« Le Cercle brisé / Broken Circle » est une installation sculpturale de l’artiste Karine Giboulo, incroyablement engageante, puissante et émouvante qui témoigne des relations brisées du Canada avec les communautés des Premières Nations. L’artiste emploie la sculpture comme mode de narration; elle raconte des histoires à travers la création d’incroyables miniatures colorées qui rappellent les dioramas des musées.
Dans le but de réaliser son projet sur les peuples des Premières Nations, Karine Giboulo s’est rendue au sein de différentes communautés autochtones du Québec. « Le Cercle brisé / Broken Circle » est le résultat de cette recherche. Désirant amplifier la récente prise de conscience à l’échelle nationale, l’artiste explique que le sujet choisi ne concerne pas uniquement les autochtones, mais bien l’ensemble des canadiens. Cette œuvre est aussi une collection d’histoires. Mathias, un Innu de Natashquan et survivant des pensionnats, a généreusement partagé ses expériences personnelles avec l’artiste. Des vignettes détaillées sautent d’une génération à l’autre pour raconter une histoire non linéaire inspirée des mots de Mathias et d’autres personnes.
L’œuvre « Le Cercle brisé / Broken Circle » est une installation circulaire de huit pieds de diamètre qui présente de nombreuses scènes par le biais de personnages et objets minutieusement sculptés. Le cercle représente à la fois l’unité familiale et le territoire des peuples des Premières Nations. Brisée de part et d’autre, la narration y survient en plusieurs temps.
Durant le processus de création, l’artiste prend le temps de sculpter à la main chaque personnage avec compassion et respect. Le processus laborieux et les détails investis témoignent de sa conscience du pouvoir des histoires. Elle mène ses recherches avec l’esprit critique d’une journaliste, les notes de terrain d’une anthropologue et elle transmet ses recherches avec la sensibilité d’une conteuse.
Giboulo vit et travaille à Montréal. Depuis le début des années 2000, elle travaille dans une grande variété de médiums, mais a particulièrement attiré l’attention grâce à ses dioramas d’environnements humains miniatures. Elle a participé à plusieurs expositions collectives et individuelles au Canada et aux États-Unis. Karine Giboulo a été récompensée par de nombreuses bourses et subventions et a été lauréate en 2011 du prestigieux prix Winifred Shantz en céramique. Giboulo est représentée par la galerie Art Mûr à Montréal.
Situé au 5160 boulevard LaSalle, le Quai 5160 – maison de la culture de Verdun est ouverte au public de 12 h à 19 h 30 du mardi au vendredi, ainsi que le samedi de 10 h à 12 h à 17 h 30.
« Le Cercle brisé / Broken Circle » est une installation sculpturale de l’artiste Karine Giboulo, incroyablement engageante, puissante et émouvante qui témoigne des relations brisées du Canada avec les communautés des Premières Nations. L’artiste emploie la sculpture comme mode de narration; elle raconte des histoires à travers la création d’incroyables miniatures colorées qui rappellent les dioramas des musées.
Dans le but de réaliser son projet sur les peuples des Premières Nations, Karine Giboulo s’est rendue au sein de différentes communautés autochtones du Québec. « Le Cercle brisé / Broken Circle » est le résultat de cette recherche. Désirant amplifier la récente prise de conscience à l’échelle nationale, l’artiste explique que le sujet choisi ne concerne pas uniquement les autochtones, mais bien l’ensemble des canadiens. Cette œuvre est aussi une collection d’histoires. Mathias, un Innu de Natashquan et survivant des pensionnats, a généreusement partagé ses expériences personnelles avec l’artiste. Des vignettes détaillées sautent d’une génération à l’autre pour raconter une histoire non linéaire inspirée des mots de Mathias et d’autres personnes.
L’œuvre « Le Cercle brisé / Broken Circle » est une installation circulaire de huit pieds de diamètre qui présente de nombreuses scènes par le biais de personnages et objets minutieusement sculptés. Le cercle représente à la fois l’unité familiale et le territoire des peuples des Premières Nations. Brisée de part et d’autre, la narration y survient en plusieurs temps.
Durant le processus de création, l’artiste prend le temps de sculpter à la main chaque personnage avec compassion et respect. Le processus laborieux et les détails investis témoignent de sa conscience du pouvoir des histoires. Elle mène ses recherches avec l’esprit critique d’une journaliste, les notes de terrain d’une anthropologue et elle transmet ses recherches avec la sensibilité d’une conteuse.
Giboulo vit et travaille à Montréal. Depuis le début des années 2000, elle travaille dans une grande variété de médiums, mais a particulièrement attiré l’attention grâce à ses dioramas d’environnements humains miniatures. Elle a participé à plusieurs expositions collectives et individuelles au Canada et aux États-Unis. Karine Giboulo a été récompensée par de nombreuses bourses et subventions et a été lauréate en 2011 du prestigieux prix Winifred Shantz en céramique. Giboulo est représentée par la galerie Art Mûr à Montréal.
Situé au 5160 boulevard LaSalle, le Quai 5160 – maison de la culture de Verdun est ouverte au public de 12 h à 19 h 30 du mardi au vendredi, ainsi que le samedi de 10 h à 12 h à 17 h 30.