Cette exposition se déploie en deux lieux du Musée et l’intervention de l’artiste s’y décline sous deux formes différentes.
Un corpus d’œuvres vidéo et graphiques dans le pavillon Jean-Noël Desmarais : marquées par une économie de moyens, ces œuvres suggèrent une mise en forme plastique des divers rapports de forces observables dans les champs économique, politique et philosophique.
Cette exposition se déploie en deux lieux du Musée et l’intervention de l’artiste s’y décline sous deux formes différentes.
Un corpus d’œuvres vidéo et graphiques dans le pavillon Jean-Noël Desmarais : marquées par une économie de moyens, ces œuvres suggèrent une mise en forme plastique des divers rapports de forces observables dans les champs économique, politique et philosophique.
Dans le pavillon Michal et Renata Hornstein, une « infiltration » de la collection d’art méditerranéen, en clin d’œil à l’exposition Pompeii à l’affiche à compter du 6 février : la collection de numismatique du Musée a été temporairement remplacée par la collection personnelle de Mathieu Beauséjour. L’artiste y présente également des œuvres inspirées du méandre – un motif ornemental fréquemment utilisé dans l’architecture classique – qu’il a dissimulées parmi les véritables témoignages archéologiques.
Mathieu Beauséjour est né en 1970. Il vit et travaille à Montréal. Les œuvres de cette exposition ont été réalisées dans le cadre d’une résidence de l’artiste à la Fonderie Darling, parrainée par le Musée des beaux-arts de Montréal. Cette exposition est présentée avec l’aimable concours de l’artiste et de la galerie Antoine Ertaskiran, de Montréal. L’artiste tient à remercier le Conseil des arts du Canada.