Diagonale, le centre des arts et des fibres du Québec, accueille l’exposition Ombres à porter d’Amélie Brisson-Darveau dans le cadre de son volet soutenance, plage d’exposition dédiée aux finissants de la maîtrise en arts.
La relation entre soi, l’individu et l’environnement social est au centre du travail d’Amélie Brisson-Darveau. Utilisant le tissu et les fibres comme matériaux et métaphore, elle explore à travers des actions performatives, les relations humaines dans le temps et dans l’espace.
Dans Ombres à porter, elle trace l’ombre de ses amis pour en faire des patrons de vêtements qu’elle confectionne par la suite. De ces formes fluides, abstraites, elle crée des vêtements fantaisistes, improbables, inutilisables, dont la matérialité riche renvoie au réel, mais dont l’usage ne peut subvenir que dans un espace imaginaire : le public qui se tient devant ces pièces aperçoit son ombre projetée, flottante et il peut ainsi essayer les vêtements.
« Je conçois l’ombre comme une forme toujours en mouvement se rapprochant de la chorégraphie. Parfois je me plais à l’imaginer comme une petite scène portative (me suivant comme un petit nuage) qui crée les images en mouvement sous forme de danse.»
Diagonale, le centre des arts et des fibres du Québec, accueille l’exposition Ombres à porter d’Amélie Brisson-Darveau dans le cadre de son volet soutenance, plage d’exposition dédiée aux finissants de la maîtrise en arts.
La relation entre soi, l’individu et l’environnement social est au centre du travail d’Amélie Brisson-Darveau. Utilisant le tissu et les fibres comme matériaux et métaphore, elle explore à travers des actions performatives, les relations humaines dans le temps et dans l’espace.
Dans Ombres à porter, elle trace l’ombre de ses amis pour en faire des patrons de vêtements qu’elle confectionne par la suite. De ces formes fluides, abstraites, elle crée des vêtements fantaisistes, improbables, inutilisables, dont la matérialité riche renvoie au réel, mais dont l’usage ne peut subvenir que dans un espace imaginaire : le public qui se tient devant ces pièces aperçoit son ombre projetée, flottante et il peut ainsi essayer les vêtements.
« Je conçois l’ombre comme une forme toujours en mouvement se rapprochant de la chorégraphie. Parfois je me plais à l’imaginer comme une petite scène portative (me suivant comme un petit nuage) qui crée les images en mouvement sous forme de danse.»
5455, avenue de Gaspé, espace 110,
Montréal (Québec) H2T 3B3