Léo Rosshandler est né à Amsterdam, aux Pays-Bas, en 1922.
Il vit à Montréal depuis une cinquantaine d’années. De 1945 à 1948, Rosshandler a étudié à La Escuela de la Esmeralda au Mexique, école d’art fondée par les peintres muralistes de ce pays. Il n’a cessé de peindre en marge de ses activités dans le domaine muséal et de l’administration des arts.
Prendre connaissance du travail de peintre de Léo Rosshandler, c’est s’inviter à connaître une œuvre généreuse, abondante et variée qu’il a poursuivie avec une remarquable continuité pendant de nombreuses années. Voilà une peinture vivifiante par ses colorations et par ce que l’on pourrait nommer sa «narquoisie».
Pour le commissaire de cette exposition, c’est une entreprise délicate que de demander à seize tableaux de se faire les représentants de si nombreuses œuvres qu’hélas l’exposition ne peut nous faire partager.
On pourrait peut-être parler de «morceaux choisis». Si les œuvres exposées ne sauraient rendre compte avec justice de tant d’autres aussi significatives, puissent les choix qui ont présidé à leur sélection en faire un sensible reflet de l’ensemble plein de fantaisie dont elles proviennent.
Éclectiques à première vue, ces œuvres sont pourtant reliées les unes aux autres par la singulière cohérence de pensée qui a présidé à leur réalisation à travers les années.
Le plus «ancien» des tableaux de la présente exposition date de 1959. Ainsi cette exposition témoigne de presque cinquante-cinq ans d’une peinture vivante qui a su grandir et continuer librement à se développer non pas sur un chemin tracé selon des rectilignes vouluesmais plutôt au souple fil imprévu des détours de la vie.
Léo Rosshandler est né à Amsterdam, aux Pays-Bas, en 1922.
Il vit à Montréal depuis une cinquantaine d’années. De 1945 à 1948, Rosshandler a étudié à La Escuela de la Esmeralda au Mexique, école d’art fondée par les peintres muralistes de ce pays. Il n’a cessé de peindre en marge de ses activités dans le domaine muséal et de l’administration des arts.
Prendre connaissance du travail de peintre de Léo Rosshandler, c’est s’inviter à connaître une œuvre généreuse, abondante et variée qu’il a poursuivie avec une remarquable continuité pendant de nombreuses années. Voilà une peinture vivifiante par ses colorations et par ce que l’on pourrait nommer sa «narquoisie».
Pour le commissaire de cette exposition, c’est une entreprise délicate que de demander à seize tableaux de se faire les représentants de si nombreuses œuvres qu’hélas l’exposition ne peut nous faire partager.
On pourrait peut-être parler de «morceaux choisis». Si les œuvres exposées ne sauraient rendre compte avec justice de tant d’autres aussi significatives, puissent les choix qui ont présidé à leur sélection en faire un sensible reflet de l’ensemble plein de fantaisie dont elles proviennent.
Éclectiques à première vue, ces œuvres sont pourtant reliées les unes aux autres par la singulière cohérence de pensée qui a présidé à leur réalisation à travers les années.
Le plus «ancien» des tableaux de la présente exposition date de 1959. Ainsi cette exposition témoigne de presque cinquante-cinq ans d’une peinture vivante qui a su grandir et continuer librement à se développer non pas sur un chemin tracé selon des rectilignes vouluesmais plutôt au souple fil imprévu des détours de la vie.