En 1946, Aragon, Braque et Picasso rejetaient le mot cubisme. Mais, ils lui concédaient s’être fait leur palette d’objets, d’éléments quotidiens d’une misérable vie. Pour eux, il s’agissait d’une esthétique plutôt introuvable. Même si l’expression s’était imposée, ils reconnaissaient une analogie entre le travail de déconstruction auquel ils se livraient pour perturber les regards.
Ainsi va aussi SaraDay qui provoque dans le temps et l’espace des représentations du subconscient. Elle les matérialise en trois dimensions avec le bois, la céramique, le verre, le bronze et la peinture.
SaraDay travaille avec des matériaux trouvés. Perdus dans la nature. Un éclair a fendu un arbre de quatre cents ans dans un cimetière et l’a fait tomber. Elle le récupère, le rapatrie dans son atelier, le scie et le découpe. À coups de couge et de boucharde, elle transmute. Un morceau devient un personnage ou un animal mythologique. Pour figurer le silence, elle lui plante un bouchon de verre dans la bouche.
Une pièce ainsi se structure et s’accomplit et sera peinte et nommée d’un mot, d’une expression populaire. L’amalgame arrive à une efficience métaphorique. Offerte au regard, elle devient chargée pour tous les sens.
Une poète, Denise Boucher, a écrit que
la signature de SARADAY est un nouveau totem dans l’histoire de l’art qui accompagne la marche de l’humanité.
SARADAY est née à Montréal, en 1954. Artiste multidisciplinaire, elle est présente dans les grandes collections des musées, des galeries québécoises, canadiennes et internationales.
Depuis les années soixante-dix, elle expose à la Galerie Pink, à la Chicago International Art Fair, chez Les Femmeuses de Pratt et Whitney, au Musée national de Québec, au Musée Bombardier, entre autres. Sa sculpture Sweet Pea est devenue la grande affiche du Musée national de Québec pour annoncer la tournée de son exposition itinérante.
Parmi ses collectionneurs privés, on trouve les noms de Phyllis Lambert, Réjean Ducharme, Denise Boucher, Anne Sylvestre, Pauline Julien, Gérald Godin, Guy Laliberté, Francine Simonin.
En 1946, Aragon, Braque et Picasso rejetaient le mot cubisme. Mais, ils lui concédaient s’être fait leur palette d’objets, d’éléments quotidiens d’une misérable vie. Pour eux, il s’agissait d’une esthétique plutôt introuvable. Même si l’expression s’était imposée, ils reconnaissaient une analogie entre le travail de déconstruction auquel ils se livraient pour perturber les regards.
Ainsi va aussi SaraDay qui provoque dans le temps et l’espace des représentations du subconscient. Elle les matérialise en trois dimensions avec le bois, la céramique, le verre, le bronze et la peinture.
SaraDay travaille avec des matériaux trouvés. Perdus dans la nature. Un éclair a fendu un arbre de quatre cents ans dans un cimetière et l’a fait tomber. Elle le récupère, le rapatrie dans son atelier, le scie et le découpe. À coups de couge et de boucharde, elle transmute. Un morceau devient un personnage ou un animal mythologique. Pour figurer le silence, elle lui plante un bouchon de verre dans la bouche.
Une pièce ainsi se structure et s’accomplit et sera peinte et nommée d’un mot, d’une expression populaire. L’amalgame arrive à une efficience métaphorique. Offerte au regard, elle devient chargée pour tous les sens.
Une poète, Denise Boucher, a écrit que
la signature de SARADAY est un nouveau totem dans l’histoire de l’art qui accompagne la marche de l’humanité.
SARADAY est née à Montréal, en 1954. Artiste multidisciplinaire, elle est présente dans les grandes collections des musées, des galeries québécoises, canadiennes et internationales.
Depuis les années soixante-dix, elle expose à la Galerie Pink, à la Chicago International Art Fair, chez Les Femmeuses de Pratt et Whitney, au Musée national de Québec, au Musée Bombardier, entre autres. Sa sculpture Sweet Pea est devenue la grande affiche du Musée national de Québec pour annoncer la tournée de son exposition itinérante.
Parmi ses collectionneurs privés, on trouve les noms de Phyllis Lambert, Réjean Ducharme, Denise Boucher, Anne Sylvestre, Pauline Julien, Gérald Godin, Guy Laliberté, Francine Simonin.