Habanart à Québec
Six propositions cubaines en art actuel
Le Lieu, centre en art actuel et LA CHAMBRE BLANCHE présentent Habanart à Québec du 13 septembre au 7 octobre 2007. Habanart à Québec, c’est de la photographie, de l’art Web, de la performance, de l’installation in situ et de l’intervention contextualisée. Une occasion unique pour constater la vitalité de l’art actuel à La Havane !
Habanart à Québec s’inscrit dans le cadre d’un échange artistique entre les villes de Québec et de La Havane, échange où, dans un premier temps, sept artistes cubains viennent présenter leurs travaux dans la Capitale-Nationale et où, dans un deuxième temps, soit en mars 2008, vingt-cinq artistes de Québec et de Saguenay se rendront à La Havane. Aussi, afin d’élargir la portée de l’événement, le centre Séquence de Chicoutimi accueille les travaux de deux autres artistes de la capitale cubaine.
Programmation :
13 septembre 17 h, à LA CHAMBRE BLANCHE > Vernissage des expositions d’Aymée García, de José Manuel Fors et de Luis Gómez.
13 septembre 20 h, au Lieu > Vernissage de l’exposition de Nelson Ramírez et Liudmila Velazco, ainsi que performance de Mayin-B et travail in situ de Rigoberto Mena.
15 septembre 13 h, à LA CHAMBRE BLANCHE > Conférence sur l’art actuel cubain par Nelson Herrera Ysla, responsable de la sélection des artistes cubains.
Présentation* des artistes cubains :
Nelson Ramírez et Liudmila Velazco développent leurs recherches photographiques aussi bien à partir de thèmes liés aux contextes social et politique qu’à partir de la photographie ellemême. Insatisfaits par les deux dimensions qu’offrait le papier photographique, ils ont commencé à inclure des objets, du mobilier, des décorations d’intérieur, des drapeaux, des livres, tout ce qui était susceptible d’alimenter le coeur de cette relation difficile pour parvenir enfin à une sorte d’installation.
Luis Gómez a parcouru un vaste chemin, allant de la sculpture et de l’objet aux dernières tendances en matière de vidéo et d’informatique, en passant par la photographie en couleurs, le dessin et la peinture. Son oeuvre vise à tenter de répondre aux problèmes posés par l’existence humaine et par l’art lui-même, et c’est dans ce processus constant de réflexion qu’il trouve ses meilleures propositions artistique
Rigoberto Mena représente le meilleur de la tradition de la peinture abstraite de Cuba. Il a réalisé des oeuvres sur toile, bois, métal, et depuis un certain temps, ne se contentant pas, comme d’autres artistes cubains, de l’espace fermé des galeries et des musées, il a investi l’environnement citadin.
José Manuel Fors est un photographe qui a déconstruit progressivement l’image imprimée pour finalement la soumettre à des processus d’intense fragmentation plane et volumétrique qui redonnent un sens à ses propres codes pour finalement créer d’autres images, en un sens « nouvelles ». Il a appliqué la même démarche aux instruments typiques de la photographie : caméras, objectifs, trépieds, films, obturateurs, lesquels se soumettent à une nouvelle « grammaire » visuelle générative atteignant un haut degré de discursivité esthétique à la manière traditionnelle de l’art, par l’intermédiaire de l’objet, de la sculpture, y compris de la peinture elle-même.
Aymée García a commencé en tant que jeune peintre qui s’appropriait les codes visuels de la Renaissance pour énoncer des idées tournant autour de la question de la femme et de son rôle social. Pour elle, la photographie est maintenant un instrument aussi puissant que la peinture qui permet de continuer à explorer la question de la féminité dans le monde contemporain.
Mayin-B est considéré depuis longtemps déjà comme un cas particulier à l’intérieur des structures d’exposition et de circulation des oeuvres artistiques, car c’est un des rares performeurs qui existent qui demeure fidèle à sa condition. Il travaille la plupart du temps dans des espaces ouverts et publics. Son but est de provoquer diverses réactions du public, de rompre sa passivité face à certaines situations et conditions, qu’elles soient de nature intellectuelle ou émotionnelle, dans une recherche désireuse d’établir, en fin de compte, des relations par le biais de l’impact visuel d’ordre esthétique.
* Extraits d’un texte de Nelson Herrera Ysla à paraître dans le numéro 97 d’Inter, art actuel.
Initié par Le Lieu, centre en art actuel, avec la collaboration de LA CHAMBRE BLANCHE et du centre Séquence, cet échange artistique reçoit l’appui de l’entente MCC-Ville de Québec.
La galerie du Lieu est ouverte du lundi au dimanche de 13 h à 17 h ; celle de LA CHAMBRE BLANCHE, du lundi au vendredi de 9 h à 17 h et de 13 h à 17 h la fin de semaine.
Habanart à Québec
Six propositions cubaines en art actuel
Le Lieu, centre en art actuel et LA CHAMBRE BLANCHE présentent Habanart à Québec du 13 septembre au 7 octobre 2007. Habanart à Québec, c’est de la photographie, de l’art Web, de la performance, de l’installation in situ et de l’intervention contextualisée. Une occasion unique pour constater la vitalité de l’art actuel à La Havane !
Habanart à Québec s’inscrit dans le cadre d’un échange artistique entre les villes de Québec et de La Havane, échange où, dans un premier temps, sept artistes cubains viennent présenter leurs travaux dans la Capitale-Nationale et où, dans un deuxième temps, soit en mars 2008, vingt-cinq artistes de Québec et de Saguenay se rendront à La Havane. Aussi, afin d’élargir la portée de l’événement, le centre Séquence de Chicoutimi accueille les travaux de deux autres artistes de la capitale cubaine.
Programmation :
13 septembre 17 h, à LA CHAMBRE BLANCHE > Vernissage des expositions d’Aymée García, de José Manuel Fors et de Luis Gómez.
13 septembre 20 h, au Lieu > Vernissage de l’exposition de Nelson Ramírez et Liudmila Velazco, ainsi que performance de Mayin-B et travail in situ de Rigoberto Mena.
15 septembre 13 h, à LA CHAMBRE BLANCHE > Conférence sur l’art actuel cubain par Nelson Herrera Ysla, responsable de la sélection des artistes cubains.
Présentation* des artistes cubains :
Nelson Ramírez et Liudmila Velazco développent leurs recherches photographiques aussi bien à partir de thèmes liés aux contextes social et politique qu’à partir de la photographie ellemême. Insatisfaits par les deux dimensions qu’offrait le papier photographique, ils ont commencé à inclure des objets, du mobilier, des décorations d’intérieur, des drapeaux, des livres, tout ce qui était susceptible d’alimenter le coeur de cette relation difficile pour parvenir enfin à une sorte d’installation.
Luis Gómez a parcouru un vaste chemin, allant de la sculpture et de l’objet aux dernières tendances en matière de vidéo et d’informatique, en passant par la photographie en couleurs, le dessin et la peinture. Son oeuvre vise à tenter de répondre aux problèmes posés par l’existence humaine et par l’art lui-même, et c’est dans ce processus constant de réflexion qu’il trouve ses meilleures propositions artistique
Rigoberto Mena représente le meilleur de la tradition de la peinture abstraite de Cuba. Il a réalisé des oeuvres sur toile, bois, métal, et depuis un certain temps, ne se contentant pas, comme d’autres artistes cubains, de l’espace fermé des galeries et des musées, il a investi l’environnement citadin.
José Manuel Fors est un photographe qui a déconstruit progressivement l’image imprimée pour finalement la soumettre à des processus d’intense fragmentation plane et volumétrique qui redonnent un sens à ses propres codes pour finalement créer d’autres images, en un sens « nouvelles ». Il a appliqué la même démarche aux instruments typiques de la photographie : caméras, objectifs, trépieds, films, obturateurs, lesquels se soumettent à une nouvelle « grammaire » visuelle générative atteignant un haut degré de discursivité esthétique à la manière traditionnelle de l’art, par l’intermédiaire de l’objet, de la sculpture, y compris de la peinture elle-même.
Aymée García a commencé en tant que jeune peintre qui s’appropriait les codes visuels de la Renaissance pour énoncer des idées tournant autour de la question de la femme et de son rôle social. Pour elle, la photographie est maintenant un instrument aussi puissant que la peinture qui permet de continuer à explorer la question de la féminité dans le monde contemporain.
Mayin-B est considéré depuis longtemps déjà comme un cas particulier à l’intérieur des structures d’exposition et de circulation des oeuvres artistiques, car c’est un des rares performeurs qui existent qui demeure fidèle à sa condition. Il travaille la plupart du temps dans des espaces ouverts et publics. Son but est de provoquer diverses réactions du public, de rompre sa passivité face à certaines situations et conditions, qu’elles soient de nature intellectuelle ou émotionnelle, dans une recherche désireuse d’établir, en fin de compte, des relations par le biais de l’impact visuel d’ordre esthétique.
* Extraits d’un texte de Nelson Herrera Ysla à paraître dans le numéro 97 d’Inter, art actuel.
Initié par Le Lieu, centre en art actuel, avec la collaboration de LA CHAMBRE BLANCHE et du centre Séquence, cet échange artistique reçoit l’appui de l’entente MCC-Ville de Québec.
La galerie du Lieu est ouverte du lundi au dimanche de 13 h à 17 h ; celle de LA CHAMBRE BLANCHE, du lundi au vendredi de 9 h à 17 h et de 13 h à 17 h la fin de semaine.
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