Un article publié dans La Presse, le samedi 10 octobre, fait état de la situation complexe dans laquelle les centres d’artistes autogérés et les galeries d’art situés en zone rouge se retrouvent présentement.
Le journaliste Jean Siag s’entretient avec différentes galeries d’art de l’édifice Belgo (Montréal), et la directrice du centre d’artistes CIRCA art actuel, Émilie Granjon. Au Belgo, où les galeries peuvent rester ouvertes, les centres d’artistes, qui sont des OBNL — et qui ne peuvent vendre leurs œuvres, hormis pendant des expos-bénéfices — doivent rester fermés (tout comme les musées), même s’ils appliquent exactement les mêmes mesures sanitaires que les galeries, avec qui ils voisinent.
L’article cite d’ailleurs le dernier communiqué envoyé par le RCAAQ sur la situation : « Ayant le statut de petits organismes culturels, les centres d’artistes voués à la diffusion s’apparentent davantage, de par leur taille, aux galeries d’art commerciales, ayant des dispositifs d’accueil quasi identiques pour les visiteurs des expositions. Se côtoyant parfois dans un même édifice ou au même étage, les galeries d’art peuvent aujourd’hui demeurer ouvertes et accessibles au public, pendant que les centres d’artistes doivent fermer boutique. »
Un article publié dans La Presse, le samedi 10 octobre, fait état de la situation complexe dans laquelle les centres d’artistes autogérés et les galeries d’art situés en zone rouge se retrouvent présentement.
Le journaliste Jean Siag s’entretient avec différentes galeries d’art de l’édifice Belgo (Montréal), et la directrice du centre d’artistes CIRCA art actuel, Émilie Granjon. Au Belgo, où les galeries peuvent rester ouvertes, les centres d’artistes, qui sont des OBNL — et qui ne peuvent vendre leurs œuvres, hormis pendant des expos-bénéfices — doivent rester fermés (tout comme les musées), même s’ils appliquent exactement les mêmes mesures sanitaires que les galeries, avec qui ils voisinent.
L’article cite d’ailleurs le dernier communiqué envoyé par le RCAAQ sur la situation : « Ayant le statut de petits organismes culturels, les centres d’artistes voués à la diffusion s’apparentent davantage, de par leur taille, aux galeries d’art commerciales, ayant des dispositifs d’accueil quasi identiques pour les visiteurs des expositions. Se côtoyant parfois dans un même édifice ou au même étage, les galeries d’art peuvent aujourd’hui demeurer ouvertes et accessibles au public, pendant que les centres d’artistes doivent fermer boutique. »
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Consultez notre communiqué, publié le 2 octobre 2020.
Source : Siag, Jean, « Des galeries d’art résilientes ”, La Presse, 10 octobre 2020.