Photo de l'artiste en résidence au LOBE (c) Patrick Simard

Frances Adair Mckenzie, vernissage le vendredi 25 mai à 17h au Lobe

LES PAS PERDUS /// FRANCES ADAIR MCKENZIE
PERFORMER LA SOLITUDE À DEUX /// DUO IZBA
+ LANCEMENT /// Trop de réalité

Festivités annoncées, vernissage, performance et lancement sont à l’honneur! Bienvenue à tous!

FRANCES ADAIR MCKENZIE

Suite à une résidence in situ d’un mois au LOBE, l’artiste invitée dans le cadre de la thématique Trop de Réalité nous présentera le fruit de ses recherches et expérimentations en art actuel.

FRANCES ADAIR MCKENZIE est une artiste multimédia qui combine les genres et les technologies pour invoquer la construction de mondes fantastiques intérieurs et extérieurs. Son travail en motion-design, en animation et en installation immersive évoque un fracas d’effets concentrés qui mêlent à la fois des hautes et basses technologies et références culturelles. Par un regard simultané sur l’histoire de l’art et la culture du Pop, elle développe ses projets à partir de précédents du féminisme et de la culture numérique pour mettre d’avant le spectacle comme un espace DIY de subversion et d’autonomisation.

Frances Adair Mckenzie vit et travaille à Montréal. Elle a obtenu un diplôme en nouveaux médias du BCIT et un baccalauréat en beaux-arts de l’Université Concordia. L’Office national du film du Canada lui a commandé des animations et son travail a été exposé au Musée d’art contemporain de Montréal et dans la Satosphère de la Société des Arts Technologiques. Frances collabore également avec Aleks Schurmer au sein du collectif Party Like it 1699. Le but du collectif est de sortir la musique classique des confins de la salle de concert moderne et de la reconvertir en un medium populaire sous la forme d’un opéra baroque numérique.

Frances est basée à Montréal mais est originaire de 100 miles house, en Colombie-Britannique et remercie ses origines pour une forte éthique de travail protestante hollandaise. Elle est fortement d’accord avec Nietzsche sur le fait que « nous devrions considérer chaque jour perdu lors duquel nous n’avons pas dansé au moins une fois ».

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