Thérèse Guy et Yves Patry présentent, à la Galerie Regart, lexposition Tapisserie in the city du 13 septembre au 7 octobre 2007. Le Centre dartistes Regart vous convie le jeudi 13 septembre 2007 dès 17h00 au vernissage de lexposition.
À travers le temps, lhumain a d’abord tracé des signes, des encoches dans le bois, des incisions dans la pierre, des peintures sur les vases
autant de repères, de conjurations, d’exorcismes de l’absence. Puis il a choisi décrire, de dessiner et dajouter de la parole au dessin, lunion des mots et de la matière plongeant dans la vie primordiale.
Les expériences de création de Thérèse Guy lont amenée à sinterroger sur la place des mots, de lévocation de leur réalité dans ses créations et de limpact des mots et des textes qui accompagnent souvent lartiste dans son travail.
Pour Thérèse Guy, partager lespace de la Galerie Regart avec la poésie dYves Patry participe à lidée dintroduire un fil dArianne qui emprunte des voies parallèles ou des chemins de traverse. Des actes, des gestes et des signes modulent alors le pouls de nos villes et des vies urbaines et sinscrivent comme des fractures dans le réel. Des trames et des fragments se cristallisent. De nouvelles tapisseries, des réseaux-synapses se configurent et émaillent les vaisseaux, les tympans, les structures de la cité moderne, tantôt quotidienne, tantôt virtuelle mais toujours mutante. Les textiles, dématérialisés, se reconfigurent dans le fluide informationnel mondialisé et se déroulent dans les tapisseries in the city.
Le recours à lassociation écrivain-artiste permet de franchir le territoire imaginaire, de rebondir sur le présent et desquisser, par le biais de cette nouvelle complicité, un désir commun dexpérimenter le rapport au monde.
Thérèse Guy et Yves Patry présentent, à la Galerie Regart, lexposition Tapisserie in the city du 13 septembre au 7 octobre 2007. Le Centre dartistes Regart vous convie le jeudi 13 septembre 2007 dès 17h00 au vernissage de lexposition.
À travers le temps, lhumain a d’abord tracé des signes, des encoches dans le bois, des incisions dans la pierre, des peintures sur les vases autant de repères, de conjurations, d’exorcismes de l’absence. Puis il a choisi décrire, de dessiner et dajouter de la parole au dessin, lunion des mots et de la matière plongeant dans la vie primordiale.
Les expériences de création de Thérèse Guy lont amenée à sinterroger sur la place des mots, de lévocation de leur réalité dans ses créations et de limpact des mots et des textes qui accompagnent souvent lartiste dans son travail.
Pour Thérèse Guy, partager lespace de la Galerie Regart avec la poésie dYves Patry participe à lidée dintroduire un fil dArianne qui emprunte des voies parallèles ou des chemins de traverse. Des actes, des gestes et des signes modulent alors le pouls de nos villes et des vies urbaines et sinscrivent comme des fractures dans le réel. Des trames et des fragments se cristallisent. De nouvelles tapisseries, des réseaux-synapses se configurent et émaillent les vaisseaux, les tympans, les structures de la cité moderne, tantôt quotidienne, tantôt virtuelle mais toujours mutante. Les textiles, dématérialisés, se reconfigurent dans le fluide informationnel mondialisé et se déroulent dans les tapisseries in the city.
Le recours à lassociation écrivain-artiste permet de franchir le territoire imaginaire, de rebondir sur le présent et desquisser, par le biais de cette nouvelle complicité, un désir commun dexpérimenter le rapport au monde.