Dans cette exposition, Hannah Claus met en relief la relation entre divers éléments qui façonnent notre univers. L’installation « chant pour l’eau », un voile imposant et complexe composé de fils et d’images numériques, reproduit les formes d’onde d’un chant mi’kmaq. Union entre voix, eau et chant, cette œuvre est inspirée par les principes intrinsèques des kahion:ni, ou ceintures wampum, dans lesquelles s’amalgament la mer et le ciel.
Artiste visuelle d’origines anglaise et kanien’kehà:ka (mohawk) habitant Tiohtià:ke (Montréal), Hannah Claus utilise dans ses installations différents processus et matériaux pour aborder les thèmes de la mémoire et de la transformation d’une perspective autochtone.
Mardi au samedi – 12 h à 18 h.
Entrée libre
Dans cette exposition, Hannah Claus met en relief la relation entre divers éléments qui façonnent notre univers. L’installation « chant pour l’eau », un voile imposant et complexe composé de fils et d’images numériques, reproduit les formes d’onde d’un chant mi’kmaq. Union entre voix, eau et chant, cette œuvre est inspirée par les principes intrinsèques des kahion:ni, ou ceintures wampum, dans lesquelles s’amalgament la mer et le ciel.
Artiste visuelle d’origines anglaise et kanien’kehà:ka (mohawk) habitant Tiohtià:ke (Montréal), Hannah Claus utilise dans ses installations différents processus et matériaux pour aborder les thèmes de la mémoire et de la transformation d’une perspective autochtone.
Mardi au samedi – 12 h à 18 h.
Entrée libre