La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen présente trois expositions dans le cadre du volet Arts médiatiques du Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA).
Le volet Arts médiatiques est une programmation composée par la commissaire Angèle Cormier qui met de l’avant la diversité de l’expression artistique axée sur les nouvelles technologies, en plus d’encourager la production d’oeuvres médiatiques par des artistes de la région. Liés à l’attente et à l’anticipation, les oeuvres de Jennifer Bélanger, de Jean-François Caissie et de Frédéric Lavoie sont composées de dispositifs médiatiques qui occupent l’espace, invitant le spectateur à entrer dans l’oeuvre. Le vernissage aura lieu vendredi, le 16 novembre à 17 h, en présence des artistes.
Jennifer Bélanger, artiste de Moncton, propose une vidéo intitulée Lettres d’encouragement composée à partir des lettres envoyées par des personnes inconnues en réponse à une petite annonce indiquant que l’artiste avait eu une année difficile. Bien qu’adressés directement à Jennifer, les mots d’encouragement offerts si généreusement témoignent de l’universalité de l’isolement, de l’ennui, du chagrin et du découragement, mais aussi du pouvoir curatif du simple contact humain.
L’installation Derby, de l’artiste gaspésien, Jean-Francois Caissy recompose, sur trois écrans qui entourent le spectateur, des images captées pendant un derby de démolition d’automobiles. Entre les spectateurs en attente, la graduelle, mais lente destruction des automobiles et une trame sonore qui passe des sons ambiants à une composition pour cordes, l’oeuvre illustre un phénomène culturel particulier, tout en suggérant un événement à venir, un drame en gestation.
Frédéric Lavoie de Montréal met de l’avant le rapport traqueur/traqué dans une installation composée de deux oeuvres intitulées À l’affut et À l’écoute. À l’affut illustre la difficulté de saisir le monde animal par des images de types documentaire animalier captées lors d’une résidence menée au Parc national Kouchibouguac. À l’écoute, qui propose des calls de chasse, fait contrepartie au premier volet, établissant un dialogue aléatoire entre l’appel du chasseur et la furtivité des animaux.
La Galerie d’art Louise et Reuben-Cohen présente trois expositions dans le cadre du volet Arts médiatiques du Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA).
Le volet Arts médiatiques est une programmation composée par la commissaire Angèle Cormier qui met de l’avant la diversité de l’expression artistique axée sur les nouvelles technologies, en plus d’encourager la production d’oeuvres médiatiques par des artistes de la région. Liés à l’attente et à l’anticipation, les oeuvres de Jennifer Bélanger, de Jean-François Caissie et de Frédéric Lavoie sont composées de dispositifs médiatiques qui occupent l’espace, invitant le spectateur à entrer dans l’oeuvre. Le vernissage aura lieu vendredi, le 16 novembre à 17 h, en présence des artistes.
Jennifer Bélanger, artiste de Moncton, propose une vidéo intitulée Lettres d’encouragement composée à partir des lettres envoyées par des personnes inconnues en réponse à une petite annonce indiquant que l’artiste avait eu une année difficile. Bien qu’adressés directement à Jennifer, les mots d’encouragement offerts si généreusement témoignent de l’universalité de l’isolement, de l’ennui, du chagrin et du découragement, mais aussi du pouvoir curatif du simple contact humain.
L’installation Derby, de l’artiste gaspésien, Jean-Francois Caissy recompose, sur trois écrans qui entourent le spectateur, des images captées pendant un derby de démolition d’automobiles. Entre les spectateurs en attente, la graduelle, mais lente destruction des automobiles et une trame sonore qui passe des sons ambiants à une composition pour cordes, l’oeuvre illustre un phénomène culturel particulier, tout en suggérant un événement à venir, un drame en gestation.
Frédéric Lavoie de Montréal met de l’avant le rapport traqueur/traqué dans une installation composée de deux oeuvres intitulées À l’affut et À l’écoute. À l’affut illustre la difficulté de saisir le monde animal par des images de types documentaire animalier captées lors d’une résidence menée au Parc national Kouchibouguac. À l’écoute, qui propose des calls de chasse, fait contrepartie au premier volet, établissant un dialogue aléatoire entre l’appel du chasseur et la furtivité des animaux.