La maison de la culture de Côte-des-Neiges est heureuse de vous inviter au vernissage de l’exposition Traquenard de l’artiste Joëlle Morosoli, avec la collaboration de Rolf Morosoli. L’exposition sera présentée du 14 mars au 21 avril 2013.
Dès ses débuts, il y a 25 ans, Joëlle Morosoli utilise le mouvement tel un matériau. C’est à travers des mouvements cycliques et lents ou saccadés et arythmiques, et en exploitant l’ombre et la lumière, qu’elle réussit à donner une forme au mouvement et à provoquer une émotion. En étroite collaboration avec Rolf Morosoli, spécialiste en biogénétique, elle crée des installations cinétiques qui nécessitent l’élaboration de mécanismes ou l’utilisation de technologies propres au mouvement recherché.
L’installation présentée ici propose quatre cages transparentes à échelle humaine qui s’ouvrent et se referment mécaniquement. Ces cages vitrées, transpercées de sagaies, ressemblent à des cabinets de curiosité dans lesquels sont piégées des formes humaines. Le mouvement de l’installation fait en sorte que les parois, en s’ouvrant, font éclater les pièges sans jamais libérer leur proie. Ces cages proposent un espace psychologique relevant des aléas de l’existence. Ces pointes cuivrées sont autant de contraintes, de peurs et de sentiments d’impuissance à affronter. Le mouvement d’ouverture et de fermeture qui déconstruit les cages recrée un hérissement formel tandis que la transparence des parois crée l’illusion que ce dispositif est en flottaison tel un espace irréel, entre frémissement et invraisemblance. Tout au long du parcours, cette installation offre un jeu de rôle au visiteur, lui permettant de s’identifier tantôt à la victime, tantôt à l’agresseur.
La maison de la culture de Côte-des-Neiges est heureuse de vous inviter au vernissage de l’exposition Traquenard de l’artiste Joëlle Morosoli, avec la collaboration de Rolf Morosoli. L’exposition sera présentée du 14 mars au 21 avril 2013.
Dès ses débuts, il y a 25 ans, Joëlle Morosoli utilise le mouvement tel un matériau. C’est à travers des mouvements cycliques et lents ou saccadés et arythmiques, et en exploitant l’ombre et la lumière, qu’elle réussit à donner une forme au mouvement et à provoquer une émotion. En étroite collaboration avec Rolf Morosoli, spécialiste en biogénétique, elle crée des installations cinétiques qui nécessitent l’élaboration de mécanismes ou l’utilisation de technologies propres au mouvement recherché.
L’installation présentée ici propose quatre cages transparentes à échelle humaine qui s’ouvrent et se referment mécaniquement. Ces cages vitrées, transpercées de sagaies, ressemblent à des cabinets de curiosité dans lesquels sont piégées des formes humaines. Le mouvement de l’installation fait en sorte que les parois, en s’ouvrant, font éclater les pièges sans jamais libérer leur proie. Ces cages proposent un espace psychologique relevant des aléas de l’existence. Ces pointes cuivrées sont autant de contraintes, de peurs et de sentiments d’impuissance à affronter. Le mouvement d’ouverture et de fermeture qui déconstruit les cages recrée un hérissement formel tandis que la transparence des parois crée l’illusion que ce dispositif est en flottaison tel un espace irréel, entre frémissement et invraisemblance. Tout au long du parcours, cette installation offre un jeu de rôle au visiteur, lui permettant de s’identifier tantôt à la victime, tantôt à l’agresseur.