Dans le cadre de l’atelier sur l’écriture et la réalisation documentaire
Paraloeil invite le grand public à une projections gratuites :
Le vendredi 7 avril à 19h30:
Un toit,un violon, la lune de Carole Laganière (2003, 52 minutes) – En présence de la réalisatrice
Résumé:
Ils ont fait du music hall, ils ont chanté, ils ont dansé. Certains ont connu le succès, dautres ont vu leur élan brisé trop tôt. Ces artistes nont plus 20 ans, mais ils ont été aimés et rêvent dexister encore. Ils vivent sous le même toit, au Chez-Nous des Artistes à Montréal.
Le film va à la rencontre de personnages émouvants et témoigne de leur présent celui dartistes devenus vieux et qui nont pratiquement plus doccasions dexister dans le regard du public. Un portrait doux amer dêtres vibrants et plein dhumour.
« Un petit miracle tout en présences (…) Une uvre vibrante, émouvante ».
Martin Bilodeau, Le Devoir.
« Infiniment touchant ». Alexis K. Lepage, La Presse.
« À voir et à vivre avec émotion ». Daniel Rioux, Le Journal de Montréal.
« Très émouvant (…) d’une poignante vérité ». Élie Castiel, Séquences.
Dans le cadre de l’atelier sur l’écriture et la réalisation documentaire
Paraloeil invite le grand public à une projections gratuites :
Le vendredi 7 avril à 19h30:
Un toit,un violon, la lune de Carole Laganière (2003, 52 minutes) – En présence de la réalisatrice
Résumé:
Ils ont fait du music hall, ils ont chanté, ils ont dansé. Certains ont connu le succès, dautres ont vu leur élan brisé trop tôt. Ces artistes nont plus 20 ans, mais ils ont été aimés et rêvent dexister encore. Ils vivent sous le même toit, au Chez-Nous des Artistes à Montréal.
Le film va à la rencontre de personnages émouvants et témoigne de leur présent celui dartistes devenus vieux et qui nont pratiquement plus doccasions dexister dans le regard du public. Un portrait doux amer dêtres vibrants et plein dhumour.
« Un petit miracle tout en présences (…) Une uvre vibrante, émouvante ».
Martin Bilodeau, Le Devoir.
« Infiniment touchant ». Alexis K. Lepage, La Presse.
« À voir et à vivre avec émotion ». Daniel Rioux, Le Journal de Montréal.
« Très émouvant (…) d’une poignante vérité ». Élie Castiel, Séquences.