Sur des panneaux de contreplaqué usés par le temps, Martin Bouchard peint d’inquiétantes icônes religieuses. Les figures ne sont ni auréolées, ni entourées de dorures, mais s’inscrivent directement sur le matériau brut et livrent tout autre chose qu’un air de sainteté. L’aumônier et ses clous ancrés aux plis des yeux va à l’aveugle.
«De chair et de cultes»est un détournement profane de l’iconographie de l’église romaine; et une fascination de l’artiste pour la représentation fantastique.
Après des études en arts plastiques au Cégep de Matane, Martin Bouchard décide en 1999 de se consacrer également à la musique. Dans des genres qui oscillent entre rock et punk, en solo ou au sein de groupes dont le plus connu est Attack of the microphone, il réalise plusieurs projets de disques et effectuera des tournées aux quatre coins du Québec ainsi que dans l’Est du Canada. En parallèle à ces activités, il continue de peindre et dessiner. «De chair et de cultes» est sa première expo solo. Originaire de Matane, l’artiste en fait son port d’attache
Sur des panneaux de contreplaqué usés par le temps, Martin Bouchard peint d’inquiétantes icônes religieuses. Les figures ne sont ni auréolées, ni entourées de dorures, mais s’inscrivent directement sur le matériau brut et livrent tout autre chose qu’un air de sainteté. L’aumônier et ses clous ancrés aux plis des yeux va à l’aveugle.
«De chair et de cultes»est un détournement profane de l’iconographie de l’église romaine; et une fascination de l’artiste pour la représentation fantastique.
Après des études en arts plastiques au Cégep de Matane, Martin Bouchard décide en 1999 de se consacrer également à la musique. Dans des genres qui oscillent entre rock et punk, en solo ou au sein de groupes dont le plus connu est Attack of the microphone, il réalise plusieurs projets de disques et effectuera des tournées aux quatre coins du Québec ainsi que dans l’Est du Canada. En parallèle à ces activités, il continue de peindre et dessiner. «De chair et de cultes» est sa première expo solo. Originaire de Matane, l’artiste en fait son port d’attache