La maison de la culture de Notre-Dame-de-Grâce présente l’exposition Escales & Les architectures de Sabrina Ratté et Marie-Douce St-Jacques, du 17 juin au
19 août 2017.
Réunies pour l’occasion dans un même espace, l’installation vidéographique Escales de Sabrina Ratté et la série d’œuvres picturales Les architectures, de Marie-Douce St-Jacques, proposent au visiteur un éclatement des perspectives connues. Escales est une forme d’architectonique minimale qui se complexifie graduellement par ajout d’images-mouvement et intégration de distorsions en transparence. De son côté, Les architectures déconstruisent et reconstituent le lieu en le découpant et en le fragmentant. Parallèlement aux œuvres picturales, une proposition révèle d’autres angles et perspectives. L’identité de l’espace est mise en cause dans cette exposition collective pose la question du lieu en tant que synthèse des expériences qui s’y additionnent. Commissaire : Nathalie Bachand. Projet d’expositions du réseau Accès culture pour le 375e anniversaire de la Ville de Montréal : Un million d’horizons (1×19=1 000 000).
Atelier de médiation spécialement pour la famille : samedi 12 août de 10 h 30 à 11 h 30
Ce projet bénéficie du soutien du ministère de la Culture et des Communications et de la Ville de Montréal dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal.
Le travail vidéo de Sabrina Ratté est caractérisé par la création d’environnements virtuels générés par des signaux électroniques. L’électricité est sculptée, manipulée et altérée numériquement pour renaître en une architecture vibrante et lumineuse. Ses œuvres se situent à la limite de la science-fiction, à mi-chemin entre l’abstraction et le figuratif, l’architecture et le paysage. Son travail inclut des installations, impressions et performances live. Munie de sa cisellerie, Marie-Douce St-Jacques glane depuis de nombreuses années des bribes éparses de couleurs, de lettres, de textures et de formes. Ne laissant rien au hasard, elle se joue des rapports entre les blancs et les masses colorées, entre l’extérieur et l’intérieur, le visible et l’invisible pour créer des espaces éclatés dépourvus de repères stables. Ses activités artistiques allient également l’édition (Le laps), la musique (Le fruit vert) et l’écriture.
La maison de la culture de Notre-Dame-de-Grâce présente l’exposition Escales & Les architectures de Sabrina Ratté et Marie-Douce St-Jacques, du 17 juin au
19 août 2017.
Réunies pour l’occasion dans un même espace, l’installation vidéographique Escales de Sabrina Ratté et la série d’œuvres picturales Les architectures, de Marie-Douce St-Jacques, proposent au visiteur un éclatement des perspectives connues. Escales est une forme d’architectonique minimale qui se complexifie graduellement par ajout d’images-mouvement et intégration de distorsions en transparence. De son côté, Les architectures déconstruisent et reconstituent le lieu en le découpant et en le fragmentant. Parallèlement aux œuvres picturales, une proposition révèle d’autres angles et perspectives. L’identité de l’espace est mise en cause dans cette exposition collective pose la question du lieu en tant que synthèse des expériences qui s’y additionnent. Commissaire : Nathalie Bachand. Projet d’expositions du réseau Accès culture pour le 375e anniversaire de la Ville de Montréal : Un million d’horizons (1×19=1 000 000).
Atelier de médiation spécialement pour la famille : samedi 12 août de 10 h 30 à 11 h 30
Ce projet bénéficie du soutien du ministère de la Culture et des Communications et de la Ville de Montréal dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal.
Le travail vidéo de Sabrina Ratté est caractérisé par la création d’environnements virtuels générés par des signaux électroniques. L’électricité est sculptée, manipulée et altérée numériquement pour renaître en une architecture vibrante et lumineuse. Ses œuvres se situent à la limite de la science-fiction, à mi-chemin entre l’abstraction et le figuratif, l’architecture et le paysage. Son travail inclut des installations, impressions et performances live. Munie de sa cisellerie, Marie-Douce St-Jacques glane depuis de nombreuses années des bribes éparses de couleurs, de lettres, de textures et de formes. Ne laissant rien au hasard, elle se joue des rapports entre les blancs et les masses colorées, entre l’extérieur et l’intérieur, le visible et l’invisible pour créer des espaces éclatés dépourvus de repères stables. Ses activités artistiques allient également l’édition (Le laps), la musique (Le fruit vert) et l’écriture.