Confusion intrarouge, 2010 Négatif couleur numérisé

Jessica Peters et Louise Duval, vernissage le vendredi 7 novembre à 18h30 à la maison de la culture Mercier

Psaumes de lumière
Louise Duval

Photographie
8 novembre au 19 décembre
Studio A
 
Au hasard de ses promenades, avec son vieil appareil Nikon et du film négatif, la photographe Louise Duval trouve partout des sujets à mettre en image. Mais elle s’attarde surtout à la pierre et à la ferraille, plus particulièrement au métal des cargos dont les couleurs flamboyantes l’attirent autant que la rouille et les marques que font le frottement des câbles et des quais. Toutes ces cicatrices laissées par l’érosion évoquent chez l’artiste les traces que laissent la vie et le temps qui passe. Louise Duval nous présente quelques images de vie cristallisée par la rouille, de vie signifiée par l’érosion, ses «Psaumes de lumière».
Entrée libre
 
 
Des traces et des artifices
Jessica Peters
 
Peinture
8 novembre au 19 décembre
Studio A
 
Conçu à partir de nombreuses figures architecturales, découpes précises, ainsi que d’une matérialisation très riche des figures et des plans, le travail de Jessica Peters représente des espaces désertés qui évoquent des vestiges d’architecture dans un univers de fiction. Dans sa récente série de peintures, l’artiste explore la déconstruction de l’espace en lien avec le phénomène visuel de la réflexion. L’espace reflété est parfois fragmenté, flou, fantomatique, dédoublé, et nous propose une vision déroutante de la réalité qui nous entoure, créant un sentiment de déséquilibre et de tension. Cette vision déconstruite de l’espace qui nous entoure conduit l’artiste à revisiter le paysage et l’architecture et nous questionne sur l’espace réel représenté et l’espace reflété.
Entrée libre

 

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