Installation
du 28 oct
au 25 nov
Vernissage
samedi, 28 oct 14h
Quels que soient les moyens quemprunte
sa pratique vêtements ou étiquettes, tissus
réels ou numérisés, oeuvres textiles ou sur
papier cest chaque fois la courtepointe ellemême,
comme manière de penser le travail
et de le concrétiser, comme philosophie, qui
constitue, au-delà de toutes considérations et
au sens où lentend Souriau, le motif principal
du travail de création de Karen Grenier
(motivus désigne, en latin, « ce qui meut »).
La courtepointe imprime à sa pratique une
orientation, un but. Elle est lidée directrice
qui entraîne le développement de son travail
et le pousse vers la réalisation de sa nature.
Dans lAutoprotrait vestimentaire, le rôle
premier du vêtement est détourné au profit
dune reconstitution de forme picturale.
Lartiste travaille avec les vêtements de sa
garde-robe, numérisés et fragmentés, qui
sont ensuite employés comme motifs afin de
reconstruire une image.
Tout en ayant à coeur de préserver dans
sa pratique le langage et les moyens de la
courtepointe, Karen Grenier sinterroge sur la
façon de re-définir un certain type de travail
textile dans un contexte artistique actuel.
Karen Grenier vit et travaille à
Québec. Tour à tour designer de
mode, graphiste, illustratrice et
courtepointière, elle a, depuis quelques
années, fait basculer sa pratique
textile dans le champ des arts visuels.
Elle a exposé essentiellement au
Québec, dans le cadre de différentes
expositions individuelles et collectives.
Boursière du Conseil de la recherche
en sciences humaines du Canada
(CRSH) et du Fonds québécois sur
la société et la culture (FQRSC), elle
termine actuellement la rédaction
de son mémoire de maîtrise en
arts visuels tout en poursuivant des
activités denseignement à la Maison
des métiers dart de Québec.
Installation
du 28 oct
au 25 nov
Vernissage
samedi, 28 oct 14h
Quels que soient les moyens quemprunte
sa pratique vêtements ou étiquettes, tissus
réels ou numérisés, oeuvres textiles ou sur
papier cest chaque fois la courtepointe ellemême,
comme manière de penser le travail
et de le concrétiser, comme philosophie, qui
constitue, au-delà de toutes considérations et
au sens où lentend Souriau, le motif principal
du travail de création de Karen Grenier
(motivus désigne, en latin, « ce qui meut »).
La courtepointe imprime à sa pratique une
orientation, un but. Elle est lidée directrice
qui entraîne le développement de son travail
et le pousse vers la réalisation de sa nature.
Dans lAutoprotrait vestimentaire, le rôle
premier du vêtement est détourné au profit
dune reconstitution de forme picturale.
Lartiste travaille avec les vêtements de sa
garde-robe, numérisés et fragmentés, qui
sont ensuite employés comme motifs afin de
reconstruire une image.
Tout en ayant à coeur de préserver dans
sa pratique le langage et les moyens de la
courtepointe, Karen Grenier sinterroge sur la
façon de re-définir un certain type de travail
textile dans un contexte artistique actuel.
Karen Grenier vit et travaille à
Québec. Tour à tour designer de
mode, graphiste, illustratrice et
courtepointière, elle a, depuis quelques
années, fait basculer sa pratique
textile dans le champ des arts visuels.
Elle a exposé essentiellement au
Québec, dans le cadre de différentes
expositions individuelles et collectives.
Boursière du Conseil de la recherche
en sciences humaines du Canada
(CRSH) et du Fonds québécois sur
la société et la culture (FQRSC), elle
termine actuellement la rédaction
de son mémoire de maîtrise en
arts visuels tout en poursuivant des
activités denseignement à la Maison
des métiers dart de Québec.
5455, avenue de Gaspé, espace 110,
Montréal (Québec) H2T 3B3