Ayant en commun un fort attachement pour la narration et la construction de récit à partir d’éléments du quotidien, Marie-Andrée Gilbert et Marie-France Tremblay raconteront, cet été à Regart, les aléas de l’ordinaire. Ainsi, la sensibilité de l’ornementation, le recours au personnage, le jeu et l’humour se côtoieront en un contrepoint d’un langage commun, mais aux accents bien différents. Car, si toutes les deux travaillent les mêmes notions de multiplication, de répétition et de variation de l’œuvre, elles se distinguent néanmoins par l’utilisation qu’elles en font.
Là où Marie-Andrée Gilbert magnifie, tord, patente ses sujets en en conservant les traces de l’esquisse et du croquis, en bousculant les frontières entre le faux et le vrai, Marie-France Tremblay, elle, appuis plutôt la rigueur du motif de façon à ce que germe une image complexe, décomposant de la sorte l’action et le temps.
C’est dans ces semblances et dissemblances que dialogueront donc les tricots, œuvres sur papier, murales, sérigraphie, dessins et sculptures des deux artistes tout au long de la prise de possession de l’espace, alors que la résidence de création s’ouvrira au public entre les 28 juin et 12 juillet. Le vernissage de l’exposition, qui tiendra l’affiche jusqu’au 18 août, se fera, lui, le vendredi 12 juillet, dès 17 heures.
De plus, en complément à l’exposition, Marie-Andrée Gilbert proposera, le vendredi 2 août dès 18 heures, Débords et flottaisons, une performance contée relatant, non sans humour, d’un séjour de création auprès de gens atteints de la maladie d’Alzheimer.
Ayant en commun un fort attachement pour la narration et la construction de récit à partir d’éléments du quotidien, Marie-Andrée Gilbert et Marie-France Tremblay raconteront, cet été à Regart, les aléas de l’ordinaire. Ainsi, la sensibilité de l’ornementation, le recours au personnage, le jeu et l’humour se côtoieront en un contrepoint d’un langage commun, mais aux accents bien différents. Car, si toutes les deux travaillent les mêmes notions de multiplication, de répétition et de variation de l’œuvre, elles se distinguent néanmoins par l’utilisation qu’elles en font.
Là où Marie-Andrée Gilbert magnifie, tord, patente ses sujets en en conservant les traces de l’esquisse et du croquis, en bousculant les frontières entre le faux et le vrai, Marie-France Tremblay, elle, appuis plutôt la rigueur du motif de façon à ce que germe une image complexe, décomposant de la sorte l’action et le temps.
C’est dans ces semblances et dissemblances que dialogueront donc les tricots, œuvres sur papier, murales, sérigraphie, dessins et sculptures des deux artistes tout au long de la prise de possession de l’espace, alors que la résidence de création s’ouvrira au public entre les 28 juin et 12 juillet. Le vernissage de l’exposition, qui tiendra l’affiche jusqu’au 18 août, se fera, lui, le vendredi 12 juillet, dès 17 heures.
De plus, en complément à l’exposition, Marie-Andrée Gilbert proposera, le vendredi 2 août dès 18 heures, Débords et flottaisons, une performance contée relatant, non sans humour, d’un séjour de création auprès de gens atteints de la maladie d’Alzheimer.
Lévis Qc, Canada G6V 3B4