Dans le cadre de l’exposition collective Buveurs de Quintessences, la Fonderie Darling est heureuse de présenter la performance Everything and Nothing (2013) de l’artiste conceptuelle canadienne Kelly Mark, interprétée en duo avec l’artiste Dean Baldwin.
L’œuvre met en scène un dialogue sur tout et sur rien entre un homme et une femme, dans un exercice de style entre deux expressions antinomiques qui finissent par se confondre. Mêlant librement une centaine d’aphorismes et de slogans commerciaux, passablement organisés en ordre alphabétique, Everything and Nothing ironise sur notre difficulté à saisir les nuances des soi disantes règles qui régissent nos comportements quotidiens, mais également les amalgames subversifs entre pensée philosophique et réclame publicitaire.
La performance fait écho à une autre œuvre de Kelly Mark présentée dans l’exposition : The Kiss (2007), une vidéo-sculpture composée de deux téléviseurs à tube cathodique placés écran contre écran sur un socle à hauteur d’homme. Une image monochromatique de couleur chair, dérivée de la lueur émanant de films pornographiques, anime les deux écrans dont le contact simule un baiser.
Dans le cadre de l’exposition collective Buveurs de Quintessences, la Fonderie Darling est heureuse de présenter la performance Everything and Nothing (2013) de l’artiste conceptuelle canadienne Kelly Mark, interprétée en duo avec l’artiste Dean Baldwin.
L’œuvre met en scène un dialogue sur tout et sur rien entre un homme et une femme, dans un exercice de style entre deux expressions antinomiques qui finissent par se confondre. Mêlant librement une centaine d’aphorismes et de slogans commerciaux, passablement organisés en ordre alphabétique, Everything and Nothing ironise sur notre difficulté à saisir les nuances des soi disantes règles qui régissent nos comportements quotidiens, mais également les amalgames subversifs entre pensée philosophique et réclame publicitaire.
La performance fait écho à une autre œuvre de Kelly Mark présentée dans l’exposition : The Kiss (2007), une vidéo-sculpture composée de deux téléviseurs à tube cathodique placés écran contre écran sur un socle à hauteur d’homme. Une image monochromatique de couleur chair, dérivée de la lueur émanant de films pornographiques, anime les deux écrans dont le contact simule un baiser.