Du mercredi au dimanche de 12h à 17h
550, côte d’Abraham, Québec
Entrée libre
Benoit Aquin Le Dust Bowl chinois
Qu’elle dresse un portrait intimiste des travailleuses du sexe, qu’elle montre les mœurs de la chasse ou encore les dévastations causées par le tsunami de 2004, l’œuvre de Benoit Aquin se veut résolument sociale, internationale et ancrée dans le temps présent. Avec Le Dust Bowl chinois, le photographe s’intéresse à l’une des problématiques environnementales de la Chine contemporaine : la désertification résultant de l’activité humaine. Fascinante par l’omniprésence des tonalités sable, cette série au sujet préoccupant atteste que l’image photographique peut constituer à la fois un instrument d’information, un outil de critique et un objet artistique.
Récipiendaire du prestigieux Prix Pictet 2008 pour sa série Le Dust Bowl chinois, Benoit Aquin a, depuis plus de deux décennies, collaboré avec de nombreux magazines et journaux tels Voir, Time Magazine, Maclean’s, La Presse et The Guardian. Le travail de ce photographe montréalais figure dans les collections du Musée canadien de la photographie contemporaine et du Musée national des beaux-arts du Québec.
Dgino Cantin Les manipulations
Connu pour sa production sculpturale ludique, Dgino Cantin présente sa première série photographique, réalisée à l’occasion d’une résidence de création au centre VU. À l’aide d’un numériseur, l’artiste capte les manipulations de ses sculptures portatives tenues entre ses mains gantées. Les déplacements, translations et rotations de ces objets hétéroclites et malléables génèrent des formes qui semblent liquéfiées par le balayage de l’appareil électronique. Dgino Cantin façonne ainsi un univers poétique personnel, dans lequel l’autoportrait s’introduit parfois discrètement.
Détenteur d’une maîtrise en arts visuels de l’Université Laval, Dgino Cantin a récemment effectué une résidence d’artiste à Strasbourg et Paris. Cumulant plusieurs expositions individuelles et collectives au Québec et en France, il a notamment montré son travail lors de la Manif d’art 3 de Québec. En 2005, le prix Videre Relève lui a été décerné pour son exposition Pour la suite des choses.
Du mercredi au dimanche de 12h à 17h
550, côte d’Abraham, Québec
Entrée libre
Benoit Aquin Le Dust Bowl chinois
Qu’elle dresse un portrait intimiste des travailleuses du sexe, qu’elle montre les mœurs de la chasse ou encore les dévastations causées par le tsunami de 2004, l’œuvre de Benoit Aquin se veut résolument sociale, internationale et ancrée dans le temps présent. Avec Le Dust Bowl chinois, le photographe s’intéresse à l’une des problématiques environnementales de la Chine contemporaine : la désertification résultant de l’activité humaine. Fascinante par l’omniprésence des tonalités sable, cette série au sujet préoccupant atteste que l’image photographique peut constituer à la fois un instrument d’information, un outil de critique et un objet artistique.
Récipiendaire du prestigieux Prix Pictet 2008 pour sa série Le Dust Bowl chinois, Benoit Aquin a, depuis plus de deux décennies, collaboré avec de nombreux magazines et journaux tels Voir, Time Magazine, Maclean’s, La Presse et The Guardian. Le travail de ce photographe montréalais figure dans les collections du Musée canadien de la photographie contemporaine et du Musée national des beaux-arts du Québec.
Dgino Cantin Les manipulations
Connu pour sa production sculpturale ludique, Dgino Cantin présente sa première série photographique, réalisée à l’occasion d’une résidence de création au centre VU. À l’aide d’un numériseur, l’artiste capte les manipulations de ses sculptures portatives tenues entre ses mains gantées. Les déplacements, translations et rotations de ces objets hétéroclites et malléables génèrent des formes qui semblent liquéfiées par le balayage de l’appareil électronique. Dgino Cantin façonne ainsi un univers poétique personnel, dans lequel l’autoportrait s’introduit parfois discrètement.
Détenteur d’une maîtrise en arts visuels de l’Université Laval, Dgino Cantin a récemment effectué une résidence d’artiste à Strasbourg et Paris. Cumulant plusieurs expositions individuelles et collectives au Québec et en France, il a notamment montré son travail lors de la Manif d’art 3 de Québec. En 2005, le prix Videre Relève lui a été décerné pour son exposition Pour la suite des choses.
Carleton-sur-Mer (Québec) G0C 1J0