Date : mercredi 15 août 2018
— Heure : 18 h
— Lieu : Parc Rosaire Gauthier, Laval (à l’angle des boulevards Lévesque Est et Goineau).À 5 minutes à pied de la Station Cartier.
* En cas de pluie, la rencontre se tiendra sous la tonnelle.
Verticale a invité LÉA ALAIN-GENDREAU, JACINTHE BLANCHARD-PILON et ÉMILIE GRANJON à développer des listes de lecture autour de la commémoration du centre d’artistes.
2018 marque un moment important pour Verticale qui célébrait le 30 avril dernier ses trente ans d’existence. Pour l’organisme, cette étape charnière nécessitait non seulement de mettre sur pied un événement phare, fédérateur et festif, mais aussi d’engager une réflexion collective sur des enjeux liés à la mémoire et à la commémoration des centres d’artistes — dont plusieurs ont célébré des anniversaires importants dans les dernières années. Comment tenir compte de l’ensemble des acteurs (artistes, membres, collaborateurs, travailleurs, bénévoles, partenaires) et des facteurs qui ont forgé l’identité du centre au fil des années ? Comment « garder vivante » et transmettre cette mémoire plurielle ? Dans quelle mesure l’appréciation et la connaissance de l’histoire des centres peuvent-elles servir à réévaluer la pertinence de son rôle et ses apports, à planifier son futur et à consolider sa longévité ?
Date : mercredi 15 août 2018
— Heure : 18 h
— Lieu : Parc Rosaire Gauthier, Laval (à l’angle des boulevards Lévesque Est et Goineau).À 5 minutes à pied de la Station Cartier.
* En cas de pluie, la rencontre se tiendra sous la tonnelle.
Verticale a invité LÉA ALAIN-GENDREAU, JACINTHE BLANCHARD-PILON et ÉMILIE GRANJON à développer des listes de lecture autour de la commémoration du centre d’artistes.
2018 marque un moment important pour Verticale qui célébrait le 30 avril dernier ses trente ans d’existence. Pour l’organisme, cette étape charnière nécessitait non seulement de mettre sur pied un événement phare, fédérateur et festif, mais aussi d’engager une réflexion collective sur des enjeux liés à la mémoire et à la commémoration des centres d’artistes — dont plusieurs ont célébré des anniversaires importants dans les dernières années. Comment tenir compte de l’ensemble des acteurs (artistes, membres, collaborateurs, travailleurs, bénévoles, partenaires) et des facteurs qui ont forgé l’identité du centre au fil des années ? Comment « garder vivante » et transmettre cette mémoire plurielle ? Dans quelle mesure l’appréciation et la connaissance de l’histoire des centres peuvent-elles servir à réévaluer la pertinence de son rôle et ses apports, à planifier son futur et à consolider sa longévité ?
Laval (Québec) H7N 2W6