Le Musée national des beaux-arts du Québec a lancé en juin 2009 un concours international d’architecture pour son nouveau pavillon. Une première dans le domaine muséal au Québec.
Quelque 108 firmes, provenant de 19 pays, ont manifesté leur intérêt; parmi elles, 76 ont déposé un dossier de candidature. Le 31 mars dernier, le MNBAQ dévoilait le projet gagnant : celui de la firme OMA de Rotterdam – dirigée par l’architecte Rem Koolhaas – en partenariat avec l’équipe québécoise Provencher Roy et Associés, architectes, retenu à l’unanimité par les membres du jury.
L’exposition Vers un nouveau MNBAQ. Les projets finalistes du concours international d’architecture permet au public de découvrir quelle forme prendra l’agrandissement du Musée et comment seront aménagés les espaces du nouveau bâtiment. L’exposition présente les maquettes 2D et 3D du concept développé par les gagnants, mais aussi celles des autres équipes finalistes du concours d’architecture.
L’EXPOSITION L’exposition présente, sous forme de diaporama, les quinze projets qui ont franchi la première étape du concours et met l’accent sur les cinq projets sélectionnés pour la seconde étape, y compris celui des lauréats, avec les quatre planches et la maquette soumises au jury par chacun des finalistes.
À la suite d’un appel public de candidatures puis d’une présélection sur dossier, quinze architectes, sociétés ou groupements ont pu passer à la première étape. Les propositions, comprenant un texte de présentation et deux planches disposées à l’horizontale, devaient illustrer clairement le concept du nouveau pavillon, le mode d’insertion du bâtiment dans le contexte urbain et muséal et l’image en découlant.
Les cinq finalistes retenus pour la seconde étape ont produit quatre nouvelles planches disposées à la verticale et une maquette à l’échelle 1:200. À cette étape, la solution fonctionnelle et sa relation avec le musée actuel étaient présentées en détail, tout comme le traitement architectural des façades, de manière à en évaluer le vocabulaire. L’approche envisagée en matière de développement durable faisait également partie intégrante de la proposition.
Le Musée national des beaux-arts du Québec a lancé en juin 2009 un concours international d’architecture pour son nouveau pavillon. Une première dans le domaine muséal au Québec.
Quelque 108 firmes, provenant de 19 pays, ont manifesté leur intérêt; parmi elles, 76 ont déposé un dossier de candidature. Le 31 mars dernier, le MNBAQ dévoilait le projet gagnant : celui de la firme OMA de Rotterdam – dirigée par l’architecte Rem Koolhaas – en partenariat avec l’équipe québécoise Provencher Roy et Associés, architectes, retenu à l’unanimité par les membres du jury.
L’exposition Vers un nouveau MNBAQ. Les projets finalistes du concours international d’architecture permet au public de découvrir quelle forme prendra l’agrandissement du Musée et comment seront aménagés les espaces du nouveau bâtiment. L’exposition présente les maquettes 2D et 3D du concept développé par les gagnants, mais aussi celles des autres équipes finalistes du concours d’architecture.
L’EXPOSITION L’exposition présente, sous forme de diaporama, les quinze projets qui ont franchi la première étape du concours et met l’accent sur les cinq projets sélectionnés pour la seconde étape, y compris celui des lauréats, avec les quatre planches et la maquette soumises au jury par chacun des finalistes.
À la suite d’un appel public de candidatures puis d’une présélection sur dossier, quinze architectes, sociétés ou groupements ont pu passer à la première étape. Les propositions, comprenant un texte de présentation et deux planches disposées à l’horizontale, devaient illustrer clairement le concept du nouveau pavillon, le mode d’insertion du bâtiment dans le contexte urbain et muséal et l’image en découlant.
Les cinq finalistes retenus pour la seconde étape ont produit quatre nouvelles planches disposées à la verticale et une maquette à l’échelle 1:200. À cette étape, la solution fonctionnelle et sa relation avec le musée actuel étaient présentées en détail, tout comme le traitement architectural des façades, de manière à en évaluer le vocabulaire. L’approche envisagée en matière de développement durable faisait également partie intégrante de la proposition.