Orchestre symphonique de Montréal
La Presse
jeudi 29 avril 2004, p. 6, La Presse Affaires
Sept consortiums intéressés à construire la salle de l’OSM
Paquet, Stéphane
Elles étaient 40 entreprises, ils ne sont plus que sept consortiums.
Les entreprises intéressées à construire, dans le cadre d’un partenariat public-privé, la salle de l’Orchestre symphonique de Montréal et/ou le Conservatoire de musique et d’art dramatique se sont regroupées. Résultat, il ne reste plus que sept consortiums dans la course à l’obtention du partenariat avec Québec.
« Ces consortiums représentent plsu de 40 entreprises », précise toutefois Catherine Lessard, de la Société immobilière du Québec, qui gère le parc immobilier du gourvernement.
Le projet, qui sera défini en fonction des offres reçues, doit obligatoirement comprendre soir le Conservatoire, soit la Maison de l’OSM. Le site désigné est celui de l’îlot Balmoral, dans le quadrilatère délimité par les rues Sainte-Catherine, de Bleury et Jeanne-Mance, à côté de la Place des Arts. Mme Lessard n’a pas voulu rendre publics les noms des compagnies intéressées.
Un jury doit maintenant décider quelles compagnies sont aptes à postuler en bonne et due forme. Celles-ci devront fournir un plan plus détaillé de leur proposition.
Après analyse, un maximum de trois groupes seront retenus pour détaller tous les aspects de leur proposition. Pour ce faire, les consortiums retenus recevront 250 000$ de Québec.
Ce n’est donc que dans un an, au printemps ou à l’été 2005, que le jury rendra sa décision finale sur le projet retenu.
Mardi, en conférence de presse à Montréal, la présidente du Conseil du Trésor, Monique Jérôme-Forget, a expliqué que, si le processus de mise en place des partenariats publics-privés prenait du temps, c’est parce qu’elle voulait agir « de façon prudente, cohérente et ordonnée ».
Certains ministères ont aussi été plus réticents que d’autres à ce type de partenariat. « Il y a eu beaucoup d’éducation à faire. Des ministères étaient plus réticents que d’autres », a-t-elle dit, après avoir confirmé la création d’une agence d’encadrement du partenariat public-privé.
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Sept consortiums intéressés à construire la salle de l’OSM
Paquet, Stéphane
Elles étaient 40 entreprises, ils ne sont plus que sept consortiums.
Les entreprises intéressées à construire, dans le cadre d’un partenariat public-privé, la salle de l’Orchestre symphonique de Montréal et/ou le Conservatoire de musique et d’art dramatique se sont regroupées. Résultat, il ne reste plus que sept consortiums dans la course à l’obtention du partenariat avec Québec.
« Ces consortiums représentent plsu de 40 entreprises », précise toutefois Catherine Lessard, de la Société immobilière du Québec, qui gère le parc immobilier du gourvernement.
Le projet, qui sera défini en fonction des offres reçues, doit obligatoirement comprendre soir le Conservatoire, soit la Maison de l’OSM. Le site désigné est celui de l’îlot Balmoral, dans le quadrilatère délimité par les rues Sainte-Catherine, de Bleury et Jeanne-Mance, à côté de la Place des Arts. Mme Lessard n’a pas voulu rendre publics les noms des compagnies intéressées.
Un jury doit maintenant décider quelles compagnies sont aptes à postuler en bonne et due forme. Celles-ci devront fournir un plan plus détaillé de leur proposition.
Après analyse, un maximum de trois groupes seront retenus pour détaller tous les aspects de leur proposition. Pour ce faire, les consortiums retenus recevront 250 000$ de Québec.
Ce n’est donc que dans un an, au printemps ou à l’été 2005, que le jury rendra sa décision finale sur le projet retenu.
Mardi, en conférence de presse à Montréal, la présidente du Conseil du Trésor, Monique Jérôme-Forget, a expliqué que, si le processus de mise en place des partenariats publics-privés prenait du temps, c’est parce qu’elle voulait agir « de façon prudente, cohérente et ordonnée ».
Certains ministères ont aussi été plus réticents que d’autres à ce type de partenariat. « Il y a eu beaucoup d’éducation à faire. Des ministères étaient plus réticents que d’autres », a-t-elle dit, après avoir confirmé la création d’une agence d’encadrement du partenariat public-privé.
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