Suzanne Joos
Techniques mixtes
Vernissage le 22 mai de 14 h à 17 h
En présentant dans un même lieu le travail de Ber Lazarus et de Suzanne Joos, le CEG propose une rencontre qui en étonnera plus d’un. En effet, le travail de ces deux artistes n’était pas naturellement destiné à une telle rencontre. Bien que leur travail respectif se distingue nettement, il n’en reste pas moins que la juxtaposition révélera une communauté qui, autrement, serait passée inaperçue.
Suzanne Joos présente La carte : Territoire d’une écriture picturale. Ce travail témoigne de préoccupations relatives à la peinture et à l’écriture. Les concepts de nom propre et de territoire contribuent à l’invention d’une écriture picturale qui prend forme en référence avec les cartes géographiques. La carte devient alors un objet usuel lié au pouvoir et à l’orientation; un objet où la théorie et la pratique tournent autour de l’imaginaire et de sa transcription.
Qu’elles soient d’une seule pièce, composées ou sous forme de livres d’artistes, les cartes géographiques de Suzanne Joos ne représentent jamais un tout. Il s’agit donc de fragments d’espaces fictifs. Ces espaces, en raison de leur planéité, se donnent à voir comme des abstractions.
Suzanne Joos dépouille la cartographie de sa fonction cognitive afin d’explorer un univers poétique. Ber Lazarus, quant à lui, dépouille le livre de sa fonction intrinsèque pour révéler un univers fictif et inattendu. En ce qui nous concerne, quels sont les repères qui nous permettrons d’appréhender ces approches? Où nous mènera la cohabitation de ces deux univers différents et réciproques? Qui peut le dire?
Suzanne Joos
Techniques mixtes
Vernissage le 22 mai de 14 h à 17 h
En présentant dans un même lieu le travail de Ber Lazarus et de Suzanne Joos, le CEG propose une rencontre qui en étonnera plus d’un. En effet, le travail de ces deux artistes n’était pas naturellement destiné à une telle rencontre. Bien que leur travail respectif se distingue nettement, il n’en reste pas moins que la juxtaposition révélera une communauté qui, autrement, serait passée inaperçue.
Suzanne Joos présente La carte : Territoire d’une écriture picturale. Ce travail témoigne de préoccupations relatives à la peinture et à l’écriture. Les concepts de nom propre et de territoire contribuent à l’invention d’une écriture picturale qui prend forme en référence avec les cartes géographiques. La carte devient alors un objet usuel lié au pouvoir et à l’orientation; un objet où la théorie et la pratique tournent autour de l’imaginaire et de sa transcription.
Qu’elles soient d’une seule pièce, composées ou sous forme de livres d’artistes, les cartes géographiques de Suzanne Joos ne représentent jamais un tout. Il s’agit donc de fragments d’espaces fictifs. Ces espaces, en raison de leur planéité, se donnent à voir comme des abstractions.
Suzanne Joos dépouille la cartographie de sa fonction cognitive afin d’explorer un univers poétique. Ber Lazarus, quant à lui, dépouille le livre de sa fonction intrinsèque pour révéler un univers fictif et inattendu. En ce qui nous concerne, quels sont les repères qui nous permettrons d’appréhender ces approches? Où nous mènera la cohabitation de ces deux univers différents et réciproques? Qui peut le dire?