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Crédits photos : (Diyar Mayil, gauche) Marc-André Dupaul,  (Joliz Dela Peña, droite) Zahya Tétrault-Bélanger.
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Diyar Mayil et Joliz Dela Peña

En résidence à la Galerie d'Outremont

L’arrondissement d’Outremont et La Centrale galerie Powerhouse, centre d’artistes autogéré voué à la diffusion et au développement des pratiques féministes pluridisciplinaires, s’associent pour offrir à deux artistes montréalais·es une résidence ouverte de création à la Galerie d’Outremont. Venez découvrir le processus de création de Diyar Mayil et Joliz Dela Peña, et assister à ce tout premier projet de résidence en arts visuels dans l’arrondissement d’Outremont.

Diyar Mayil est une artiste travaillant la sculpture, l’installation et la performance. Elle élabore dans sa pratique sur les thèmes du confort, de l’inconfort, de l’adaptation et de l’acceptation de différents corps dans l’espace public et privé. Elle est lauréate de la Bourse Claudine et Stephen Bronfman (2022) en art contemporain et la récipiendaire du Prix Lix Crockford (2023). Son travail a été soutenu par le Conseil des Arts du Canada, le Conseil des arts de Montréal et a été présenté à La Centrale galerie Powerhouse, Leonard and Bina Ellen Art Gallery, la Fondation NARS à New York, le Centre Clark et Circa Art Actuel à Montréal. Ses expositions à venir comprennent des expositions solos à Articule et à la Galerie FOFA à Montréal. Originaire d’Istanbul, elle vit et travaille maintenant à Tiohtiá:ke/Montréal.

Joliz Dela Peña, aussi connu·e sous le nom de JDP 2009, est un·e artiste interdisciplinaire autodidacte des Philippines, actuellement basé·e à Tiohtià:ke. La connexion intime à la mémoire, à l’identité et à l’immigration sont des thèmes récurrents dans la pratique de Dela Peña. À travers la performance accompagnée d’installations, elle s’attelle à revivre des réalités, à explorer leurs complexités et à traduire les tensions invisibles en qualités visuelles et tactiles. Elle tente dans ses œuvres récentes de traduire des souvenirs fragmentés de sa vie personnelle en tant qu’immigrant·e de première génération, ainsi que ceux empruntés d’autres, afin de créer une perspective plus large et universelle qui résonne auprès d’une audience diverse.