Pour le premier Salon : Data de la saison 2013 – 2014, les artistes Caroline Blais et Myriam Bleau présenteront leurs projets, respectivement « Domestic Memorabilia » et « Photomaton ».
« Domestic Memorabilia » est la première installation vidéo de Caroline Blais. Celle-ci récolte les objets autour d’elle, les accumule et met en valeur meubles et articles pratiques du quotidien. Elle en collectionne aussi plusieurs pour leur valeur sentimentale, pour conserver une trace des époques passées, de différents temps et lieux. Avec ces souvenirs, elle recompose le présent pour créer un univers unique et intemporel. L’installation est composée d’une table sur laquelle est projetée une boucle vidéo de 10 minutes, ainsi qu’une lampe en guise d’éclairage ambiant. Les images projetées sur la table sont des formes d’objets du quotidien ainsi que des objets plus ludiques. Les formes sont découpées à la main dans du carton, ce qui leur donne une apparence simplifiée. Ces contours sont eux-mêmes remplis de textures animées, photographiées chez les antiquaires et magasins d’objets d’occasion. Ce projet est à la fois une invitation à entrer dans l’univers de l’artiste, un moment où elle présente au public sa collection d’objets soigneusement choisis, récoltés à travers le monde et les années, ainsi qu’un moment de méditation sur nos possessions et sur les souvenirs qui y sont reliés.
Caroline Blais est une artiste visuelle Montréalaise. Elle a étudié le cinéma, le design graphique et les langues à Montréal et en Laponie. Sa pratique se situe à la frontière de l’art et du design graphique, et prend place dans l’espace public. Son travail a été présenté au Canada et en Europe, sous forme de performance VJ, d’installation vidéo, de livre ou de projet web. Elle tire son inspiration de ses observations du quotidien, des gens qu’elle rencontre et de voyages dans des lieux incongrus.
« Photomaton », de Myriam Bleau, est une installation sonore reliée à trois ampoules incandescentes, dont l’intensité est orchestrée de façon variable pour accompagner la musique. Fixées à des bobines rotatives activées mécaniquement, les ampoules peuvent osciller dans un effet de pendule ou changer de hauteur. La pièce explore une esthétique de la défaillance et de l’étrangeté, en utilisant des sons “glitch,” des sons de nature électrique, des “hums” et des “buzz”, des sinusoïdes pures. Le nombre limité d’objets lumineux favorise l’individualité de chaque ampoule et l’aspect narratif de l’oeuvre.
Myriam Bleau est une compositrice et artiste multimédia originaire de Montréal. Après avoir obtenu un baccalauréat en jazz à l’Université Concordia, elle étudie présentement à l’Université de Montréal en composition électroacoustique. En plus de composer de la musique électronique, instrumentale et mixte, elle s’intéresse à la création d’installations multimédias, avec un intérêt particulier pour les limites de la perception sensorielle, la frontière entre l’improvisation et la composition et celle qui existe entre les différents styles musicaux. Sa musique a été diffusée à travers le Canada, aux États-Unis et en Europe et son travail reconnu dans divers concours, dont la compétition Oscar Peterson ainsi que le projet 60×60 du CEC. Elle dirige plusieurs groupes instrumentaux aux styles hétéroclites (rock expérimental, jazz minimal, hip hop), avec lesquels elle a participé à des festivals montréalais comme le Festival International de Jazz et Art Matters.
Pour le premier Salon : Data de la saison 2013 – 2014, les artistes Caroline Blais et Myriam Bleau présenteront leurs projets, respectivement « Domestic Memorabilia » et « Photomaton ».
« Domestic Memorabilia » est la première installation vidéo de Caroline Blais. Celle-ci récolte les objets autour d’elle, les accumule et met en valeur meubles et articles pratiques du quotidien. Elle en collectionne aussi plusieurs pour leur valeur sentimentale, pour conserver une trace des époques passées, de différents temps et lieux. Avec ces souvenirs, elle recompose le présent pour créer un univers unique et intemporel. L’installation est composée d’une table sur laquelle est projetée une boucle vidéo de 10 minutes, ainsi qu’une lampe en guise d’éclairage ambiant. Les images projetées sur la table sont des formes d’objets du quotidien ainsi que des objets plus ludiques. Les formes sont découpées à la main dans du carton, ce qui leur donne une apparence simplifiée. Ces contours sont eux-mêmes remplis de textures animées, photographiées chez les antiquaires et magasins d’objets d’occasion. Ce projet est à la fois une invitation à entrer dans l’univers de l’artiste, un moment où elle présente au public sa collection d’objets soigneusement choisis, récoltés à travers le monde et les années, ainsi qu’un moment de méditation sur nos possessions et sur les souvenirs qui y sont reliés.
Caroline Blais est une artiste visuelle Montréalaise. Elle a étudié le cinéma, le design graphique et les langues à Montréal et en Laponie. Sa pratique se situe à la frontière de l’art et du design graphique, et prend place dans l’espace public. Son travail a été présenté au Canada et en Europe, sous forme de performance VJ, d’installation vidéo, de livre ou de projet web. Elle tire son inspiration de ses observations du quotidien, des gens qu’elle rencontre et de voyages dans des lieux incongrus.
« Photomaton », de Myriam Bleau, est une installation sonore reliée à trois ampoules incandescentes, dont l’intensité est orchestrée de façon variable pour accompagner la musique. Fixées à des bobines rotatives activées mécaniquement, les ampoules peuvent osciller dans un effet de pendule ou changer de hauteur. La pièce explore une esthétique de la défaillance et de l’étrangeté, en utilisant des sons “glitch,” des sons de nature électrique, des “hums” et des “buzz”, des sinusoïdes pures. Le nombre limité d’objets lumineux favorise l’individualité de chaque ampoule et l’aspect narratif de l’oeuvre.
Myriam Bleau est une compositrice et artiste multimédia originaire de Montréal. Après avoir obtenu un baccalauréat en jazz à l’Université Concordia, elle étudie présentement à l’Université de Montréal en composition électroacoustique. En plus de composer de la musique électronique, instrumentale et mixte, elle s’intéresse à la création d’installations multimédias, avec un intérêt particulier pour les limites de la perception sensorielle, la frontière entre l’improvisation et la composition et celle qui existe entre les différents styles musicaux. Sa musique a été diffusée à travers le Canada, aux États-Unis et en Europe et son travail reconnu dans divers concours, dont la compétition Oscar Peterson ainsi que le projet 60×60 du CEC. Elle dirige plusieurs groupes instrumentaux aux styles hétéroclites (rock expérimental, jazz minimal, hip hop), avec lesquels elle a participé à des festivals montréalais comme le Festival International de Jazz et Art Matters.
rue de Louvain Ouest
Montréal, QC (H2N1A4)