CE JEUDI 11 JUIN 2009 /// OUVERTURE 5@7
Hors programmation, LA CHAMBRE BLANCHE accueille, du 11 au 21 juin 2009, l’artiste Marie-Christyne Élie et son exposition de fin de maîtrise intitulée «Tant qu’à y être». Nous sommes heureux de vous inviter à l’ouverture 5@7 de l’exposition, ce jeudi 11 juin 2009 en présence de l’artiste.
«Apprivoisant le lieu bâti et ses spécificités, j’interviens en interstice. Cet interstice laissé pour vacant, entre l’architecture et votre passage. Pas après pas, le regard laisse dans l’espace un sillage. Et de temps en temps, ce travelling est ponctué de points d’encrage. Ici. C’est à cet instant que l’œuvre arrive à la présence. Là. L’œuvre a été construite à partir de ce que nous donnait à voir le lieu. Et c’est à présent à partir d’elle, de l’œuvre, que l’on comprend le lieu, sa construction. Un zoom in/zoom out, et entre les deux, l’apparition de l’œuvre (/).
Je squatte l’architecture. Je m’associe temporairement à l’éternité qu’elle représente. L’instant d’une émotion, d’un sentiment de pulsion de vie. J’ajoute un surplus de présence à l’architecture. Dans cette présence enveloppante de l’architecture, est incrustée une seconde présence plus ou moins diffuse, et donc coextensive.
L’œuvre se découvre par notre déplacement dans l’espace. Notre parcours détermine les angles de vue possibles. Tout l’espace étant pris en compte, on se demande alors où commence et où finit l’œuvre. (MCÉ)
CE JEUDI 11 JUIN 2009 /// OUVERTURE 5@7
Hors programmation, LA CHAMBRE BLANCHE accueille, du 11 au 21 juin 2009, l’artiste Marie-Christyne Élie et son exposition de fin de maîtrise intitulée «Tant qu’à y être». Nous sommes heureux de vous inviter à l’ouverture 5@7 de l’exposition, ce jeudi 11 juin 2009 en présence de l’artiste.
«Apprivoisant le lieu bâti et ses spécificités, j’interviens en interstice. Cet interstice laissé pour vacant, entre l’architecture et votre passage. Pas après pas, le regard laisse dans l’espace un sillage. Et de temps en temps, ce travelling est ponctué de points d’encrage. Ici. C’est à cet instant que l’œuvre arrive à la présence. Là. L’œuvre a été construite à partir de ce que nous donnait à voir le lieu. Et c’est à présent à partir d’elle, de l’œuvre, que l’on comprend le lieu, sa construction. Un zoom in/zoom out, et entre les deux, l’apparition de l’œuvre (/).
Je squatte l’architecture. Je m’associe temporairement à l’éternité qu’elle représente. L’instant d’une émotion, d’un sentiment de pulsion de vie. J’ajoute un surplus de présence à l’architecture. Dans cette présence enveloppante de l’architecture, est incrustée une seconde présence plus ou moins diffuse, et donc coextensive.
L’œuvre se découvre par notre déplacement dans l’espace. Notre parcours détermine les angles de vue possibles. Tout l’espace étant pris en compte, on se demande alors où commence et où finit l’œuvre. (MCÉ)
Québec (Québec) G1K 3S6