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Le mystère de nos cieux de Yannick De Serre

Vernissage le jeudi 4 avril à 17h30 à Arprim

Ce projet réunit des propositions de livres d’artiste (et produits dérivés) ayant pour thématique le seul lieu commun que mon conjoint et moi avons eu en commun lors d’une résidence exécutée en Finlande en mars 2018. Mon conjoint étant resté à Montréal, et moi étant parti en Finlande, nous avions pour seul lieu commun le ciel étoilé. Durant ce mois d’hiver, je me suis donc mis à la tâche afin de documenter mes nuits nordiques, et ce, bien « enraciner » dans mes sentiments, les deux pieds sur terre…

Il est donc vrai de dire que ce projet aborde les notions d’espaces communs et individuels. Parfois, l’amour est facile; parfois l’amour amène son lot d’épreuves. Nous vivons tous ces cycles où les peines succèdent aux joies; entrecroisé par des périodes de guérison.

« Ce qui perdure, me permettra toujours d’entrevoir des étoiles dans tes yeux ».

Artiste multidisciplinaire, Yannick De Serre est détenteur d’un baccalauréat en arts visuels de l’Université Laval (2000). Il expose à travers le Québec en plus d’assurer une présence dans les grandes foires internationales (Papier-2015 à 2018, Art Basel-2013, TIAF-2011, Sydney et New-York-2010). En 2012, le Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul acquiert l’une de ses œuvres. Depuis, nous retrouvons ces œuvres dans de nombreuses collections privées et institutionnelles. L’artiste a également siégé sur le conseil d’administration de CIRCA Art Actuel de 2016 à 2020. La production récente de l’artiste met l’emphase sur sa pratique infirmier qu’il exerce depuis 2004 en milieu intensif. Il y questionne la notion de « caring ». Empreint de sensibilité, l’intimité de son art vient trouver écho auprès de tous. Les centres d’art OBORO (Montréal) et Atoll (Victoriaville) ont présentés en 2022-23 son exposition « Résilience et autres guérisons »; un travail que l’artiste a débuté en 2004, au tout début de sa carrière d’infirmier et qui, se terminera à la fin de celle-ci (aux alentours de 2040). Pour les années à venir, vous aurez la possibilité de voir le fruit de ces nouvelles recherches à la maison de la culture d’Outremont et la maison de la culture Marcel-Robidas.