LOEil de Poisson présente en simultané dans ses trois espaces de diffusion:
Grande Galerie: JUNK MALE BOX – Jean-François Leboeuf (Mtl) + Petite Galerie: Marie-Andrée Cormier (Qc) + Entrée vidéo: SATELLITE WORKS / OEUVRES SATELLITES – commissaire Noémi McComber (Mtl). Le vernissage des expositions aura lieu le vendredi 12 janvier à 20h au 580 Côte dAbraham. D.J. Maladroit à la console à partir de 22h.
JEAN-FRANÇOIS LEBOEUF JUNK MALE BOX
INSTALLATION
Sattaquant aux diverses représentations masculines peuplant la culture populaire, Jean-François Leboeuf propose une oeuvre installative surchargée
de référents. Cest dans un brouhaha de signes, dimages et de médiums
que lidentité de lartiste est ironiquement contre-imagée.
Le travail de Jean-François Leboeuf prend racine dans notre «réalité fragmentée», dans cette surcharge dinformations et ce flux dimages générées par les diverses sources médiatiques nous entourant. Dans ce monde surcodé, où tout peut sembler irréel, Jean-François Leboeuf sintéresse à la précarité de notre identité, aussi bien individuelle que collective.
Dans un bazar foisonnant, lartiste se livre, par le biais de dessins, de photographies et de vidéos, à dabsurdes jeux où sa propre image côtoie les figures layant façonnée depuis sa naissance : ces fantômes masculins de la «junk culture» occidentale.
Junk Male Box est une installation où sorganise anarchiquement une collection de diverses réappropriations de figures issues de la culture populaire. Du panneau publicitaire à la télévision en passant par le web, ces représentations identitaires qui nous sont «proposées / imposées» se voient ici détournées vers le «white cube», soit la galerie dexposition. Cette installation se penche sur la tentative, quasi vaine, dune possible définition du soi, entre parodie et célébration de notre «culture-poubelle».
Natif de Québec, Jean-François Leboeuf vit et travaille à Montréal. En 2006, il complétait une maîtrise en arts visuels et médiatiques à lUniversité du Québec à Montréal. Récemment , il a présenté ses installations à Caravansérail (Rimouski) et à la Maison de la culture Ahunstic-Cartierville (Montréal). Ses monobandes ont été projetées lors dévénements vidéo au Canada, aux États-Unis ainsi quen Finlande. Parallèlement à sa pratique en arts visuels, il simplique dans divers projets musicaux à caractère électronique, rock nroll et expérimental dont Terminus B et Chernobyl Cha-Cha.
Lartiste tient à remercier le CIAM (Centre Interuniversitaire en Arts Médiatiques)
JETEZ UN OEIL SUR LE SITE DE JEAN-FRANÇOIS LEBOEUF WWW.JEF-HELL.CA.CX
JETEZ LAUTRE SUR LE SITE DE LOEIL DE POISSON WWW.MEDUSE.ORG/OEILDEPOISSON
MARIE-ANDRÉE CORMIER
RÉCIPIENDAIRE DU PRIX TOMBER DANS LOEIL 2006
INSTALLATION VIDÉO
Par une dimension performative et temporelle, les vidéos de Marie-Andrée Cormier réfèrent à des formes simples et élémentaires tout en cherchant à intégrer lespace du spectateur. Son travail, alliant corps en mouvement et répétition du geste, explore un dialogue où images et objets connus se rencontrent dans un contexte qui transcende le quotidien auquel ils appartiennent. Marie-Andrée Cormier propose une intervention où la projection vidéo et la structure installative sont adaptées lune à lautre. Un univers se construit et se déconstruit par une accumulation dobjets envahissant peu à peu le cadre vidéographique.
Marie-Andrée Cormier vit et travaille à Québec. En 2006 elle complétait son baccalauréat en arts plastiques à lUniversité Laval et obtenait la bourse René-Richard.
Désireux de soutenir la jeune pratique en arts visuels, lOEil de Poisson créait en 1998 son prix Tomber dans lOEil. Accordé à un finissant du Baccalauréat en arts plastiques de lUniversité Laval, ce prix consiste en une résidence dun mois dans nos ateliers de production, suivie dune exposition dans la petite galerie, présentée dans le cadre de notre programmation régulière.
SATELLITE WORKS / OEUVRES SATELLITES
Commissaire: NOÉMI MCCOMBER
BANDES VIDÉOS PERFORMATIVES
Satellite Works/Oeuvres satellites présente une série doeuvres vidéographiques dartistes internationaux émergents. Il sagit dun programme qui cherche à refléter létat actuel de lart vidéographique, en particulier dans son lien intime à lespace performatif. De lintervention en espace public au pastiche du vidéoclip, dun discours de «speakers corner» improvisé à une orgie de pop soda, les oeuvres traduisent une propension pour le jeu, ainsi quune volonté dentraîner le spectateur dans une aire où toutes les attentes se voient déroutées. Les quinze oeuvres présentées témoignent de la diversité de la production actuelle en art vidéographique. Elles nous plongent dans des univers mis en scène par les artistes, qui tentent à la fois de séduire et de déjouer les perceptions des spectateurs, en jonglant avec les éléments du réel. Une stratégie dappropriation de lespace public se manifeste dans plusieurs des oeuvres présentées; une mise en dialogue avec les composantes du paysage urbain et une tentative détablir des modes de communication connexes à ceux qui prévalent dans nos sociétés actuelles.
ARTISTES ET OEUVRES PRÉSENTÉES
Erika Arzt (Autriche), Walking, 2001 + Tolia Astakhishvili (Géorgie) & Dylan Peirce (Afrique du Sud), Hands, 2002 + Cat Barich (Allemagne), Road to Succez, 2004 + Tatiana Echeverri-Fernandez (Costa Rica), Flash, 2005 + Ben Fitton (Royaume-Uni), Holding my Breath, 2001 + Michael Grime & William Alexander (Royaume-
Uni), The Cardboard Car, 2001 + Lilly Hartmann (Allemagne), The Bun In the Oven, 2005 + HK119 (Finlande), NIP/TUK, 2005 + Toine Klaassen (Pays-Bas), The Planets, 2005 + Daniela Klein (Allemagne), Shaking Bottles Video, 2001 + Loukia Alavanou (Grèce), Wishing Well, 2005 + Flavia Müller Medeiros (Brésil), Fight the Enemy Abroad So We Dont Have to Face Them at Home, 2005 + Noémi McComber (Québec), Donkey Ride, 2002 + Dalia Neis (Royaume-Uni), Brixton Speech, 2006 + Yu-Chen Wang (Taiwan), Struggle for existence, 2004
Satellite Works/Oeuvres satellites est présenté en collaboration avec Le Basement Art Project (www.basementartproject.
com), Londres, Royaume-Uni. Il est soutenu par le Consulat Général de la République fédérale dAllemagne à Montréal. La commissaire tient à remercier Cat Barich, Michael Smythe ainsi que Felix et Téo von Geyer.
Ce programme doeuvres vidéographiques est dune durée denviron une heure.
LOEil de Poisson présente en simultané dans ses trois espaces de diffusion:
Grande Galerie: JUNK MALE BOX – Jean-François Leboeuf (Mtl) + Petite Galerie: Marie-Andrée Cormier (Qc) + Entrée vidéo: SATELLITE WORKS / OEUVRES SATELLITES – commissaire Noémi McComber (Mtl). Le vernissage des expositions aura lieu le vendredi 12 janvier à 20h au 580 Côte dAbraham. D.J. Maladroit à la console à partir de 22h.
JEAN-FRANÇOIS LEBOEUF JUNK MALE BOX
INSTALLATION
Sattaquant aux diverses représentations masculines peuplant la culture populaire, Jean-François Leboeuf propose une oeuvre installative surchargée
de référents. Cest dans un brouhaha de signes, dimages et de médiums
que lidentité de lartiste est ironiquement contre-imagée.
Le travail de Jean-François Leboeuf prend racine dans notre «réalité fragmentée», dans cette surcharge dinformations et ce flux dimages générées par les diverses sources médiatiques nous entourant. Dans ce monde surcodé, où tout peut sembler irréel, Jean-François Leboeuf sintéresse à la précarité de notre identité, aussi bien individuelle que collective.
Dans un bazar foisonnant, lartiste se livre, par le biais de dessins, de photographies et de vidéos, à dabsurdes jeux où sa propre image côtoie les figures layant façonnée depuis sa naissance : ces fantômes masculins de la «junk culture» occidentale.
Junk Male Box est une installation où sorganise anarchiquement une collection de diverses réappropriations de figures issues de la culture populaire. Du panneau publicitaire à la télévision en passant par le web, ces représentations identitaires qui nous sont «proposées / imposées» se voient ici détournées vers le «white cube», soit la galerie dexposition. Cette installation se penche sur la tentative, quasi vaine, dune possible définition du soi, entre parodie et célébration de notre «culture-poubelle».
Natif de Québec, Jean-François Leboeuf vit et travaille à Montréal. En 2006, il complétait une maîtrise en arts visuels et médiatiques à lUniversité du Québec à Montréal. Récemment , il a présenté ses installations à Caravansérail (Rimouski) et à la Maison de la culture Ahunstic-Cartierville (Montréal). Ses monobandes ont été projetées lors dévénements vidéo au Canada, aux États-Unis ainsi quen Finlande. Parallèlement à sa pratique en arts visuels, il simplique dans divers projets musicaux à caractère électronique, rock nroll et expérimental dont Terminus B et Chernobyl Cha-Cha.
Lartiste tient à remercier le CIAM (Centre Interuniversitaire en Arts Médiatiques)
JETEZ UN OEIL SUR LE SITE DE JEAN-FRANÇOIS LEBOEUF WWW.JEF-HELL.CA.CX
JETEZ LAUTRE SUR LE SITE DE LOEIL DE POISSON WWW.MEDUSE.ORG/OEILDEPOISSON
MARIE-ANDRÉE CORMIER
RÉCIPIENDAIRE DU PRIX TOMBER DANS LOEIL 2006
INSTALLATION VIDÉO
Par une dimension performative et temporelle, les vidéos de Marie-Andrée Cormier réfèrent à des formes simples et élémentaires tout en cherchant à intégrer lespace du spectateur. Son travail, alliant corps en mouvement et répétition du geste, explore un dialogue où images et objets connus se rencontrent dans un contexte qui transcende le quotidien auquel ils appartiennent. Marie-Andrée Cormier propose une intervention où la projection vidéo et la structure installative sont adaptées lune à lautre. Un univers se construit et se déconstruit par une accumulation dobjets envahissant peu à peu le cadre vidéographique.
Marie-Andrée Cormier vit et travaille à Québec. En 2006 elle complétait son baccalauréat en arts plastiques à lUniversité Laval et obtenait la bourse René-Richard.
Désireux de soutenir la jeune pratique en arts visuels, lOEil de Poisson créait en 1998 son prix Tomber dans lOEil. Accordé à un finissant du Baccalauréat en arts plastiques de lUniversité Laval, ce prix consiste en une résidence dun mois dans nos ateliers de production, suivie dune exposition dans la petite galerie, présentée dans le cadre de notre programmation régulière.
SATELLITE WORKS / OEUVRES SATELLITES
Commissaire: NOÉMI MCCOMBER
BANDES VIDÉOS PERFORMATIVES
Satellite Works/Oeuvres satellites présente une série doeuvres vidéographiques dartistes internationaux émergents. Il sagit dun programme qui cherche à refléter létat actuel de lart vidéographique, en particulier dans son lien intime à lespace performatif. De lintervention en espace public au pastiche du vidéoclip, dun discours de «speakers corner» improvisé à une orgie de pop soda, les oeuvres traduisent une propension pour le jeu, ainsi quune volonté dentraîner le spectateur dans une aire où toutes les attentes se voient déroutées. Les quinze oeuvres présentées témoignent de la diversité de la production actuelle en art vidéographique. Elles nous plongent dans des univers mis en scène par les artistes, qui tentent à la fois de séduire et de déjouer les perceptions des spectateurs, en jonglant avec les éléments du réel. Une stratégie dappropriation de lespace public se manifeste dans plusieurs des oeuvres présentées; une mise en dialogue avec les composantes du paysage urbain et une tentative détablir des modes de communication connexes à ceux qui prévalent dans nos sociétés actuelles.
ARTISTES ET OEUVRES PRÉSENTÉES
Erika Arzt (Autriche), Walking, 2001 + Tolia Astakhishvili (Géorgie) & Dylan Peirce (Afrique du Sud), Hands, 2002 + Cat Barich (Allemagne), Road to Succez, 2004 + Tatiana Echeverri-Fernandez (Costa Rica), Flash, 2005 + Ben Fitton (Royaume-Uni), Holding my Breath, 2001 + Michael Grime & William Alexander (Royaume-
Uni), The Cardboard Car, 2001 + Lilly Hartmann (Allemagne), The Bun In the Oven, 2005 + HK119 (Finlande), NIP/TUK, 2005 + Toine Klaassen (Pays-Bas), The Planets, 2005 + Daniela Klein (Allemagne), Shaking Bottles Video, 2001 + Loukia Alavanou (Grèce), Wishing Well, 2005 + Flavia Müller Medeiros (Brésil), Fight the Enemy Abroad So We Dont Have to Face Them at Home, 2005 + Noémi McComber (Québec), Donkey Ride, 2002 + Dalia Neis (Royaume-Uni), Brixton Speech, 2006 + Yu-Chen Wang (Taiwan), Struggle for existence, 2004
Satellite Works/Oeuvres satellites est présenté en collaboration avec Le Basement Art Project (www.basementartproject.
com), Londres, Royaume-Uni. Il est soutenu par le Consulat Général de la République fédérale dAllemagne à Montréal. La commissaire tient à remercier Cat Barich, Michael Smythe ainsi que Felix et Téo von Geyer.
Ce programme doeuvres vidéographiques est dune durée denviron une heure.
Québec (Québec) G1K 3P9