C’est avec l’artiste Stéphanie Auger et Le plan que Regart, centre d’artistes en art actuel, poursuit sa programmation 2015-2016. Encore sous le thème de la sculpture, cette exposition présentée du 6 novembre au 18 décembre convie le public à la découverte d’une installation imposante et épurée.
Le travail de Stéphanie Auger glisse du langage pictural vers celui du sculptural. L’artiste travaille à partir d’un environnement déterminé, avec une ou plusieurs teintes précises et le plus souvent avec du papier. Elle travaille avec ces éléments, cherchant la simplicité de contour et d’accrochage. Le plan se situe dans cette exploration où elle crée des formes à la fois fragiles et volumineuses. Avec Le plan, Stéphanie Auger propose au public une œuvre grand format qui exploite toute la largeur de la galerie du centre d’artistes, modifiant notre perception du lieu.
Jeune diplômée en arts visuels et médiatiques de l’Université Laval, Stéphanie Auger a déjà une feuille de route bien fournie, ayant présenté son travail dans le cadre de l’exposition « Banc d’essai, 8e édition », à la Galerie des arts visuels (2013), l’encan du Lieu (2014), l’exposition Les anneaux de Saturne (2015), le festival Périphérique (2015) ainsi que l’exposition du 5e anniversaire de l’Espace Parenthèse (2015). Récipiendaire de la bourse Vigie à la fin de ses études en 2014, elle est également lauréate provinciale du concours national 1ères œuvres de BMO (2014)
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L’exposition LIVRES DE QUALITÉ présente les livres de 13 artistes dans le centre de documentation de Regart.
Loin de la présumée mort du livre, il s’agit ici de questionner et de s’approprier ses paramètres, de créer des espaces à l’intérieur desquels peuvent s’articuler formes et récits.
Dans le centre de documentation de Regart, les livres d’artistes cohabitent avec d’autres publications et revues d’art, mettant de l’avant leur nature ambivalente, et rapellant du même coup qu’ils n’appartiennent pas à quelque lieu privilégié qui soit, qu’ils sont disponibles à qui veut bien les regarder, dans un rapport d’intimité et d’immédiateté.
C’est ainsi que les LIVRES DE QUALITÉ de : Claudia Tremblay, Mathieu Labrecque, Paryse Martin, Laurie St-Onge Dostie, Pascale Robinson, Marie-Andrée Godin, Michel Félix Lemieux, David Lebel, Marie Gilbert, Luca Fortin, OBV, Chloé Beaulac et
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En mai dernier, Évelyne Pothier-Leboeuf se voyait décerner le prix Regart pour l’excellence de son travail et la qualité artistique de son projet lors de l’exposition de fin de programme des étudiant-e-s en arts visuels du Cégep Lévis-Lauzon. Invitée à exposer dans la Vitrine des membres, Évelyne Pothier-Leboeuf présente, du 6 novembre au 18 décembre, «Violence dénaturée», une installation métaphorique suggérant la violence imposée à la Terre par les êtres humains. L’artiste joue avec le plein et le vide, proposant un amalgame de bouteilles qui s’entassent dans l’espace, et utilise la couleur pour accentuer l’effet suggestif, rappelant ainsi le sang, la violence et la douleur. Évelyne Pothier-Leboeuf vit à Lévis, où elle a complété ses études collégiales en arts visuels suite à un premier DEC en architecture. Marie-Pier Gravel s’imposent en tant qu’œuvres autonomes et comme moyens privilégiés pour la conservation et la diffusion des idées.
C’est avec l’artiste Stéphanie Auger et Le plan que Regart, centre d’artistes en art actuel, poursuit sa programmation 2015-2016. Encore sous le thème de la sculpture, cette exposition présentée du 6 novembre au 18 décembre convie le public à la découverte d’une installation imposante et épurée.
Le travail de Stéphanie Auger glisse du langage pictural vers celui du sculptural. L’artiste travaille à partir d’un environnement déterminé, avec une ou plusieurs teintes précises et le plus souvent avec du papier. Elle travaille avec ces éléments, cherchant la simplicité de contour et d’accrochage. Le plan se situe dans cette exploration où elle crée des formes à la fois fragiles et volumineuses. Avec Le plan, Stéphanie Auger propose au public une œuvre grand format qui exploite toute la largeur de la galerie du centre d’artistes, modifiant notre perception du lieu.
Jeune diplômée en arts visuels et médiatiques de l’Université Laval, Stéphanie Auger a déjà une feuille de route bien fournie, ayant présenté son travail dans le cadre de l’exposition « Banc d’essai, 8e édition », à la Galerie des arts visuels (2013), l’encan du Lieu (2014), l’exposition Les anneaux de Saturne (2015), le festival Périphérique (2015) ainsi que l’exposition du 5e anniversaire de l’Espace Parenthèse (2015). Récipiendaire de la bourse Vigie à la fin de ses études en 2014, elle est également lauréate provinciale du concours national 1ères œuvres de BMO (2014)
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L’exposition LIVRES DE QUALITÉ présente les livres de 13 artistes dans le centre de documentation de Regart.
Loin de la présumée mort du livre, il s’agit ici de questionner et de s’approprier ses paramètres, de créer des espaces à l’intérieur desquels peuvent s’articuler formes et récits.
Dans le centre de documentation de Regart, les livres d’artistes cohabitent avec d’autres publications et revues d’art, mettant de l’avant leur nature ambivalente, et rapellant du même coup qu’ils n’appartiennent pas à quelque lieu privilégié qui soit, qu’ils sont disponibles à qui veut bien les regarder, dans un rapport d’intimité et d’immédiateté.
C’est ainsi que les LIVRES DE QUALITÉ de : Claudia Tremblay, Mathieu Labrecque, Paryse Martin, Laurie St-Onge Dostie, Pascale Robinson, Marie-Andrée Godin, Michel Félix Lemieux, David Lebel, Marie Gilbert, Luca Fortin, OBV, Chloé Beaulac et
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En mai dernier, Évelyne Pothier-Leboeuf se voyait décerner le prix Regart pour l’excellence de son travail et la qualité artistique de son projet lors de l’exposition de fin de programme des étudiant-e-s en arts visuels du Cégep Lévis-Lauzon. Invitée à exposer dans la Vitrine des membres, Évelyne Pothier-Leboeuf présente, du 6 novembre au 18 décembre, «Violence dénaturée», une installation métaphorique suggérant la violence imposée à la Terre par les êtres humains. L’artiste joue avec le plein et le vide, proposant un amalgame de bouteilles qui s’entassent dans l’espace, et utilise la couleur pour accentuer l’effet suggestif, rappelant ainsi le sang, la violence et la douleur. Évelyne Pothier-Leboeuf vit à Lévis, où elle a complété ses études collégiales en arts visuels suite à un premier DEC en architecture. Marie-Pier Gravel s’imposent en tant qu’œuvres autonomes et comme moyens privilégiés pour la conservation et la diffusion des idées.
Lévis Qc, Canada G6V 3B4