Martin Beauregard
Vernissage le 4 mai à 19 h
Il arrive aprfois que le monde réel nous fasse sentir comme au cinéma. Qu’un lieu ressemble étrangement qux souvenirs que l’on a pu garder d’un film. Un peu comme si à force d’avoir représenté le réel, sa représentation cinématographique et télévisuelle viendrait à son tour imprégner la réalité. Nous laissant devant le monde avec une inquiétante impression de déjà vu… – Martin Beauregard
Dans le cadre de ce projet d’exposition, Beauregard présente deux oeuvres où il explore et représente un monde vacillant entre le merveilleux et le désenchantement.
1- Court métrage “Last time Cowboy” : reality-show et fiction (sur moniteur) : Ce projet questionne la limite entre l’acteur et le participant, cette fine ligne où se brouillent le cinéma et la vie réelle des personnages.
2- “Exotisme et désenchantement” (impressions numériques) : Cinq paysages en noir et blanc, où figurent des arcs-en-ciel en premier plan, servent de mise en scène à une série de photos de voyages qu’aurait pris un touriste lors d’un safari international au début du siècle.
Martin Beauregard
Vernissage le 4 mai à 19 h
Il arrive aprfois que le monde réel nous fasse sentir comme au cinéma. Qu’un lieu ressemble étrangement qux souvenirs que l’on a pu garder d’un film. Un peu comme si à force d’avoir représenté le réel, sa représentation cinématographique et télévisuelle viendrait à son tour imprégner la réalité. Nous laissant devant le monde avec une inquiétante impression de déjà vu… – Martin Beauregard
Dans le cadre de ce projet d’exposition, Beauregard présente deux oeuvres où il explore et représente un monde vacillant entre le merveilleux et le désenchantement.
1- Court métrage “Last time Cowboy” : reality-show et fiction (sur moniteur) : Ce projet questionne la limite entre l’acteur et le participant, cette fine ligne où se brouillent le cinéma et la vie réelle des personnages.
2- “Exotisme et désenchantement” (impressions numériques) : Cinq paysages en noir et blanc, où figurent des arcs-en-ciel en premier plan, servent de mise en scène à une série de photos de voyages qu’aurait pris un touriste lors d’un safari international au début du siècle.