Regart, centre d’artistes en art actuel et la Galerie Art’chipel s’associent, le temps d’un double vernissage
Dès le jeudi 23 octobre et ce jusqu’au dimanche 30 novembre 2014, Regart, centre d’artistes en art actuel accueillera l’artiste Mathieu Cardin et sa plus récente installation, Le simulacre est encore vrai. Parallèlement, toujours le 23 octobre, l’un de ses membres, Julien Lebargy, lance son exposition The Age of Innocence en haut de la Côte du Passage. Solidaire, le centre en profite pour créer un partenariat inédit avec la Galerie Art’chipel, qui l’accueille, afin présenter de concert un double vernissage qui débutera à 17 heures à Regart, pour se terminer à la galerie du 7, rue St-Louis.
Bien que sélectionné par le jury de programmation aussi tôt qu’à l’automne 2012, Mathieu Cardin n’a pu être joint par Regart depuis. Les derniers efforts, quelques jours en amont de la rédaction de ce communiqué, n’auront mené qu’à une saisie d’écran de l’ordinateur de l’artiste intéressé, remise par sa conjointe. Sans pouvoir l’affirmer hors de tout doute, la jeune femme laisse néanmoins entendre que celui-ci aurait passé plusieurs jours à réaliser quelques esquisses avant de disparaître, lesquelles étaient toujours affublées d’un « le simulacre est encore vrai ».
JULlIEN LEBARGY À ART’CHIPEL
Avec The Age of Innocence, la Galerie Art’chipel propose, du 23 octobre au 22 novembre 2014, les sculptures, les peintures et les dessins de Julien Lebargy. Abordant la question de la construction identitaire et du rôle de l’histoire dans celle-ci, l’exposition invite tantôt à plonger dans nos souvenirs personnels, tantôt dans notre histoire commune. Faisant également la belle part, tout comme Mathieu Cardin, au mensonge, aux fantasmes, à la nostalgie et à l’innocence, l’artiste s’approprie et se joue de la notion de véracité du passé. MATHIEU CARDIN Né à Urville, en France,
Mathieu Cardin démontre dès son plus jeune âge d’exceptionnelles aptitudes en sports de combat, en gymnastique et en théâtre. De ces premières disciplines, il gardera une grande flexibilité et un redoutable uppercut. Préalablement, intéressé par le cinéma et la photographie, une discussion bien arrosée avec un pilote d’avion et un garde forestier le mène à la sculpture d’installation. C’est sans expérience en art visuel qu’il déménage à Montréal. Boursier, il accède aussitôt à la maitrise en sculpture à l’Université Concordia après avoir proposé un portfolio d’images trouvées en ligne. Son oeuvre oscille entre le vrai et le faux, l’illusion et la réalité, tout en manipulant une imagerie qui mélange la propreté des produits Johnson & Johnson à la déconstruction des meubles IKEA.
JULIEN LEBARGY Artiste émergent né à Argenteuil, en France, en 1983, Julien Lebargy vit au Québec depuis 2006. En 2012, il a été sacré Lauréat des métiers d’art de Québec, en plus de recevoir le Prix Tomber dans l’Œil pour son projet Inbox Gallery à l’Œil de poisson. Membre fondateur du Studio 109, où il réalise de nombreux projets pour des artistes de Québec, il poursuit depuis sa production artistique à travers diverses expositions collectives et individuelles.
Dès le jeudi 23 octobre et ce jusqu’au dimanche 30 novembre 2014, Regart, centre d’artistes en art actuel accueillera l’artiste Mathieu Cardin et sa plus récente installation, Le simulacre est encore vrai. Parallèlement, toujours le 23 octobre, l’un de ses membres, Julien Lebargy, lance son exposition The Age of Innocence en haut de la Côte du Passage. Solidaire, le centre en profite pour créer un partenariat inédit avec la Galerie Art’chipel, qui l’accueille, afin présenter de concert un double vernissage qui débutera à 17 heures à Regart, pour se terminer à la galerie du 7, rue St-Louis.
Bien que sélectionné par le jury de programmation aussi tôt qu’à l’automne 2012, Mathieu Cardin n’a pu être joint par Regart depuis. Les derniers efforts, quelques jours en amont de la rédaction de ce communiqué, n’auront mené qu’à une saisie d’écran de l’ordinateur de l’artiste intéressé, remise par sa conjointe. Sans pouvoir l’affirmer hors de tout doute, la jeune femme laisse néanmoins entendre que celui-ci aurait passé plusieurs jours à réaliser quelques esquisses avant de disparaître, lesquelles étaient toujours affublées d’un « le simulacre est encore vrai ».
JULlIEN LEBARGY À ART’CHIPEL
Lévis Qc, Canada G6V 3B4