La Galerie McClure est heureuse d’accueillir Benjamin Klein pour cette exposition intitulée Generator. L’exposition est composée d’environs dix peintures à l’huile sur toile, qui furent toutes exécutées lors des deux dernières années. Ce travail s’inscrit dans le cadre d’une double exposition présentée à la Galerie McClure et à la Galerie Joyce Yahouda et est accompagné d’un catalogue.
L’ensemble du récent travail de Klein prend son impulsion dans la fantaisie, adoptant l’univers microbien des coccinelles et d’autres insectes comme point de départ à partir duquel explorer l’acte de la peinture. Les toiles aux couleurs stridentes et au trait sensuel, expressif, dépeignent à tour de rôle les lumineuses et sombres appréhensions de l’univers, un monde étrange et irrévérencieux évoquant clairement les hallucinations, l’allégorie, le mythe et le pouvoir de la peinture à articuler des propos allusifs et à frayer avec le perceptible.
Le titre de l’exposition révèle l’intention de l’artiste – peindre comme un générateur, dans un acte de régénération. Les essais de John Bentley Mays et de Ashley Johnson présentés dans le catalogue attestent du rejet de Klein envers le formalisme esthétique traditionnel et de sa préférence à plonger tête première dans le « temps du rêve », un espace où l’expérience corporelle est à l’honneur, où le surréel et le réel convergent pour révéler de nouvelles manières de créer de la signifiance à l’image de notre époque. Au service de l’imagination, l’artiste se donne le droit d’utiliser toutes les techniques et stratégies picturales – de la peinture de paysage à la narration, jusqu’à la figuration et abstraction. Comme Mays le remarque, ces œuvres sont « fortes, intelligentes, et empreintes d’urgente».
Benjamin Klein est né à Chicago et a grandit à Montréal. En 2005, il termine son baccalauréat en arts visuels à l’Université de Concordia où il gradue avec une mention d’excellence et lors duquel il fût récompensé du Prix Guido Molinari. Lors de l’été 2013, il complète une maîtrise en arts visuels à l’Université de Guelph. Il est représenté par la Galerie Joyce Yahouda.
La Galerie McClure est heureuse d’accueillir Benjamin Klein pour cette exposition intitulée Generator. L’exposition est composée d’environs dix peintures à l’huile sur toile, qui furent toutes exécutées lors des deux dernières années. Ce travail s’inscrit dans le cadre d’une double exposition présentée à la Galerie McClure et à la Galerie Joyce Yahouda et est accompagné d’un catalogue.
L’ensemble du récent travail de Klein prend son impulsion dans la fantaisie, adoptant l’univers microbien des coccinelles et d’autres insectes comme point de départ à partir duquel explorer l’acte de la peinture. Les toiles aux couleurs stridentes et au trait sensuel, expressif, dépeignent à tour de rôle les lumineuses et sombres appréhensions de l’univers, un monde étrange et irrévérencieux évoquant clairement les hallucinations, l’allégorie, le mythe et le pouvoir de la peinture à articuler des propos allusifs et à frayer avec le perceptible.
Le titre de l’exposition révèle l’intention de l’artiste – peindre comme un générateur, dans un acte de régénération. Les essais de John Bentley Mays et de Ashley Johnson présentés dans le catalogue attestent du rejet de Klein envers le formalisme esthétique traditionnel et de sa préférence à plonger tête première dans le « temps du rêve », un espace où l’expérience corporelle est à l’honneur, où le surréel et le réel convergent pour révéler de nouvelles manières de créer de la signifiance à l’image de notre époque. Au service de l’imagination, l’artiste se donne le droit d’utiliser toutes les techniques et stratégies picturales – de la peinture de paysage à la narration, jusqu’à la figuration et abstraction. Comme Mays le remarque, ces œuvres sont « fortes, intelligentes, et empreintes d’urgente».
Benjamin Klein est né à Chicago et a grandit à Montréal. En 2005, il termine son baccalauréat en arts visuels à l’Université de Concordia où il gradue avec une mention d’excellence et lors duquel il fût récompensé du Prix Guido Molinari. Lors de l’été 2013, il complète une maîtrise en arts visuels à l’Université de Guelph. Il est représenté par la Galerie Joyce Yahouda.