Au cours des dernières années, jai été amené à développer un langage pictural éclectique, qui intègre différentes manières de faire, différentes images, différentes techniques et divers fragments (appropriation et association de phrases, duvres, de documents, déléments “trouvés”, photographiés ou créés, qui se jouxtent ou se superposent, souvent sur des supports variés). Plus particulièrement, dans mon travail récent, les croisements et glissements entre la peinture et la photographie se multiplient, jouant à la fois sur les frontières conceptuelles, esthétiques et techniques de lune et lautre de ces disciplines. Se développant par série, corpus ou projet, mes uvres sinscrivent dans une esthétique que je qualifie de “fragmentaire et de résiduelle”. Ainsi, je tends à considérer chacune delles non pas comme un élément singulier et “fermé”, mais comme une unité ou le fragment dune nouvelle syntaxe, toujours en construction
lacte de créer comme une longue phrase inachevée. Limage ci-jointe présente un extrait du corpus Les agglomérations (2001-2006), un projet inspiré dun territoire marqué par la guerre – et à nouveau tout récemment : Beyrouth et le Liban. Ce projet fait lobjet dune exposition individuelle à la Galerie B-312 (Montréal) jusquau 14 octobre 2006.
Le travail de Martin Désilets est aussi présenté aux Oakville Galleries dans le cadre de lexposition Territoires urbains jusquau 5 novembre 2006. Cette exposition a auparavant été présentée au Musée dart contemporain de Montréal. Au printemps 2006, Martin Désilets a été nommé lauréat de la Bourse Plein sud. Son travail a fait lobjet de nombreuses expositions individuelles et collectives, au Québec, au Canada, au Mexique et au Liban. Parmi les expositions individuelles, mentionnons, entre autres, à Occurrence (Montréal, 2001), à lEspace SD (Beyrouth, 2002), à Optica (Montréal 2003), à la Gallery 44 (Toronto, 2004) et à La Sarre (2005).
Au cours des dernières années, jai été amené à développer un langage pictural éclectique, qui intègre différentes manières de faire, différentes images, différentes techniques et divers fragments (appropriation et association de phrases, duvres, de documents, déléments “trouvés”, photographiés ou créés, qui se jouxtent ou se superposent, souvent sur des supports variés). Plus particulièrement, dans mon travail récent, les croisements et glissements entre la peinture et la photographie se multiplient, jouant à la fois sur les frontières conceptuelles, esthétiques et techniques de lune et lautre de ces disciplines. Se développant par série, corpus ou projet, mes uvres sinscrivent dans une esthétique que je qualifie de “fragmentaire et de résiduelle”. Ainsi, je tends à considérer chacune delles non pas comme un élément singulier et “fermé”, mais comme une unité ou le fragment dune nouvelle syntaxe, toujours en construction lacte de créer comme une longue phrase inachevée. Limage ci-jointe présente un extrait du corpus Les agglomérations (2001-2006), un projet inspiré dun territoire marqué par la guerre – et à nouveau tout récemment : Beyrouth et le Liban. Ce projet fait lobjet dune exposition individuelle à la Galerie B-312 (Montréal) jusquau 14 octobre 2006.
Le travail de Martin Désilets est aussi présenté aux Oakville Galleries dans le cadre de lexposition Territoires urbains jusquau 5 novembre 2006. Cette exposition a auparavant été présentée au Musée dart contemporain de Montréal. Au printemps 2006, Martin Désilets a été nommé lauréat de la Bourse Plein sud. Son travail a fait lobjet de nombreuses expositions individuelles et collectives, au Québec, au Canada, au Mexique et au Liban. Parmi les expositions individuelles, mentionnons, entre autres, à Occurrence (Montréal, 2001), à lEspace SD (Beyrouth, 2002), à Optica (Montréal 2003), à la Gallery 44 (Toronto, 2004) et à La Sarre (2005).
Alma, QC, G8B 5W1