Thorax
Jean-Pierre Gauthier
Commissaire: Éric Mattson
Présenté en première mondiale, Thorax de Jean-Pierre Gauthier initie la programmation 2010-2011 d’AAA. L’artiste nous propose une installation interactive unique qui, par une structure complexe, produit un paysage sonore imprévisible et évocateur. Joignez-vous à nous lors du vernissage, en présence de l’artiste et du commissaire, au cours duquel Jean-Pierre Gauthier réalisera une performance sonore au coeur même de son installation.
Thorax est une installation sonore et cinétique dans la suite des installations Rut (2004) et Turbulures (2008) qui utilise l’air comme élément sonore. Quatre structures tubulaires métalliques s’accrochent et se déploient sur les murs et sont courbées de sorte à former des arabesques et des volutes au milieu desquelles se logent des mécanismes sonores. Des réservoirs de silicone souples s’accrochent et pendent à ces structures qui vibrent, se gonflent et se dégonflent d’air en relation avec la distance du visiteur capté par des détecteurs à ultrasons. L’air libéré de ces réservoirs est ensuite retransmis de manière interactive et dynamique via une interface sonore qui les spatialise dans le lieu d’exposition. Le visiteur devient alors utilisé par le système comme élément perturbateur ou comme générateur de variations, plutôt qu’être celui qui le contrôle.
Cette exposition de Jean-Pierre Gauthier initie la série intitulée Ondes : immanence ou matérialité qui a comme commissaire Eric Mattson, et suggère le son comme matériau riche de l’expression artistique. Le sonore se lie au cinétique et au visuel pour contribuer à capter l’attention et faire vivre l’expérience. Ondes : immanence ou matérialité propose les travaux de neuf artistes qui rivalisent d’ingéniosité et considèrent avec équité tous les matériaux mis au service d’une expression singulière des contenus. Le commissaire Eric Mattson nous convie à venir voir [et entendre] des artistes exceptionnels : Jean-Pierre Gauthier, Herman Kolgen, Jean-Pierre Aubé, Martin Tétreault, le duo Tanya Saint-Pierre / Philippe-Aubert Gauthier et le trio brésilien Chelpa Ferro.
Communiqué PDF
The Last War…
Stanley Février
ACTION ART ACTUEL vous propose de découvrir le travail de Stanley Février, artiste de la relève, lors de l’exposition The Last War… du 16 septembre au 30 octobre 2010. Vous êtes conviés au vernissage de l’exposition le 16 septembre 2010 de 17 h à 19 h. L’évènement marquera également l’ouverture de l’exposition Thorax de Jean-Pierre Gauthier.
The Last War… est une série photographique d’une dizaine d’images en noir et blanc qui met en scène le parcours d’un individu à travers un paysage en ruine. Selon les mots de l’artiste, cette série est « l’expression des guerres intérieures que nous menons contre nous-mêmes et dont les victoires nous sont souvent les plus coûteuses. Car nous pouvons fuir des lieux et des situations, mais jamais nous ne pouvons fuir de nous-mêmes.»
Le travail de Stanley Février interroge les paradoxes de la société de consommation et plus précisément les causes de ce qu’il nomme la déshumanisation de notre société. Ses oeuvres ont en commun le fait de porter en elles une trace d’ambivalence entre la froideur sans âme et la souffrance d’une humanité en recherche d’elle-même qui, à ses dépens, se réfugie dans la consommation.
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Thorax
Jean-Pierre Gauthier
Commissaire: Éric Mattson
Présenté en première mondiale, Thorax de Jean-Pierre Gauthier initie la programmation 2010-2011 d’AAA. L’artiste nous propose une installation interactive unique qui, par une structure complexe, produit un paysage sonore imprévisible et évocateur. Joignez-vous à nous lors du vernissage, en présence de l’artiste et du commissaire, au cours duquel Jean-Pierre Gauthier réalisera une performance sonore au coeur même de son installation.
Thorax est une installation sonore et cinétique dans la suite des installations Rut (2004) et Turbulures (2008) qui utilise l’air comme élément sonore. Quatre structures tubulaires métalliques s’accrochent et se déploient sur les murs et sont courbées de sorte à former des arabesques et des volutes au milieu desquelles se logent des mécanismes sonores. Des réservoirs de silicone souples s’accrochent et pendent à ces structures qui vibrent, se gonflent et se dégonflent d’air en relation avec la distance du visiteur capté par des détecteurs à ultrasons. L’air libéré de ces réservoirs est ensuite retransmis de manière interactive et dynamique via une interface sonore qui les spatialise dans le lieu d’exposition. Le visiteur devient alors utilisé par le système comme élément perturbateur ou comme générateur de variations, plutôt qu’être celui qui le contrôle.
Cette exposition de Jean-Pierre Gauthier initie la série intitulée Ondes : immanence ou matérialité qui a comme commissaire Eric Mattson, et suggère le son comme matériau riche de l’expression artistique. Le sonore se lie au cinétique et au visuel pour contribuer à capter l’attention et faire vivre l’expérience. Ondes : immanence ou matérialité propose les travaux de neuf artistes qui rivalisent d’ingéniosité et considèrent avec équité tous les matériaux mis au service d’une expression singulière des contenus. Le commissaire Eric Mattson nous convie à venir voir [et entendre] des artistes exceptionnels : Jean-Pierre Gauthier, Herman Kolgen, Jean-Pierre Aubé, Martin Tétreault, le duo Tanya Saint-Pierre / Philippe-Aubert Gauthier et le trio brésilien Chelpa Ferro.
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The Last War…
Stanley Février
ACTION ART ACTUEL vous propose de découvrir le travail de Stanley Février, artiste de la relève, lors de l’exposition The Last War… du 16 septembre au 30 octobre 2010. Vous êtes conviés au vernissage de l’exposition le 16 septembre 2010 de 17 h à 19 h. L’évènement marquera également l’ouverture de l’exposition Thorax de Jean-Pierre Gauthier.
The Last War… est une série photographique d’une dizaine d’images en noir et blanc qui met en scène le parcours d’un individu à travers un paysage en ruine. Selon les mots de l’artiste, cette série est « l’expression des guerres intérieures que nous menons contre nous-mêmes et dont les victoires nous sont souvent les plus coûteuses. Car nous pouvons fuir des lieux et des situations, mais jamais nous ne pouvons fuir de nous-mêmes.»
Le travail de Stanley Février interroge les paradoxes de la société de consommation et plus précisément les causes de ce qu’il nomme la déshumanisation de notre société. Ses oeuvres ont en commun le fait de porter en elles une trace d’ambivalence entre la froideur sans âme et la souffrance d’une humanité en recherche d’elle-même qui, à ses dépens, se réfugie dans la consommation.
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