Les places sont limitées, l’entrée se fera sur le principe du premier arrivé, premier servi.
L’image de soi est l’une des formes d’expression omniprésente sur Internet. Chaque instant est potentiellement du matériel à selfie et chaque humeur mérite d’être (sur)partagée. Comme artiste de la performance, l’image de soi est inévitablement à l’avant-plan de ma pratique et, malgré le fait que je partage des selfies presque quotidiennement, je m’intéresse aux images de soi qu’on ne partage pas. En 2008, alors que j’anticipais la mort imminente de mon père après des années de combat contre le cancer du colon, je prenais régulièrement des vidéos de moi-même mais ne les partageais pas ni même ne les regardais. Dix ans plus tard, ce moi d’alors me fascine. Mon deuil s’est développé en quelque chose de plus tolérable et j’ai commencé à en souligner le 10e anniversaire en regardant ces images pour la première fois… et ce, devant public. Il s’agit donc de la seconde partie de ce processus et j’espère y compléter le visionnement.
Artiste non binaire d’origine polonaise, Johnny Forever Nawracaj vit à Montréal et sa pratique multidisciplinaire prend forme dans la performance et l’écriture. Leur travail forme des narrations surréalistes par la sculpture souple, la vidéo et la performance pour explorer de manière engagée les thèmes de l’amour, de la perte et de la nostalgie dans le cadre d’une production queer et transculturelle radicale.
Forever a présenté leur travail vidéo sur la scène internationale, notamment à la Gallery of Modern Art à Glasgow dans le cadre de sh[out]: LGBTI Contemporary Art and Human Rights (2009), à San Francisco lors du National Queers Arts Festival (2012) ainsi qu’à The Coming Society à Hong Kong (2013), et la 12e édition du International New Media Festival à Seoul dans le cadre du programme Queers Can’t Wait (2012). Leur collaboration en continu avec l’artiste sonore Gambletron les ont amenés à Santiago (Chili) pour le 10e Encuentro festival présenté par le Hemispheric Institute of Performance and Politics de la New York University (2016) et au Miami Performance International Festival (2017).
Les places sont limitées, l’entrée se fera sur le principe du premier arrivé, premier servi.
L’image de soi est l’une des formes d’expression omniprésente sur Internet. Chaque instant est potentiellement du matériel à selfie et chaque humeur mérite d’être (sur)partagée. Comme artiste de la performance, l’image de soi est inévitablement à l’avant-plan de ma pratique et, malgré le fait que je partage des selfies presque quotidiennement, je m’intéresse aux images de soi qu’on ne partage pas. En 2008, alors que j’anticipais la mort imminente de mon père après des années de combat contre le cancer du colon, je prenais régulièrement des vidéos de moi-même mais ne les partageais pas ni même ne les regardais. Dix ans plus tard, ce moi d’alors me fascine. Mon deuil s’est développé en quelque chose de plus tolérable et j’ai commencé à en souligner le 10e anniversaire en regardant ces images pour la première fois… et ce, devant public. Il s’agit donc de la seconde partie de ce processus et j’espère y compléter le visionnement.
Artiste non binaire d’origine polonaise, Johnny Forever Nawracaj vit à Montréal et sa pratique multidisciplinaire prend forme dans la performance et l’écriture. Leur travail forme des narrations surréalistes par la sculpture souple, la vidéo et la performance pour explorer de manière engagée les thèmes de l’amour, de la perte et de la nostalgie dans le cadre d’une production queer et transculturelle radicale.
Forever a présenté leur travail vidéo sur la scène internationale, notamment à la Gallery of Modern Art à Glasgow dans le cadre de sh[out]: LGBTI Contemporary Art and Human Rights (2009), à San Francisco lors du National Queers Arts Festival (2012) ainsi qu’à The Coming Society à Hong Kong (2013), et la 12e édition du International New Media Festival à Seoul dans le cadre du programme Queers Can’t Wait (2012). Leur collaboration en continu avec l’artiste sonore Gambletron les ont amenés à Santiago (Chili) pour le 10e Encuentro festival présenté par le Hemispheric Institute of Performance and Politics de la New York University (2016) et au Miami Performance International Festival (2017).