La maison de la culture de Côte-des-Neiges est heureuse de vous inviter au vernissage de l’exposition Traces d’un passé juif, photographies du Maroc, de l’Égypte et de la Tunisie, de l’artiste David Cowles, le jeudi 15 janvier de 17 h à 19 h. L’exposition est présentée dans le cadre du Festival Séfarad de Montréal.
En pratiquant le commerce, les juifs s’établirent peu à peu en Afrique du Nord, formant des communautés vibrantes pendant près de 2500 ans. Au début des années 1950, en l’espace de quelques décennies, le tissu historique s’est déchiré. Les juifs ont quitté le monde arabe, au mieux en tant qu’immigrants, mais la plupart du temps en tant que réfugiés, dépossédés de leur citoyenneté et de leurs biens.
L’élément déclencheur de ce phénomène fut la création de l’État d’Israël, en 1948, et les guerres qui s’en suivirent. La lente migration du peuple juif se transforma alors en exode, où 850 000 personnes, en fuite ou expulsées des pays arabes, migrèrent vers Israël, ainsi qu’en Europe, en Amérique du Nord et en
Amérique du Sud. Leurs histoires sont exclues du discours public.L’élément déclencheur de ce phénomène fut la création de l’État d’Israël, en 1948, et les guerres qui s’en suivirent. La lente migration du peuple juif se transforma alors en exode, où 850 000 personnes, en fuite ou expulsées des pays arabes, migrèrent vers Israël, ainsi qu’en Europe, en Amérique du Nord et en Amérique du Sud. Leurs histoires sont exclues du discours public.
C’est en 1993 que David R. Cowles amorce un projet qui durera une décennie, sur ce qu’il appelle la « photographie historique centrique ». Il cherche à documenter les traces physiques de la présence juive au Maroc, en Égypte et en Tunisie. Cette exposition présente une série d’images clés et leurs significations, ainsi que les méthodes de création et d’impression utilisées pour les réaliser. En effet, Cowles explore ici un procédé d’impression « hors papier », utilisé au 19e siècle et depuis disparu. Ceci est le dernier projet documentaire grand format produit avec ce procédé.
David R. Cowles est né à Boston et vit à Montréal depuis 1970. Il a étudié le cinéma à l’université de New York et l’histoire européenne et juive à l’université Concordia. Photographe autodidacte, il travaille presque exclusivement avec une caméra grand format et des méthodes d’impression anciennes. Ses oeuvres font parties de plusieurs collections incluant la Galerie Nationale du Canada, le Centre Canadien d’Architecture, le Musée de Tel-Aviv, le musée de Casablanca et le Musée Juif de New York.
La maison de la culture de Côte-des-Neiges est heureuse de vous inviter au vernissage de l’exposition Traces d’un passé juif, photographies du Maroc, de l’Égypte et de la Tunisie, de l’artiste David Cowles, le jeudi 15 janvier de 17 h à 19 h. L’exposition est présentée dans le cadre du Festival Séfarad de Montréal.
En pratiquant le commerce, les juifs s’établirent peu à peu en Afrique du Nord, formant des communautés vibrantes pendant près de 2500 ans. Au début des années 1950, en l’espace de quelques décennies, le tissu historique s’est déchiré. Les juifs ont quitté le monde arabe, au mieux en tant qu’immigrants, mais la plupart du temps en tant que réfugiés, dépossédés de leur citoyenneté et de leurs biens.
L’élément déclencheur de ce phénomène fut la création de l’État d’Israël, en 1948, et les guerres qui s’en suivirent. La lente migration du peuple juif se transforma alors en exode, où 850 000 personnes, en fuite ou expulsées des pays arabes, migrèrent vers Israël, ainsi qu’en Europe, en Amérique du Nord et en
Amérique du Sud. Leurs histoires sont exclues du discours public.L’élément déclencheur de ce phénomène fut la création de l’État d’Israël, en 1948, et les guerres qui s’en suivirent. La lente migration du peuple juif se transforma alors en exode, où 850 000 personnes, en fuite ou expulsées des pays arabes, migrèrent vers Israël, ainsi qu’en Europe, en Amérique du Nord et en Amérique du Sud. Leurs histoires sont exclues du discours public.
C’est en 1993 que David R. Cowles amorce un projet qui durera une décennie, sur ce qu’il appelle la « photographie historique centrique ». Il cherche à documenter les traces physiques de la présence juive au Maroc, en Égypte et en Tunisie. Cette exposition présente une série d’images clés et leurs significations, ainsi que les méthodes de création et d’impression utilisées pour les réaliser. En effet, Cowles explore ici un procédé d’impression « hors papier », utilisé au 19e siècle et depuis disparu. Ceci est le dernier projet documentaire grand format produit avec ce procédé.
David R. Cowles est né à Boston et vit à Montréal depuis 1970. Il a étudié le cinéma à l’université de New York et l’histoire européenne et juive à l’université Concordia. Photographe autodidacte, il travaille presque exclusivement avec une caméra grand format et des méthodes d’impression anciennes. Ses oeuvres font parties de plusieurs collections incluant la Galerie Nationale du Canada, le Centre Canadien d’Architecture, le Musée de Tel-Aviv, le musée de Casablanca et le Musée Juif de New York.