LA LETTRE À LÉCRAN
CINQ PROGRAMMATIONS VIDÉO
Proposées par Anne Golden (GIV),
Youssef El Jaï (PRIM), Francine Plante (Vidéo Femmes)
et Sylvie Roy (Vidéographe), avec la complicité de Diane Poitras (Cinémathèque québécoise).
SÉANCES :
CINÉMATHÈQUE QUÉBÉCOISE, SALLE FERNAND-SEGUIN,
335, BOUL. DE MAISONNEUVE EST, MONTRÉAL
INFOS : TÉL : 514 842 9763 / WWW.CINEMATHEQUE.QC.CA
MERCREDI 23, VENDREDI 25, MERCREDI 30 MAI,
VENDREDI 1ER ET MERCREDI 6 JUIN 2007
19 H
Dans le cadre du cycle de programmation LA LETTRE À LÉCRAN présenté jusquau 14 juin 2007 à la Cinémathèque québécoise, VIDÉOGRAPHE est fier de sassocier au Groupe dintervention vidéo, à PRIM et à Vidéo Femmes pour la présentation de cinq programmes vidéo sur le thème de la lettre et ses multiples variations.
À linvitation de Diane Poitras, VIDÉOGRAPHE propose deux programmations regroupant les uvres de onze artistes. Sans prétention historique, cette programmation sattarde sur quelques artistes explorant le registre de la lettre vidéo, du journal intime et de lautoportrait.
Un premier volet, LE MURMURE DE TA VOIX (23 mai), présente des propositions décriture qui sinscrivent dans le prolongement dun travail sur lintrospection, sur la manière dont se construit une histoire, la sienne comme celle des autres. Croisements entre cinéma et vidéo, ces récits se tissent dimpressions fugitives. Ils se déploient dans le mouvement envoûtant dimages, dans les traces dune pensée, portée par des voix singulières, toujours marquantes, celles de Jean Chabot, de Rodrigue Jean, de Nelson Henricks et de Sylvie Laliberté. Un deuxième volet, ALCHIMIE DU RÉEL (30 MAI), présente des uvres qui questionnent le poids du réel et qui bousculent la place du spectateur devant des fragments de vie. Complexe mise en scène, cadre implacable duquel on ne peut séchapper, vertige dune parole qui simpose dans la durée, recoupent la démarche de Donigan Cumming, de Robert Morin et de Louis Dionne.
« On remarquera peut-être que, dans la réalité, la lettre personnelle manuscrite devient presque obsolète au moment où émerge le genre « lettre cinématographique » ou « lettre-vidéo » et que prolifère « lauto mise en scène » sur Internet. Que faut-il en conclure ? Nous nous contentons ici den remarquer la coïncidence. »
– Diane Poitras
LEspace Vidéographe tient à remercier les artistes ; Diane Poitras, Dominique Dugas et Coline Niess (Cinémathèque québécoise) ; Anne Golden (GIV) ; Angèle Cyr et Youssef El Jaï (PRIM) ; Francine Plante (Vidéo Femmes) ; Chantal Fleury ; Frédéric Moffet ;
Martin Renaud, Annie Tellier, Denis Vaillancourt et Alexandre Caron (Vidéographe), ainsi que le Conseil des Arts du Canada, le Conseil des arts et des lettres du Québec et le Conseil des arts de Montréal.
LA LETTRE À LÉCRAN
CINQ PROGRAMMATIONS VIDÉO
Proposées par Anne Golden (GIV),
Youssef El Jaï (PRIM), Francine Plante (Vidéo Femmes)
et Sylvie Roy (Vidéographe), avec la complicité de Diane Poitras (Cinémathèque québécoise).
SÉANCES :
CINÉMATHÈQUE QUÉBÉCOISE, SALLE FERNAND-SEGUIN,
335, BOUL. DE MAISONNEUVE EST, MONTRÉAL
INFOS : TÉL : 514 842 9763 / WWW.CINEMATHEQUE.QC.CA
MERCREDI 23, VENDREDI 25, MERCREDI 30 MAI,
VENDREDI 1ER ET MERCREDI 6 JUIN 2007
19 H
Dans le cadre du cycle de programmation LA LETTRE À LÉCRAN présenté jusquau 14 juin 2007 à la Cinémathèque québécoise, VIDÉOGRAPHE est fier de sassocier au Groupe dintervention vidéo, à PRIM et à Vidéo Femmes pour la présentation de cinq programmes vidéo sur le thème de la lettre et ses multiples variations.
À linvitation de Diane Poitras, VIDÉOGRAPHE propose deux programmations regroupant les uvres de onze artistes. Sans prétention historique, cette programmation sattarde sur quelques artistes explorant le registre de la lettre vidéo, du journal intime et de lautoportrait.
Un premier volet, LE MURMURE DE TA VOIX (23 mai), présente des propositions décriture qui sinscrivent dans le prolongement dun travail sur lintrospection, sur la manière dont se construit une histoire, la sienne comme celle des autres. Croisements entre cinéma et vidéo, ces récits se tissent dimpressions fugitives. Ils se déploient dans le mouvement envoûtant dimages, dans les traces dune pensée, portée par des voix singulières, toujours marquantes, celles de Jean Chabot, de Rodrigue Jean, de Nelson Henricks et de Sylvie Laliberté. Un deuxième volet, ALCHIMIE DU RÉEL (30 MAI), présente des uvres qui questionnent le poids du réel et qui bousculent la place du spectateur devant des fragments de vie. Complexe mise en scène, cadre implacable duquel on ne peut séchapper, vertige dune parole qui simpose dans la durée, recoupent la démarche de Donigan Cumming, de Robert Morin et de Louis Dionne.
« On remarquera peut-être que, dans la réalité, la lettre personnelle manuscrite devient presque obsolète au moment où émerge le genre « lettre cinématographique » ou « lettre-vidéo » et que prolifère « lauto mise en scène » sur Internet. Que faut-il en conclure ? Nous nous contentons ici den remarquer la coïncidence. »
– Diane Poitras
LEspace Vidéographe tient à remercier les artistes ; Diane Poitras, Dominique Dugas et Coline Niess (Cinémathèque québécoise) ; Anne Golden (GIV) ; Angèle Cyr et Youssef El Jaï (PRIM) ; Francine Plante (Vidéo Femmes) ; Chantal Fleury ; Frédéric Moffet ;
Martin Renaud, Annie Tellier, Denis Vaillancourt et Alexandre Caron (Vidéographe), ainsi que le Conseil des Arts du Canada, le Conseil des arts et des lettres du Québec et le Conseil des arts de Montréal.