« Les multiples rapports possibles entre paysage et mémoire, individuelle ou collective,
se réfèrent tant au réel quà limaginaire »
Du 6 décembre 2007 au 20 janvier 2008, la Galerie dart de Matane présentera lexposition « Paysages portatifs » de lartiste José Luis Torres.
Lartiste nous propose une expérience à partir du savoir-faire et du savoir-être qui nous invite à réfléchir à propos de la façon dont nous marquons notre territoire en établissant les limites entre la nature et la réalité construite par lêtre humain.
Le processus de création des uvres présentées est basé sur la technique de la construction en terre crue compactée, le pisé de terre, qui implique la succession de trois opérations de base : la construction et lassemblage des coffrages de bois, le remplissage et le compactage de la terre crue dans les coffrages à laide dune dameuse ou pilon et finalement, le démontage ou décoffrée.
En combinant de la terre crue et du bois contreplaqué, José Luis Torres traduit ici son intention de confronter le passé et le présent, la culture et la nature. Le contreplaqué de bois agit aussi comme caisses transportables. Munie de roulettes, chaque caisse-moule contient et transporte la mémoire en terre, comme des nomades sur le sol.
Pour lui, construire en terre crue est lié à la récupération dune tradition, de lidentité et de la mémoire. Comme restituer la mémoire à travers les souvenirs signifie aussi récupérer une partie de son histoire personnelle.
Le vernissage se tiendra le jeudi, 6 décembre, dès 17h00 en présence de lartiste.
« Les multiples rapports possibles entre paysage et mémoire, individuelle ou collective,
se réfèrent tant au réel quà limaginaire »
Du 6 décembre 2007 au 20 janvier 2008, la Galerie dart de Matane présentera lexposition « Paysages portatifs » de lartiste José Luis Torres.
Lartiste nous propose une expérience à partir du savoir-faire et du savoir-être qui nous invite à réfléchir à propos de la façon dont nous marquons notre territoire en établissant les limites entre la nature et la réalité construite par lêtre humain.
Le processus de création des uvres présentées est basé sur la technique de la construction en terre crue compactée, le pisé de terre, qui implique la succession de trois opérations de base : la construction et lassemblage des coffrages de bois, le remplissage et le compactage de la terre crue dans les coffrages à laide dune dameuse ou pilon et finalement, le démontage ou décoffrée.
En combinant de la terre crue et du bois contreplaqué, José Luis Torres traduit ici son intention de confronter le passé et le présent, la culture et la nature. Le contreplaqué de bois agit aussi comme caisses transportables. Munie de roulettes, chaque caisse-moule contient et transporte la mémoire en terre, comme des nomades sur le sol.
Pour lui, construire en terre crue est lié à la récupération dune tradition, de lidentité et de la mémoire. Comme restituer la mémoire à travers les souvenirs signifie aussi récupérer une partie de son histoire personnelle.
Le vernissage se tiendra le jeudi, 6 décembre, dès 17h00 en présence de lartiste.