Pendant trois jours, Daïmôn accueille des cinéastes, vidéastes, programmateurs, critiques, historiens, avec pour objectif de stimuler les réflexions sur les nouvelles modalités de diffusion et de compréhension de la vidéo d’art et du cinéma expérimental.
Nous souhaitons une discussion ouverte, où le public est invité à prendre part. Chaque journée est constituée en première partie de présentations individuelles et en deuxième partie d’échanges entre les participants et le public.
Les modalités de production et de diffusion propres au cinéma expérimental se sont profondément transformées au cours des dernières années. Cela est entre autres dû aux transformations techniques, faisant en sorte que le format est souvent le même en vidéo qu’au cinéma. L’hégémonie du support vidéo a suscité non seulement une mutation des discours plastiques et esthétiques, mais aussi des contextes de diffusion. Le cinéma expérimental a pu être une niche particulière du cinéma de répertoire, mais celle‐ci s’est raréfiée.
Pendant les trois journées du symposium, les échanges entre les artistes, les diffuseurs, les critiques et historiens permettront de dépasser les constats et la formulation d’un état des lieux, pour favoriser la mise en valeur de la diversité présente des pratiques.
Le symposium est volontairement hétérogène, ce qui implique aussi bien :
‐ une défense du cinéma expérimental artisanal («hand‐processed») et de ses méthodes ;
‐ une mise en valeur du cinéma expérimental passant par la performance ;
‐ une pratique de la vidéo intégrant une conscience de ses origines et de ses procédés analogiques inhérents ;
‐ une pratique qui récupère à son compte la grammaire de la vidéo numérique, afin d’élaborer une proposition artistique inédite ;
‐ une prise en compte des projets cinématographiques et vidéos installatifs, associés à l’art contemporain.
16 mai
Jour 1 : Création
14 heures à 17 heures
Des cinéastes et vidéastes actuels viennent discuter de leurs pratiques communes.
Participants :
Kelly Egan (cinéaste, membre du Lost Dominion Screening Collective et du Loop Collective)
Karl Lemieux (cinéaste et performeur, membre du collectif Double negative)
Sabrina Ratté (vidéaste)
Véronique Guitard (artiste multidisciplinaire)
Pascale Théoret‐Groulx (vidéaste)
Étienne de Massy (cinéaste)
17 heures 30 – Cocktail d’inauguration du symposium
17 mai
Jour 2 : Histoire et analyse
14 heures à 17 heures
Des chercheurs et historiens exposent sous des approches originales leurs réflexions sur la
vidéo d’art et le cinéma expérimental.
Participants :
Eric Fillion (Historien, organisme Tenzier)
Victoria Raileanu (Historienne de la culture)
Alexis Desgagnés (Historien de l’art, directeur artistique Centre Vu)
Guillaume Lafleur (Critique et chercheur, directeur général et artistique, Daïmôn)
18 mai
Jour 3: Commissariat et diffusion
14 heures à 17 heures
Des diffuseurs, des commissaires viennent parler de leur expérience. Ils vont échanger sur
les enjeux actuels de la circulation d’oeuvres en art vidéo et cinéma expérimental.
Participants :
Fabrice Montal (conservateur et directeur de la programmation, Cinémathèque québécoise)
Daïchi Saïto (cinéaste, commissaire et membre du collectif Double negative)
Chris Rohde (directeur artistique, Saw video)
Phil Rose (cinéaste, membre de l’Available Light Screening Collective)
À noter que du 16 au 18 mai se dérouleront aussi à Daïmôn trois soirées de performances et de projections expérimentales. Ces soirées vont rassembler les artistes et/ou programmateurs Roger Tellier-Craig et Karl Lemieux, Eric Fillion, Sabrina Ratté ainsi que Daïchi Saïto.
Pendant trois jours, Daïmôn accueille des cinéastes, vidéastes, programmateurs, critiques, historiens, avec pour objectif de stimuler les réflexions sur les nouvelles modalités de diffusion et de compréhension de la vidéo d’art et du cinéma expérimental.
Nous souhaitons une discussion ouverte, où le public est invité à prendre part. Chaque journée est constituée en première partie de présentations individuelles et en deuxième partie d’échanges entre les participants et le public.
Les modalités de production et de diffusion propres au cinéma expérimental se sont profondément transformées au cours des dernières années. Cela est entre autres dû aux transformations techniques, faisant en sorte que le format est souvent le même en vidéo qu’au cinéma. L’hégémonie du support vidéo a suscité non seulement une mutation des discours plastiques et esthétiques, mais aussi des contextes de diffusion. Le cinéma expérimental a pu être une niche particulière du cinéma de répertoire, mais celle‐ci s’est raréfiée.
Pendant les trois journées du symposium, les échanges entre les artistes, les diffuseurs, les critiques et historiens permettront de dépasser les constats et la formulation d’un état des lieux, pour favoriser la mise en valeur de la diversité présente des pratiques.
Le symposium est volontairement hétérogène, ce qui implique aussi bien :
‐ une défense du cinéma expérimental artisanal («hand‐processed») et de ses méthodes ;
‐ une mise en valeur du cinéma expérimental passant par la performance ;
‐ une pratique de la vidéo intégrant une conscience de ses origines et de ses procédés analogiques inhérents ;
‐ une pratique qui récupère à son compte la grammaire de la vidéo numérique, afin d’élaborer une proposition artistique inédite ;
‐ une prise en compte des projets cinématographiques et vidéos installatifs, associés à l’art contemporain.
16 mai
Jour 1 : Création
14 heures à 17 heures
Des cinéastes et vidéastes actuels viennent discuter de leurs pratiques communes.
Participants :
Kelly Egan (cinéaste, membre du Lost Dominion Screening Collective et du Loop Collective)
Karl Lemieux (cinéaste et performeur, membre du collectif Double negative)
Sabrina Ratté (vidéaste)
Véronique Guitard (artiste multidisciplinaire)
Pascale Théoret‐Groulx (vidéaste)
Étienne de Massy (cinéaste)
17 heures 30 – Cocktail d’inauguration du symposium
17 mai
Jour 2 : Histoire et analyse
14 heures à 17 heures
Des chercheurs et historiens exposent sous des approches originales leurs réflexions sur la
vidéo d’art et le cinéma expérimental.
Participants :
Eric Fillion (Historien, organisme Tenzier)
Victoria Raileanu (Historienne de la culture)
Alexis Desgagnés (Historien de l’art, directeur artistique Centre Vu)
Guillaume Lafleur (Critique et chercheur, directeur général et artistique, Daïmôn)
18 mai
Jour 3: Commissariat et diffusion
14 heures à 17 heures
Des diffuseurs, des commissaires viennent parler de leur expérience. Ils vont échanger sur
les enjeux actuels de la circulation d’oeuvres en art vidéo et cinéma expérimental.
Participants :
Fabrice Montal (conservateur et directeur de la programmation, Cinémathèque québécoise)
Daïchi Saïto (cinéaste, commissaire et membre du collectif Double negative)
Chris Rohde (directeur artistique, Saw video)
Phil Rose (cinéaste, membre de l’Available Light Screening Collective)
À noter que du 16 au 18 mai se dérouleront aussi à Daïmôn trois soirées de performances et de projections expérimentales. Ces soirées vont rassembler les artistes et/ou programmateurs Roger Tellier-Craig et Karl Lemieux, Eric Fillion, Sabrina Ratté ainsi que Daïchi Saïto.
Gatineau (Québec) J8Y 3M5