En résidence au centre SAGAMIE
Jocelyn Philibert
DES ARBRES DANS LA NUIT
Je suis fasciné par la présence matérielle du
réel. A travers la représentation, je veux confondre
réalité et représentation, questionner la notion de
réalité. Mes stratégies sont d’ajouter des traces
de réel à l’imaginaire ou d’insérer de la fiction
dans le réel. Je pense toujours en 3D même s’il y a quelques
années, j’ai découvert Photoshop et que cet outil a
révolutionné ma pratique. Je ne dessine plus que sur écran,
je conçois mes projets sur écran et c’est encore sur écran
que je fabrique mes images. Dans ma production récente, Des
arbres dans la nuit, les arbres semblent bien réels, ils ont
été captés avec un appareil numérique, mais
un doute subsiste à leur sujet. Ils semblent exister dans une surréalité
ou peut-être une irréalité. Cela rappelle la manipulation
génétique. La question est à nouveau posée
: qu’est-ce qui est vrai? qu’est-ce qui ne l’est pas? qu’est-ce qui est
naturel? qu’est-ce qui est réel? Dès lors apparaît
le simulacre, tromperie qui se veut vérité, allusion au réel,
apparence sensible qui se donne pour réalité (Le Petit Robert).
JOCELYN PHILIBERT
Enfance à Montréal et à la campagne, à
Maskinongé. A exposé notamment à la Galerie Clark,
à L’Oeil de poisson, à la Galerie Sans Nom de Moncton ainsi
qu’à Circa, a été en résidence à la
Chambre blanche puis au Centre Est-nord-est, a participé au
Symposium de sculpture de Saint-Jean-Port-Joli (commissaire Michel Saulnier)
ainsi qu’au Festival des arts visuels de Caraquet, N.-B. Plusieurs
bourses du Conseil des arts du Canada et du Conseil des arts et des lettres
du Québec. Exposera au Centre VU de Québec en novembre
2006. Vit à Montréal, l’été à Saint-Jean-Port-Joli.
En résidence au centre SAGAMIE
Jocelyn Philibert
DES ARBRES DANS LA NUIT
Je suis fasciné par la présence matérielle du
réel. A travers la représentation, je veux confondre
réalité et représentation, questionner la notion de
réalité. Mes stratégies sont d’ajouter des traces
de réel à l’imaginaire ou d’insérer de la fiction
dans le réel. Je pense toujours en 3D même s’il y a quelques
années, j’ai découvert Photoshop et que cet outil a
révolutionné ma pratique. Je ne dessine plus que sur écran,
je conçois mes projets sur écran et c’est encore sur écran
que je fabrique mes images. Dans ma production récente, Des
arbres dans la nuit, les arbres semblent bien réels, ils ont
été captés avec un appareil numérique, mais
un doute subsiste à leur sujet. Ils semblent exister dans une surréalité
ou peut-être une irréalité. Cela rappelle la manipulation
génétique. La question est à nouveau posée
: qu’est-ce qui est vrai? qu’est-ce qui ne l’est pas? qu’est-ce qui est
naturel? qu’est-ce qui est réel? Dès lors apparaît
le simulacre, tromperie qui se veut vérité, allusion au réel,
apparence sensible qui se donne pour réalité (Le Petit Robert).
JOCELYN PHILIBERT
Enfance à Montréal et à la campagne, à
Maskinongé. A exposé notamment à la Galerie Clark,
à L’Oeil de poisson, à la Galerie Sans Nom de Moncton ainsi
qu’à Circa, a été en résidence à la
Chambre blanche puis au Centre Est-nord-est, a participé au
Symposium de sculpture de Saint-Jean-Port-Joli (commissaire Michel Saulnier)
ainsi qu’au Festival des arts visuels de Caraquet, N.-B. Plusieurs
bourses du Conseil des arts du Canada et du Conseil des arts et des lettres
du Québec. Exposera au Centre VU de Québec en novembre
2006. Vit à Montréal, l’été à Saint-Jean-Port-Joli.
Alma, QC, G8B 5W1