Visite commentée – Pierre Gendron, Fête
De ses débuts aux récents grands formats, en passant par les toiles matiéristes du tournant des années 50, cette rétrospective du peintre Pierre Gendron, né à Montréal en 1934, nous fait redécouvrir un artiste à part.
Tout au long de son parcours, sa peinture est tributaire autant d’une construction de traits saccadés en grille irrégulière que d’étendues de couleurs fluides et lumineuses. Il est l’un des premiers peintres québécois à utiliser l’acrylique en 1962.
Entre dynamisme et méditation, entre influences parisienne et américaine, ce grand amateur de musique de tous genres s’inspire parfois dans sa peinture de ses compositeurs préférés. Émanent de sa palette et de ses pinceaux des airs de jazz (Charles Mingus) tantôt mélancoliques, tantôt stridents, ou de grandes orchestrations proches de la musique contemporaine (Messian, Stravinsky), baroque (Marin Marais) ou classique (Bach).
L’exposition se veut aussi un hommage de la Ville de Laval à cet artiste qui y vit et y travaille depuis 1962. Ses oeuvres font partie des collections de grands musées québécois et canadiens.
Visite commentée – Pierre Gendron, Fête
De ses débuts aux récents grands formats, en passant par les toiles matiéristes du tournant des années 50, cette rétrospective du peintre Pierre Gendron, né à Montréal en 1934, nous fait redécouvrir un artiste à part.
Tout au long de son parcours, sa peinture est tributaire autant d’une construction de traits saccadés en grille irrégulière que d’étendues de couleurs fluides et lumineuses. Il est l’un des premiers peintres québécois à utiliser l’acrylique en 1962.
Entre dynamisme et méditation, entre influences parisienne et américaine, ce grand amateur de musique de tous genres s’inspire parfois dans sa peinture de ses compositeurs préférés. Émanent de sa palette et de ses pinceaux des airs de jazz (Charles Mingus) tantôt mélancoliques, tantôt stridents, ou de grandes orchestrations proches de la musique contemporaine (Messian, Stravinsky), baroque (Marin Marais) ou classique (Bach).
L’exposition se veut aussi un hommage de la Ville de Laval à cet artiste qui y vit et y travaille depuis 1962. Ses oeuvres font partie des collections de grands musées québécois et canadiens.