Caroline Gagné développe une pratique artistique en installation et en nouveaux médias qui vise la mise en lumière des microphénomènes de perte de contrôle – usure, entropie et déplacements à la morphologie imprévisible – observés dans les systèmes organisés et balisés de notre existence sociale. À travers ses uvres, elle tente de rendre compte des traces laissées dans les espaces environnants et usuels, par des mouvements répétés et apparemment anonymes. Les espaces dinterconnexions entre les individus et lexpérience de la solitude inhérente à la sensation de la multiplicité sont aussi au premier plan de ses préoccupations.
Durant sa résidence à Sagamie, elle entreprend la réalisation dun ensemble dimpressions numériques issues de dessins basés sur lidée du nud comme interconnexion des espaces entre les individus, mais surtout comme enchevêtrement qui rend compte de ces liens complexes. Avec le projet Défaire ses liens ou rattacher les cordes rompues, elle souhaite mettre en lumière la continuelle déformation des repères avec lesquels il nous faut conjuguer, par de fines modulations picturales issues de procédés numériques de perte de résolution des images.
Depuis 2001, Caroline Gagné a présenté les multiples facettes de son travail dans le cadre de plusieurs expositions collectives et individuelles au Québec et à létranger. Elle a entre autres participé aux événements Tissus urbains (Montréal, 2001), Périphéries, Québec à Zagreb et Sarajevo (Zagreb, 2002), TRAFIC (Rouyn-Noranda, 2005), la Manifestation internationale dart de Québec (Québec, 2005) et Cités invisibles (Montréal, 2006). Elle a également effectué plusieurs résidences de production et de diffusion, dont à CYPRES (Marseille, 2003) et au 3e impérial (Granby, 2003). Tout récemment, elle a développé en collaboration avec Patrice Coulombe linstallation médiatique intitulée Ligne de flottaison lors dune résidence à Daïmõn (Gatineau, 2006), qui y sera présentée ultérieurement en 2007.
Caroline Gagné développe une pratique artistique en installation et en nouveaux médias qui vise la mise en lumière des microphénomènes de perte de contrôle – usure, entropie et déplacements à la morphologie imprévisible – observés dans les systèmes organisés et balisés de notre existence sociale. À travers ses uvres, elle tente de rendre compte des traces laissées dans les espaces environnants et usuels, par des mouvements répétés et apparemment anonymes. Les espaces dinterconnexions entre les individus et lexpérience de la solitude inhérente à la sensation de la multiplicité sont aussi au premier plan de ses préoccupations.
Durant sa résidence à Sagamie, elle entreprend la réalisation dun ensemble dimpressions numériques issues de dessins basés sur lidée du nud comme interconnexion des espaces entre les individus, mais surtout comme enchevêtrement qui rend compte de ces liens complexes. Avec le projet Défaire ses liens ou rattacher les cordes rompues, elle souhaite mettre en lumière la continuelle déformation des repères avec lesquels il nous faut conjuguer, par de fines modulations picturales issues de procédés numériques de perte de résolution des images.
Depuis 2001, Caroline Gagné a présenté les multiples facettes de son travail dans le cadre de plusieurs expositions collectives et individuelles au Québec et à létranger. Elle a entre autres participé aux événements Tissus urbains (Montréal, 2001), Périphéries, Québec à Zagreb et Sarajevo (Zagreb, 2002), TRAFIC (Rouyn-Noranda, 2005), la Manifestation internationale dart de Québec (Québec, 2005) et Cités invisibles (Montréal, 2006). Elle a également effectué plusieurs résidences de production et de diffusion, dont à CYPRES (Marseille, 2003) et au 3e impérial (Granby, 2003). Tout récemment, elle a développé en collaboration avec Patrice Coulombe linstallation médiatique intitulée Ligne de flottaison lors dune résidence à Daïmõn (Gatineau, 2006), qui y sera présentée ultérieurement en 2007.
Alma, QC, G8B 5W1