[Image : A.Bélanger]

Alexis Bélanger et Hugo Nadeau, vernissage le vendredi 10 mai à 17h au Lobe

ALEXIS BÉLANGER
RESOLUTION 1:1

 
Libre acteur des arts visuels, de la performance et de la poésie, Hugo Nadeau a présenté ses projets au Québec, aux États-Unis, au Brésil, en Angleterre ainsi qu’en Chine. Il est récipiendaire de la Bourse René-Richard. Son parcours l’a mené à développer une série de projets perpétuels comme « Projet citoyen modèle », « la LHN (Ligue Hugo Nadeau) » et « Le CACHÉ (Centre d’art caché d’Hugo pour l’éternité) ». Il est originaire de Saint-Zacharie en Chaudière-Appalaches et vit à Québec. Nadeau développe ou organise des projets individuels et collectifs tout en coordonnant les activités de l’Oeil de Poisson.       [http://www.hugonadeau.com]

Alexis Bélanger est le récipiendaire du prix accordé par Le Lobe dans le cadre du festival des finissants 2013 du Baccalauréat Interdisciplinaire en arts de l’Université du Québec à Chicoutimi.
 

Dans cette proposition, Alexis Bélanger poursuit ses réflexions sur la perception du monde virtuelle tangible. Artiste numérique de formation, Bélanger utilise le langage plastique pour exorciser le caractère rigide et rationnel de l’environnement virtuel permettant ainsi une lecture nouvelle de l’objet.
 
RESOLUTION 1:1 est un projet de recherche formel et conceptuel qui tente d’imposer au regardeur une échelle de quantification des mesures, des distances et des textures. À travers des pixels cubiques d’éléments naturels, l’artiste propose l’occupation de l’Espace PLATE-FORME simulant un système d’imagerie numérique grand format d’une puissance infini : le réel en haute définition.
[Source : A.Bélanger]
 
 
Artiste multidisciplinaire œuvrant principalement en performance et en installation, Alexis Bélanger est détenteur d’un Baccalauréat Interdisciplinaire en arts de l’Université du Québec à Chicoutimi. Son travail artistique a été présenté dans plusieurs expositions collectives, notamment à Montréal, Chicoutimi, Alma et Sept-Îles. Son travail est reconnu, en février 2013, par Le centre d’artistes Le Lobe et il se voit remettre le prix d’excellence pour son projet L’Objet 1.0.

HUGO NADEAU
FAMILY FIRST

Relativement familier, entre le bunker personnel et le marché du coin. Contrairement à l’espace commercial normalisé, FAMILY FISRT propose une présentation visuelle singulière, témoignant de l’appropriation personnelle de la marchandise et de l’amour du produit.
 
Une installation d’objets non destinés à la vente contenant son lot classé d’articles de marques, des denrées non-périssables provenant de géants de d’alimentation. En plus, un présentoir à magazines rempli d’une unique parution (à pages couvertures variées) du FFIRST Magazine; un document de 60 pages ressemblant en tous points à un magazine populaire, mais consacré à l’exposition.
 
Les pièces exposées se présentent comme les supports tangibles d’un pressentiment de crise, d’une solidarité et d’une consolation, sortes d’agents de transformation présentant l’art comme une improbable matière de survie. Ce projet souligne donc la précarité évidente de l’aide financière aux artistes et sous-tend un questionnement sur notre rapport au matériel :
 
« Suivant l’apparition de signes évidents d’une crise alimentaire générale, qu’adviendra-t-il de l’art, de la pensée créative dans la société? »
 
« Les fonds culturels doivent-ils prioriser la subsistance des artistes ou la tenue de leurs activités? »
 
« Connaissons-nous deux matérialismes, un matérialisme d’ingestion axé sur l’immédiat et un matérialisme de préservation des produits, qui subliment ou concrétisent une même peur de la catastrophe? »
 [Source : H.Nadeau]
 

Relativement familier, entre le bunker personnel et le marché du coin. Contrairement à l’espace commercial normalisé, FAMILY FISRT propose une présentation visuelle singulière, témoignant de l’appropriation personnelle de la marchandise et de l’amour du produit.
 
Une installation d’objets non destinés à la vente contenant son lot classé d’articles de marques, des denrées non-périssables provenant de géants de d’alimentation. En plus, un présentoir à magazines rempli d’une unique parution (à pages couvertures variées) du FFIRST Magazine; un document de 60 pages ressemblant en tous points à un magazine populaire, mais consacré à l’exposition.
 
Les pièces exposées se présentent comme les supports tangibles d’un pressentiment de crise, d’une solidarité et d’une consolation, sortes d’agents de transformation présentant l’art comme une improbable matière de survie. Ce projet souligne donc la précarité évidente de l’aide financière aux artistes et sous-tend un questionnement sur notre rapport au matériel :
 
« Suivant l’apparition de signes évidents d’une crise alimentaire générale, qu’adviendra-t-il de l’art, de la pensée créative dans la société? »
 
« Les fonds culturels doivent-ils prioriser la subsistance des artistes ou la tenue de leurs activités? »
 
« Connaissons-nous deux matérialismes, un matérialisme d’ingestion axé sur l’immédiat et un matérialisme de préservation des produits, qui subliment ou concrétisent une même peur de la catastrophe? »
 [Source : H.Nadeau]
 
Libre acteur des arts visuels, de la performance et de la poésie, Hugo Nadeau a présenté ses projets au Québec, aux États-Unis, au Brésil, en Angleterre ainsi qu’en Chine. Il est récipiendaire de la Bourse René-Richard. Son parcours l’a mené à développer une série de projets perpétuels comme « Projet citoyen modèle », « la LHN (Ligue Hugo Nadeau) » et « Le CACHÉ (Centre d’art caché d’Hugo pour l’éternité) ». Il est originaire de Saint-Zacharie en Chaudière-Appalaches et vit à Québec. Nadeau développe ou organise des projets individuels et collectifs tout en coordonnant les activités de l’Oeil de Poisson.       [http://www.hugonadeau.com]

L’artiste tient à remercier Sarah Chouinard-Poirier, Étienne Baillargeon, Marylou Fortier et la famille Nadeau.

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