Géographies : recomposées
S’ensevelir
Commissaire : Catherine Barnabé
Avec Géographies : recomposées, la commissaire provoque la rencontre entre Sara A. Tremblay et Léna Mill-Reuillard, qui se sont créé pour le projet une résidence d’artistes dans une maison des Éboulements. Pour un temps donné, elles ont uni leur pratique respective et proposent aujourd’hui une exposition-œuvre dans laquelle elles positionnent leurs projections vidéo telles des repères d’une carte géographique mémorielle.
– Jasmine Colizza, muséologue-responsable des arts visuels
Des actions sont posées dans un paysage hivernal, il faut être deux pour les réaliser. Ces actions sont simples en apparence : tenir, marcher, tendre, creuser, mais elles sont contraintes par la force des éléments qui déchire, recouvre, découvre, offre une forme de résistance. Les corps sont présents et les corps sont absents; ils laissent des traces, marquent un instant l’espace, mais le temps suit son cours et elles disparaissent. Le lieu est évoqué par la forme utilisée, la forme répétée, révélée. Cette surface est aussi l’espace de l’action, celui du corps; la surface du papier, la surface de la neige, ce sont des espaces potentiellement renouvelables. La géographie du lieu est à la fois neutre et signifiante, hors du quotidien et un peu hors du temps.
Les pratiques de Sara A. Tremblay et de Léna Mill-Reuillard se sont entrecroisées un instant : dans la rencontre et le confinement, elles ont su trouver leur juste équilibre duquel est né ce projet.
– Catherine Barnabé, commissaire
Visite commentée : 28 mai à 14 h
Atelier d’Alfred parent-enfant ($) : 20 mai à 13 h 30
DANS LE FOYER DU THÉÂTRE DES MUSES
Jean-Philippe Luckhurst-Cartier
Souvenir au coin de l’Avenir
Issu d’une observation suburbaine, le projet de Jean-Philippe Luckhurst-Cartier s’inspire de l’expression poétique créée par les toponymistes de la ville de Laval : Là où le boulevard de l’Avenir croise celui du Souvenir…
Géographies : recomposées
S’ensevelir
Commissaire : Catherine Barnabé
Avec Géographies : recomposées, la commissaire provoque la rencontre entre Sara A. Tremblay et Léna Mill-Reuillard, qui se sont créé pour le projet une résidence d’artistes dans une maison des Éboulements. Pour un temps donné, elles ont uni leur pratique respective et proposent aujourd’hui une exposition-œuvre dans laquelle elles positionnent leurs projections vidéo telles des repères d’une carte géographique mémorielle.
– Jasmine Colizza, muséologue-responsable des arts visuels
Des actions sont posées dans un paysage hivernal, il faut être deux pour les réaliser. Ces actions sont simples en apparence : tenir, marcher, tendre, creuser, mais elles sont contraintes par la force des éléments qui déchire, recouvre, découvre, offre une forme de résistance. Les corps sont présents et les corps sont absents; ils laissent des traces, marquent un instant l’espace, mais le temps suit son cours et elles disparaissent. Le lieu est évoqué par la forme utilisée, la forme répétée, révélée. Cette surface est aussi l’espace de l’action, celui du corps; la surface du papier, la surface de la neige, ce sont des espaces potentiellement renouvelables. La géographie du lieu est à la fois neutre et signifiante, hors du quotidien et un peu hors du temps.
Les pratiques de Sara A. Tremblay et de Léna Mill-Reuillard se sont entrecroisées un instant : dans la rencontre et le confinement, elles ont su trouver leur juste équilibre duquel est né ce projet.
– Catherine Barnabé, commissaire
Visite commentée : 28 mai à 14 h
Atelier d’Alfred parent-enfant ($) : 20 mai à 13 h 30
DANS LE FOYER DU THÉÂTRE DES MUSES
Jean-Philippe Luckhurst-Cartier
Souvenir au coin de l’Avenir
Issu d’une observation suburbaine, le projet de Jean-Philippe Luckhurst-Cartier s’inspire de l’expression poétique créée par les toponymistes de la ville de Laval : Là où le boulevard de l’Avenir croise celui du Souvenir…