La Galerie McClure est heureuse de présenter les toutes dernières œuvres peintes de Michel Daigneault dans le cadre de Quelques réflexions sur la Montagne Nue, une exposition regroupant une dizaine de tableaux de grand format.
Avec Quelques réflexions sur la Montagne Nue, Daigneault intensifie l’orchestration d’un espace en mutation pour fragiliser la frontière entre les deux grandes catégories de la peinture que sont la figuration et l’abstraction. Dans ses nouveaux tableaux, le peintre incite le spectateur à s’interroger sur ce qu’il regarde en l’entraînant dans un espace pictural où le vocabulaire abstrait côtoie des réalités reconnaissables. Il l’amène aussi à jongler avec certaines analogies visuelles. La montagne, comme l’indique le titre de l’exposition, se fait ici allusion. Latente, imprécise, elle apparaît dans l’œuvre sous différentes formes. Parfois par une ligne de contour, parfois par une accumulation de formes et parfois par l’architecture d’un paysage.
Michel Daigneault fait partie de cette nouvelle génération de peintres abstraits nés « après l’abstraction ». Alors que, dans ce mouvement artistique, tout semble avoir été fait, ses tableaux témoignent d’un renouvellement du langage pictural abstrait. Ses œuvres, bien que non-figuratives, jouent sans cesse avec l’idée de la figuration; avec les couleurs, les formes et leur agencement dans l’espace. À ce propos, Gaston Saint-Pierre a déjà noté : « La peinture de Michel Daigneault est régie par le règne de l’interférence, de la compatibilité, de la transitivité des systèmes et des registres de l’image. Nous ne sommes pas dans le domaine de l’illusion, mais dans celui de l’allusion ».
Michel Daigneault est né à Montréal et détient un baccalauréat en arts plastiques de l’Université Concordia et une maîtrise en histoire de l’art de l’Université de Montréal. Il a présenté de nombreuses expositions individuelles et collectives au Canada, aux Etats-Unis et en Europe. Plusieurs collections muséales et corporatives ont fait l’acquisition de ses œuvres, notamment la Caisse de dépôt et de placement du Québec, le Musée des beaux-arts du Canada, la Banque d’œuvres d’art du Canada, le Musée d’art contemporain de Montréal, la Collection Prêt d’œuvres d’art du Musée des beaux-arts du Québec, le Musée d’art de Joliette, la Banque Nationale, Hydro-Québec, RBC Banque Royale, le Ministère des Affaires étrangères du Canada, et la University of Lethbridge.
La Galerie McClure est heureuse de présenter les toutes dernières œuvres peintes de Michel Daigneault dans le cadre de Quelques réflexions sur la Montagne Nue, une exposition regroupant une dizaine de tableaux de grand format.
Avec Quelques réflexions sur la Montagne Nue, Daigneault intensifie l’orchestration d’un espace en mutation pour fragiliser la frontière entre les deux grandes catégories de la peinture que sont la figuration et l’abstraction. Dans ses nouveaux tableaux, le peintre incite le spectateur à s’interroger sur ce qu’il regarde en l’entraînant dans un espace pictural où le vocabulaire abstrait côtoie des réalités reconnaissables. Il l’amène aussi à jongler avec certaines analogies visuelles. La montagne, comme l’indique le titre de l’exposition, se fait ici allusion. Latente, imprécise, elle apparaît dans l’œuvre sous différentes formes. Parfois par une ligne de contour, parfois par une accumulation de formes et parfois par l’architecture d’un paysage.
Michel Daigneault fait partie de cette nouvelle génération de peintres abstraits nés « après l’abstraction ». Alors que, dans ce mouvement artistique, tout semble avoir été fait, ses tableaux témoignent d’un renouvellement du langage pictural abstrait. Ses œuvres, bien que non-figuratives, jouent sans cesse avec l’idée de la figuration; avec les couleurs, les formes et leur agencement dans l’espace. À ce propos, Gaston Saint-Pierre a déjà noté : « La peinture de Michel Daigneault est régie par le règne de l’interférence, de la compatibilité, de la transitivité des systèmes et des registres de l’image. Nous ne sommes pas dans le domaine de l’illusion, mais dans celui de l’allusion ».
Michel Daigneault est né à Montréal et détient un baccalauréat en arts plastiques de l’Université Concordia et une maîtrise en histoire de l’art de l’Université de Montréal. Il a présenté de nombreuses expositions individuelles et collectives au Canada, aux Etats-Unis et en Europe. Plusieurs collections muséales et corporatives ont fait l’acquisition de ses œuvres, notamment la Caisse de dépôt et de placement du Québec, le Musée des beaux-arts du Canada, la Banque d’œuvres d’art du Canada, le Musée d’art contemporain de Montréal, la Collection Prêt d’œuvres d’art du Musée des beaux-arts du Québec, le Musée d’art de Joliette, la Banque Nationale, Hydro-Québec, RBC Banque Royale, le Ministère des Affaires étrangères du Canada, et la University of Lethbridge.