sur des réflexions qui interrogent la charge symbolique de lempreinte. Toujours dans le thème des espèces animales menacées, lempreinte nest plus quun matériau dart, mais devient ici le principal interlocuteur. Lempreinte devient ainsi le moteur esthétique du travail. Les voyages à létranger de l’artiste lui ont permis de ramener des empreintes despèces exotiques. Une exposition ludique qui porte à réfléchir sur les animaux en voie de disparition!
Marco Godinho, Joshua Schwebel, Catherine Landry et Gabriel Lapierre, vernissage le jeudi 21 juin à la Fonderie darling
Inspiré par une lecture de Georges Bataille qui relate l’intensité physique et émotionnelle de son ascension du volcan en 1937, Godinho a décidé en février 2017 de répéter ce périple ascensionnel pour y (re)trouver l’essence du récit biographique de Bataille. L’uvre de Godinho est rempli de marches conceptuelles solitaires et d’explorations de territoires les plus diverses : des zones frontières, des limites géopolitiques, des lieux symboliques. Cette initiative ambitieuse et audacieuse s’inscrit donc dans une suite logique des intérêts de l’artiste pour les expériences qui cherchent à transposer des idées philosophiques ou géopolitiques en expériences physiques pour en soustraire l’essence et l’authenticité. Plus qu’un remake de l’expérience bataillienne, l’ascension de l’Etna à laquelle s’adonne Godinho prend ainsi des airs de voyage initiatique accompagné d’une quête de réalité brute et de danger incontestable.
Habiter le fortuit de Marc Audette, vernissage le vendredi 22 juin à 17h à Vaste et Vague
HABITER LE FORTUIT présente un corpus d’œuvres qui s’articule autour de l’idée du paysage. L’ensemble est en symétrie avec le désir de l’artiste…
Panache art actuel, présente : Être dans ce qui s’en va de Dominique Rivard, vernissage le mercredi 20 juin à 17h au Bureau d’accueil touristique de Natashquan
L’exposition Être dans ce qui sen va est une série doeuvres photographiques sintéressant aux rapports de réciprocité entre lidentité et le territoire. Dominique Rivard entremêle sa pratique de lautoportrait avec celle de la documentation du paysage. La pratique de lautoportrait de Dominique Rivard vise à évoquer la narration de lêtre en mouvement. Elle amplifie cette idée par lautoportrait dans le paysage, dans lerrance, dans limpermanence. La photographe dans l’image, dans l’espace, raconte un territoire qui évolue dans le naturel du paysage et de l’intime.