Pour ce projet inédit, Samuel Breton aborde de façon poétique et symbolique une iconographie identitaire qu’il fait sienne en l’inscrivant dans le tissu urbain. Comme motif de référence, il utilise une icône architecturale de la Ville de Québec, soit l’usine de pâtes et papiers White Birch, autrefois nommée Anglo-Pulp. Dans l’œuvre, une performance vidéographique de l’artiste animée par pixilation se trouve superposée à un dessin illustrant l’usine. Se plaçant en interaction avec l’image dessinée, Breton explore ainsi les références culturelles, historiques et philosophiques, elles-mêmes inspirées par cette architecture industrielle. Véritable collage surréalisant, la lecture de l’œuvre se forme au regard des interactions entre les différentes strates de sens ainsi superposées.
Samuel Breton est né à Québec en 1982. Son intérêt pour l’animation traditionnelle précède ses études en arts visuels. Ses premiers courts métrages d’animation explorent la narration par la métamorphose de la ligne et du clair-obscur, de même que la narration par l’objet. Suite à la réalisation de plusieurs œuvres animées, il se tourne vers la réalisation de collages poétiques. Diplômé aux beaux-arts de l’Université Concordia, c’est au cours de sa maîtrise en arts visuels à l’Université Laval qu’il effectue un retour à l’animation, en explorant l’interaction entre l’image fixe et l’image-mouvement et ce dans des œuvres multidisciplinaires.
L’artiste tient à souligner l’apport de François Millette au son.
À la galerie de La Bande Vidéo dans la Coopérative Méduse
Pour ce projet inédit, Samuel Breton aborde de façon poétique et symbolique une iconographie identitaire qu’il fait sienne en l’inscrivant dans le tissu urbain. Comme motif de référence, il utilise une icône architecturale de la Ville de Québec, soit l’usine de pâtes et papiers White Birch, autrefois nommée Anglo-Pulp. Dans l’œuvre, une performance vidéographique de l’artiste animée par pixilation se trouve superposée à un dessin illustrant l’usine. Se plaçant en interaction avec l’image dessinée, Breton explore ainsi les références culturelles, historiques et philosophiques, elles-mêmes inspirées par cette architecture industrielle. Véritable collage surréalisant, la lecture de l’œuvre se forme au regard des interactions entre les différentes strates de sens ainsi superposées.
Samuel Breton est né à Québec en 1982. Son intérêt pour l’animation traditionnelle précède ses études en arts visuels. Ses premiers courts métrages d’animation explorent la narration par la métamorphose de la ligne et du clair-obscur, de même que la narration par l’objet. Suite à la réalisation de plusieurs œuvres animées, il se tourne vers la réalisation de collages poétiques. Diplômé aux beaux-arts de l’Université Concordia, c’est au cours de sa maîtrise en arts visuels à l’Université Laval qu’il effectue un retour à l’animation, en explorant l’interaction entre l’image fixe et l’image-mouvement et ce dans des œuvres multidisciplinaires.
L’artiste tient à souligner l’apport de François Millette au son.
À la galerie de La Bande Vidéo dans la Coopérative Méduse