D’une part, je m’intéresse aux objets improbables et inachevés, aux formes simples d’inspiration architecturale. D’autre part, je suis fascinée par le potentiel à la fois ornemental et formel des matières. Prenant en compte ces intérêts – et tout en portant une attention particulière à l’ordre et aux détails – je représente des formes dont la nature demeure indéterminée. Le collage et les procédés d’assemblage, qui sont au cœur de ma pratique, créent l’illusion de volumes et mettent de l’avant un inventaire de matières et de textures trompeuses. Avec mes collages, tous les papiers sont peints à la main à l’encre, avant d’être découpés en morceaux. Avec mes sculptures, les matières utilisées, découpées elles aussi, sont sans valeur, fabriquées en masse et souvent d’origine industrielle. Dans les deux cas, la trace de la main disparaît et la matière est altérée de façon à semer le doute sur ce qui est donné à voir. Les fragments choisis sont découpés, assemblés et collés pour suggérer un potentiel de légèreté, de pesanteur, de délicatesse, de densité ou de souplesse.
Par le biais de récentes séries de sculptures et d’œuvres sur papier, je m’intéresse aux espaces qui contournent et forment les délimitations d’une chose. Ces assemblages, imaginés comme une variété de surfaces et de fragments, deviennent à leur tour et en soi des objets. Architectures plastiques regroupe des œuvres qui reflètent cette volonté de rendre palpable le volume des formes, tout en restant à la limite de la figuration et de l’abstraction.
Notes biographique
Simone Rochon détient une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM. Récemment, on a pu voir son travail à Toronto dans le cadre de la foire Feature Contemporary Art Fair (2014), à la galerie FOFA (2015) et à la Galerie Nicolas Robert (2015) à Montréal. Ses œuvres sont présentes parmi plusieurs collections privées et publi- ques, notamment la Collection Loto-Québec, la Collection de la Ville de Montréal et la collection Prêt d’œuvres d’art du Musée des beaux-arts du Québec.
D’une part, je m’intéresse aux objets improbables et inachevés, aux formes simples d’inspiration architecturale. D’autre part, je suis fascinée par le potentiel à la fois ornemental et formel des matières. Prenant en compte ces intérêts – et tout en portant une attention particulière à l’ordre et aux détails – je représente des formes dont la nature demeure indéterminée. Le collage et les procédés d’assemblage, qui sont au cœur de ma pratique, créent l’illusion de volumes et mettent de l’avant un inventaire de matières et de textures trompeuses. Avec mes collages, tous les papiers sont peints à la main à l’encre, avant d’être découpés en morceaux. Avec mes sculptures, les matières utilisées, découpées elles aussi, sont sans valeur, fabriquées en masse et souvent d’origine industrielle. Dans les deux cas, la trace de la main disparaît et la matière est altérée de façon à semer le doute sur ce qui est donné à voir. Les fragments choisis sont découpés, assemblés et collés pour suggérer un potentiel de légèreté, de pesanteur, de délicatesse, de densité ou de souplesse.
Par le biais de récentes séries de sculptures et d’œuvres sur papier, je m’intéresse aux espaces qui contournent et forment les délimitations d’une chose. Ces assemblages, imaginés comme une variété de surfaces et de fragments, deviennent à leur tour et en soi des objets. Architectures plastiques regroupe des œuvres qui reflètent cette volonté de rendre palpable le volume des formes, tout en restant à la limite de la figuration et de l’abstraction.
Notes biographique
Simone Rochon détient une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM. Récemment, on a pu voir son travail à Toronto dans le cadre de la foire Feature Contemporary Art Fair (2014), à la galerie FOFA (2015) et à la Galerie Nicolas Robert (2015) à Montréal. Ses œuvres sont présentes parmi plusieurs collections privées et publi- ques, notamment la Collection Loto-Québec, la Collection de la Ville de Montréal et la collection Prêt d’œuvres d’art du Musée des beaux-arts du Québec.
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