Espaces F vous convie ce vendredi au lancement de trois expositions portant sur les travaux d’artistes émergentes qui explorent chacune à leur manière différents thèmes et médiums. Malgré les démarches et les méthodes distinctes, les œuvres se rejoignent par leur caractère expérimental et leur maîtrise formelle.
Camille Bernard-Gravel s’intéresse aux phénomènes naturels tels le vent, la pluie, la lumière ainsi qu’aux mouvements et sons qu’ils engendrent.
Avec Éole, elle invite le public à manipuler des dispositifs électroniques qui reproduisent les effets d’une brise sur différents objets : une bâche se met à balloter, une branche d’arbre vient cogner contre une vitre, deux panneaux de signalisation s’entrechoquent, etc. Des micros renvoient les bruits ainsi produits aux oreilles du visiteur assis au poste de contrôle de cette installation de sculptures cinétiques inusitées. Diplômée en arts visuels et médiatiques de l’Université Laval en 2014, l’artiste a déjà plusieurs expositions à son actif tant au Québec qu’au Canada et à l’étranger.
Elle vit et travaille à Québec.
Déraisonances est une installation visuelle et sonore composée de deux écrans présentant d’un côté une jeune femme opérant une dissection sentimentale et de l’autre un duel entre un homme et une machine à écrire. Entre ces deux tableaux «cinématographiques», le spectateur est invité à déplacer son regard, à combiner les symboles, à synthétiser les ambiances, soutenu par une trame sonore qui pénètre les formes et la construction narrative.
Directrice artistique, styliste et accessoiriste, Besma Boukhri travaille à Québec dans le milieu du théâtre, du cinéma et des arts médiatiques.
Avec Diogénisation, Léonie Therrien-Tremblay propose une série de «peintures chiennes» où les personnages, animaux et humains, sont saisis dans d’étranges situations. Les références volontaires à l’histoire de l’art informent ici une pratique artistique construite autour de l’autobiographie, du sampling pictural et d’une symbolique qui emprunte aussi bien au religieux qu’au philosophique.
Après des études de 1 er cycle en arts visuels à l’Université Concordia, l’artiste de Matane a présenté son travail lors de plusieurs expositions individuelles ou collectives.
Espaces F vous convie ce vendredi au lancement de trois expositions portant sur les travaux d’artistes émergentes qui explorent chacune à leur manière différents thèmes et médiums. Malgré les démarches et les méthodes distinctes, les œuvres se rejoignent par leur caractère expérimental et leur maîtrise formelle.
Camille Bernard-Gravel s’intéresse aux phénomènes naturels tels le vent, la pluie, la lumière ainsi qu’aux mouvements et sons qu’ils engendrent.
Avec Éole, elle invite le public à manipuler des dispositifs électroniques qui reproduisent les effets d’une brise sur différents objets : une bâche se met à balloter, une branche d’arbre vient cogner contre une vitre, deux panneaux de signalisation s’entrechoquent, etc. Des micros renvoient les bruits ainsi produits aux oreilles du visiteur assis au poste de contrôle de cette installation de sculptures cinétiques inusitées. Diplômée en arts visuels et médiatiques de l’Université Laval en 2014, l’artiste a déjà plusieurs expositions à son actif tant au Québec qu’au Canada et à l’étranger.
Elle vit et travaille à Québec.
Déraisonances est une installation visuelle et sonore composée de deux écrans présentant d’un côté une jeune femme opérant une dissection sentimentale et de l’autre un duel entre un homme et une machine à écrire. Entre ces deux tableaux «cinématographiques», le spectateur est invité à déplacer son regard, à combiner les symboles, à synthétiser les ambiances, soutenu par une trame sonore qui pénètre les formes et la construction narrative.
Directrice artistique, styliste et accessoiriste, Besma Boukhri travaille à Québec dans le milieu du théâtre, du cinéma et des arts médiatiques.
Avec Diogénisation, Léonie Therrien-Tremblay propose une série de «peintures chiennes» où les personnages, animaux et humains, sont saisis dans d’étranges situations. Les références volontaires à l’histoire de l’art informent ici une pratique artistique construite autour de l’autobiographie, du sampling pictural et d’une symbolique qui emprunte aussi bien au religieux qu’au philosophique.
Après des études de 1 er cycle en arts visuels à l’Université Concordia, l’artiste de Matane a présenté son travail lors de plusieurs expositions individuelles ou collectives.